Le Mépris (Jean-Luc Godard - 1963)
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Le Mépris (Jean-Luc Godard - 1963)
Je viens de le voir et pour le moment je ne peux rien en dire.
J'ai été captivé de bout en bout, je n'ai pas vu le temps passer, j'y repenserai certainement. Et visuellement c une claque! Mazette, quelle lumière!
Et BB... Dommage qu'elle ait mal tourné.
Bon, en attendant que je puisse en dire quelque chose, j'aimerais bien avoir vos avis sur ce film Des fans?(Margo, Bill, Cosmo, Capitaine Caverne , d'autres?)
J'ai été captivé de bout en bout, je n'ai pas vu le temps passer, j'y repenserai certainement. Et visuellement c une claque! Mazette, quelle lumière!
Et BB... Dommage qu'elle ait mal tourné.
Bon, en attendant que je puisse en dire quelque chose, j'aimerais bien avoir vos avis sur ce film Des fans?(Margo, Bill, Cosmo, Capitaine Caverne , d'autres?)
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Re: Le Mépris
Ben il fait partie de mon top 20, peut être même de mon top 10 (oui certainement en y repensant). Godard n'aime pas beaucoup ce film...c'est donc un très bon signe. Une des plus belles oeuvres que je connaisse sur les affres de la création, sur le cinéma et sur le couple. C'est déjà énorme. Sur le papier Homère, Fritz Lang, Bardot, Cinecittà, Godard, Palance, Moravia...je suppose que ça avait de quoi intriguer, voire de quoi inquièter. Le résultat n'en est pas moins superbe. J'ai vu ce film un nombre incalculable de fois (au cinéma, à la télé, en K7, en DVD) et il excerce toujours son pouvoir sur moi.Philip Marlowe a écrit : Bon, en attendant que je puisse en dire quelque chose, j'aimerais bien avoir vos avis sur ce film Des fans?(Margo, Bill, Cosmo, Capitaine Caverne , d'autres?)
"De toutes les sciences humaines, la pipeaulogie - à ne pas confondre avec la pipe au logis - ou art de faire croire qu'on sait de quoi on parle, est sans conteste celle qui compte le plus de diplômés !" Cosmo (diplômé en pipeaulogie)
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- Et la tendresse... bordel ?
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J'aime rien dans ce film, ni dans le sujet (je déteste les films qui parlent des films), ni dans la narration, ni dans le casting (à part Piccoli, peut-être), ni dans la voix insuportable de l'autre chèvre ("tu les aimes, mes jambes ?" moi, c'est ta voix que je déteste), ni dans rien.
Momo
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L'alcool, c'est mal.styx a écrit :Je comprends pas grand chose à vos salades, mais vous avez l'air bien sur de vous, donc zetes plus à même hein de parler, de sacrés rigolos que vous faites en fait, merde ça rime lourd là, je vais éditer. mdr
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Je te méprise !Momo la crevette a écrit :J'aime rien dans ce film, ni dans le sujet (je déteste les films qui parlent des films), ni dans la narration, ni dans le casting (à part Piccoli, peut-être), ni dans la voix insuportable de l'autre chèvre ("tu les aimes, mes jambes ?" moi, c'est ta voix que je déteste), ni dans rien.
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Et mon doigt dressé, tu l'aimes ?Cosmo Vitelli a écrit :Je te méprise !Momo la crevette a écrit :J'aime rien dans ce film, ni dans le sujet (je déteste les films qui parlent des films), ni dans la narration, ni dans le casting (à part Piccoli, peut-être), ni dans la voix insuportable de l'autre chèvre ("tu les aimes, mes jambes ?" moi, c'est ta voix que je déteste), ni dans rien.
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L'alcool, c'est mal.styx a écrit :Je comprends pas grand chose à vos salades, mais vous avez l'air bien sur de vous, donc zetes plus à même hein de parler, de sacrés rigolos que vous faites en fait, merde ça rime lourd là, je vais éditer. mdr
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Momo la crevette a écrit :Et mon doigt dressé, tu l'aimes ?Cosmo Vitelli a écrit :
Je te méprise !
Momo
Finalement Momo n'y connait rien en cinéma...sauf quand il parle si bien de Mc Tiernan
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Je te méprise ! Voilà le sentiment que j'ai pour toi, Momo ! C'est pour ça que je ne t'aime plus ! Je te méprise ! Et tu me dégoûtes quand tu me touches !Momo la crevette a écrit :J'aime rien dans ce film, ni dans le sujet (je déteste les films qui parlent des films), ni dans la narration, ni dans le casting (à part Piccoli, peut-être), ni dans la voix insuportable de l'autre chèvre ("tu les aimes, mes jambes ?" moi, c'est ta voix que je déteste), ni dans rien.
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Mon Godard préféré: son film le plus touchant, un grand film sur le couple et sur le cinéma où la théorie ne l'emporte jamais sur l'émotion, un score de Delerue et une scène d'ouverture que je n'oublierai jamais. Godard a fait plus léger (A Bout de Souffle, Bande à Part, Une femme est une femme), plus audacieux visuellement (Pierrot le Fou) mais jamais aussi poignant. Fait partie de mes films français favoris. 11/10
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salut,
je partage presque le même avis que Momo avec des nuances cependant !!
La musique de Delerue est magnifique, Piccoli joue bien, la photographie est belle aussi.
Mais alors pour le reste !!!!!!!!!!
Il faudra que l'on m'explique un jour en détails en quoi BBardot est une actrice et en quoi c'est une icone du cinéma.
De plus, il est clair que le cinéma de Godard n'a jamais eu aucun effet sur moi (à part Alphavill) mais j'avoue qu'a chaque fois que j'ai régardé Le Mepris, je m'étais conditionné auparavant (tu va voir un chef d'oeuvre que tu n'a su apprécier auparavant, ouvre les yeux, les oreilles et utilise ton cerveau !!)
Et pourtant la mayonnaise n'a jamais pris en 4 visionnages répartis sur 15 années. Je trouve le style de mise en scène de Godard absolument et totalement risible, B.Bardot plombe son film et son propos de façon incroyable tant elle est une actrice excécrable (et moi je la trouve vraiment moche mais bon ça c'est trés subjectif je vous l'avoue).
Les passages sur L'odyssée sont pour moi ratés et plus comiques qu'autre chose, la participation de Fritz Lang ne me fait ni chaud ni froid et pourtant c'est l'un de mes réalisateurs préférés.
Je pense qu'en fait c'est la prétention et l'arrogance de Godard qui me rendent ce film aussi pénible. Il prétend renouveller le cinéma et pourtant à mon humble avis il ne fait pas vraiment du cinéma mais plus un travail élitiste d'intellectuel en manque de justifications, un peu à l'image des artistes conceptuels qui utilisent des techniques classiques pour prendre de la distance et aboutir à un néant artistique ou l'artiste (son style, sa personnalité, sa façon de concevoir son art) devient plus important ou presque que son "oeuvre" elle même.
L'idée que se fait Godard du cinéma est plus importante que le cinéma lui même et pour moi ce film qui avait tout pour être une oeuvre grandiose et inoubliable passe totalement à côté de ses ambitions cinématographiques pour tomber dans la prétention artistique.
Sa conception du couple et l'absence de logique et de justification de la haine de BB à l'égard de Piccoli, le soi disant vertige de la création et sa reflexion sur le cinéma me laissent de marbre car elles restent en permanence à l'état de concept, d'idées et ne sont jamais vraiment développé.
Quand je vois Peeping Tom, Sunset Boulevard (sur le cinéma), La Notte, El (sur le couple) et Naked Lunch ou Barton Fink, je me dit que tous ses sujets on été beaucoup mieux traités par d'autres et que la boursouflure du film de Godard n'est qu'un signe de plus de sa conception étrange de l'art cinématographique.
Stefan
PS: ne me tapez pas trop fort dessus car j'ai conscience de m'attaquer à un mythe énorme mais bon j'estime avoir justifié mon point de vue et j'espère que vous arriverez à me convaincre que j'ai tort !!
je partage presque le même avis que Momo avec des nuances cependant !!
La musique de Delerue est magnifique, Piccoli joue bien, la photographie est belle aussi.
Mais alors pour le reste !!!!!!!!!!
Il faudra que l'on m'explique un jour en détails en quoi BBardot est une actrice et en quoi c'est une icone du cinéma.
De plus, il est clair que le cinéma de Godard n'a jamais eu aucun effet sur moi (à part Alphavill) mais j'avoue qu'a chaque fois que j'ai régardé Le Mepris, je m'étais conditionné auparavant (tu va voir un chef d'oeuvre que tu n'a su apprécier auparavant, ouvre les yeux, les oreilles et utilise ton cerveau !!)
Et pourtant la mayonnaise n'a jamais pris en 4 visionnages répartis sur 15 années. Je trouve le style de mise en scène de Godard absolument et totalement risible, B.Bardot plombe son film et son propos de façon incroyable tant elle est une actrice excécrable (et moi je la trouve vraiment moche mais bon ça c'est trés subjectif je vous l'avoue).
Les passages sur L'odyssée sont pour moi ratés et plus comiques qu'autre chose, la participation de Fritz Lang ne me fait ni chaud ni froid et pourtant c'est l'un de mes réalisateurs préférés.
Je pense qu'en fait c'est la prétention et l'arrogance de Godard qui me rendent ce film aussi pénible. Il prétend renouveller le cinéma et pourtant à mon humble avis il ne fait pas vraiment du cinéma mais plus un travail élitiste d'intellectuel en manque de justifications, un peu à l'image des artistes conceptuels qui utilisent des techniques classiques pour prendre de la distance et aboutir à un néant artistique ou l'artiste (son style, sa personnalité, sa façon de concevoir son art) devient plus important ou presque que son "oeuvre" elle même.
L'idée que se fait Godard du cinéma est plus importante que le cinéma lui même et pour moi ce film qui avait tout pour être une oeuvre grandiose et inoubliable passe totalement à côté de ses ambitions cinématographiques pour tomber dans la prétention artistique.
Sa conception du couple et l'absence de logique et de justification de la haine de BB à l'égard de Piccoli, le soi disant vertige de la création et sa reflexion sur le cinéma me laissent de marbre car elles restent en permanence à l'état de concept, d'idées et ne sont jamais vraiment développé.
Quand je vois Peeping Tom, Sunset Boulevard (sur le cinéma), La Notte, El (sur le couple) et Naked Lunch ou Barton Fink, je me dit que tous ses sujets on été beaucoup mieux traités par d'autres et que la boursouflure du film de Godard n'est qu'un signe de plus de sa conception étrange de l'art cinématographique.
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Je ne sais pas trop par où commencer. J'ai découvert "Le Mépris" il y a quelques jours et je ne sais pas vraiment si j'ai aimé ou non. J'ai adoré toutes les scènes avec Fritz Lang, ou plus globalement toutes celles qui cadrent avec l'univers de du cinema, la vision qu'en donne Godard m'a beaucoup plu. Pour ce qui de l'histoire de couple, je suis beaucoup plus mitigé. Brigitte Bardot n'est pas insuportable, mais m'a toutefois paru moyenne, et toutes ses scènes m'ennuyaient. Je n'ai peut être rien compris au film, mais à aucun moment sa haine n'est compréhensible, j'en suis arrivé à trouver son rapport avec son mari superficiel et ininteressant. En même ça doit être une question de sensibilité. Je suis peut être trop jeune pour apprécier vraiment le film (15 ans), mais il a pour mérite de m'avoir donné envie de découvrir d'autres films de Godard.
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Pour ce qui est de Bardot, la question ne se pose pas vraiment dans mon cas En fait elle ne joue pas vraiment. Mais elle est dans le ton du film alors ça passe bien.
Mais la dimension "Film sur le cinéma" m'a un peu échappé (même si c'en est un sans aucun doute) pour cette 1ere fois...j'en retiens plus un film sur le couple et l'amour(Ah la scène de l'appartement, captivante du début à la fin). Pouvez-vous m'expliquer cette dimension please?
Pour l'instant assez d'accord avec çaVic Vega a écrit :Mon Godard préféré: son film le plus touchant, un grand film sur le couple et sur le cinéma où la théorie ne l'emporte jamais sur l'émotion, un score de Delerue et une scène d'ouverture que je n'oublierai jamais. Godard a fait plus léger (A Bout de Souffle, Bande à Part, Une femme est une femme), plus audacieux visuellement (Pierrot le Fou) mais jamais aussi poignant. Fait partie de mes films français favoris. 11/10
Mais la dimension "Film sur le cinéma" m'a un peu échappé (même si c'en est un sans aucun doute) pour cette 1ere fois...j'en retiens plus un film sur le couple et l'amour(Ah la scène de l'appartement, captivante du début à la fin). Pouvez-vous m'expliquer cette dimension please?
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Godard touche à un trait essentiel de la vie de couple : l'altérité. Comment appréhender et comprendre l'autre, celui avec qui on vit ?Cinetudes a écrit : Sa conception du couple et l'absence de logique et de justification de la haine de BB à l'égard de Piccoli
Le couple Bardot/Piccoli est un couple du cinéma moderne. Contrairement au couple du cinéma classique qui s'il se dispute parvient toujours à identifier et à nommer ses problèmes, le couple moderne (couple godardien, antonionien, cassevetsien...) dépasse les considérations psychologiques. Nous avons deux êtres qui vivent ensemble, et qui sont définitivement étrangers l'un à l'autre. Godard n'a pas besoin d'expliquer ce qui motive le Mépris de Camille. on peut toujours lui trouver des raisons rationnelles et bassement psychologiques, mais le fait est que ce mépris est là, et que cette incompréhension découle d'un changement de statut de la vision du monde dans le cinéma. Dans le cinéma classique le monde est identifiable, logique, compréhensible. L'honne vit d'ailleurs en harmonie avec ce monde. Dans ce que je nomme le cinéma moderne, le chaos succède au cosmos, il faut accepter que le monde soit devenu sinon incompréhensible du moins insaisissable.
Des concepts dis-tu ? Des idées non développées ?Cinetudes a écrit : Le soi disant vertige de la création et sa reflexion sur le cinéma me laissent de marbre car elles restent en permanence à l'état de concept, d'idées et ne sont jamais vraiment développé.
Ce film est l'un des plus charnels de son auteur.
Bien sûr qu'il est question d'idées. Mais ces idées sont travaillées de manière brillante par Godard. Ce qui est de l'ordre de la pensée s'incarne bel et bien : le monde d'Homère est dédoublé par celui du cinéma. l'Odyssée se joue à Cinecitta. Le couple Pénélope/Ulysse s'incarne dans celui formé par Camille/Paul. Lang incarne, quant à lui, le cinéaste classique par excellence. On parle de la période la plus créatrice de Godard ici. On est encore loin de son enfermement dans un système théorique stérile.
Que veux-tu, il faut accepter le fait qu'un mari ne parvienne pas à comprendre ce qui motive le mépris de sa femme, comme il faut accepter qu'il existe différentes conceptions du cinéma. Heureusement pour nous l'art n'a rien d'univoque, et il existe autant de manière de l'appréhender qu'il existe d'artistes. Que la conception de Godard soit à l'opposée de la tienne soit...mais nous demander de te prouver que tu as tort est une requête bien étrange. Encore un partisan de l'objectivité absolue ?Cinetudes a écrit :Un signe de plus de sa conception étrange de l'art cinématographique.
Je ne peux pas te prouver que tu as tort, je peux juste te montrer pourquoi j'aime ce film. Mes compétences s'arrêtent là...inféodées qu'elles sont à ma vision du cinéma, justement.
"De toutes les sciences humaines, la pipeaulogie - à ne pas confondre avec la pipe au logis - ou art de faire croire qu'on sait de quoi on parle, est sans conteste celle qui compte le plus de diplômés !" Cosmo (diplômé en pipeaulogie)
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Dans mes souvenirs (vagues, je n'ai vu le film qu'une fois, et il y a un an), cette dimension serait assez perceptible à travers la mort du personnage de Jack Palance à la fin, qui représenterait la mort du grand cinéma d'Hollywood (puisque Fritz Lang finit le film tout seul, et que la voix qu'on entend à la dernière scène est celle de Godard : prise de pouvoir de la Nouvelle Vague). D'ailleurs, je me suis toujours dit que ça n'était pas un hasard si Lynch avait repris la dernière réplique du film comme dernière réplique de Mulholland Drive, qui est aussi un film sur le cinéma, un film sur le démontage de "l'usine à rêves" d'Hollywood.Philip Marlowe a écrit :Pour ce qui est de Bardot, la question ne se pose pas vraiment dans mon cas En fait elle ne joue pas vraiment. Mais elle est dans le ton du film alors ça passe bien.
Pour l'instant assez d'accord avec çaVic Vega a écrit :Mon Godard préféré: son film le plus touchant, un grand film sur le couple et sur le cinéma où la théorie ne l'emporte jamais sur l'émotion, un score de Delerue et une scène d'ouverture que je n'oublierai jamais. Godard a fait plus léger (A Bout de Souffle, Bande à Part, Une femme est une femme), plus audacieux visuellement (Pierrot le Fou) mais jamais aussi poignant. Fait partie de mes films français favoris. 11/10
Mais la dimension "Film sur le cinéma" m'a un peu échappé (même si c'en est un sans aucun doute) pour cette 1ere fois...j'en retiens plus un film sur le couple et l'amour(Ah la scène de l'appartement, captivante du début à la fin). Pouvez-vous m'expliquer cette dimension please?