Tu ne le trouves même pas un peu divertissant (Vu que tu as arrêté en route, j'ai une petite idée de la réponse ceci dit...)Jeremy Fox a écrit :Ca va pas non ? Je dis ça après avoir tenté de revoir Borsalino récemment ; je n'ai pas tenu une heureRick Blaine a écrit : Dans ma hiérarchie Deray, Une homme est Mort viendrait assez haut. Juste un peu derrière Borsalino quoi...
Notez les films naphtas : Août 2011
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
Vu qu'il m'a ennuyé et agacé, je n'ai pas pu le trouver divertissant. Mais je ne pourrais pas t'en dire plus car je l'ai déjà oublié (reste juste ma note que j'ai retrouvé dans mes films du mois, un petit 3/10 ). DésoléRick Blaine a écrit :Tu ne le trouves même pas un peu divertissant (Vu que tu as arrêté en route, j'ai une petite idée de la réponse ceci dit...)Jeremy Fox a écrit :
Ca va pas non ? Je dis ça après avoir tenté de revoir Borsalino récemment ; je n'ai pas tenu une heure
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
Jeremy Fox a écrit :Désolé
Il n'y a pas de quoi tout de même.
Je crois que j'aime bien ce que fait Deray de manière générale, tu y ajoutes Delon et Belmondo, ça fait beaucoup de raisons, entre autres choses, pour moi de le placer très haut. Mais j'imagine très bien qu'il puisse agacer.
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
Pas franchement emballé non plus par ce film de Deray. J'ai sans cesse eu l'impression que sa réalisation n'était qu'un prétexte à une rencontre Delon/Bébel.
Et avec le recul, je ne peux pas m'empêcher de trouver grotesque leur rencontre (à base de bourre-pifs en veux-tu en voilà), la mise en scène pas fantastique et l'interprétation des deux acteurs principaux en pilote automatique (sans saveur quoi). Je n'irai pas jusqu'à mettre un 3/10 comme Jeremy mais tout juste la moyenne.
Et avec le recul, je ne peux pas m'empêcher de trouver grotesque leur rencontre (à base de bourre-pifs en veux-tu en voilà), la mise en scène pas fantastique et l'interprétation des deux acteurs principaux en pilote automatique (sans saveur quoi). Je n'irai pas jusqu'à mettre un 3/10 comme Jeremy mais tout juste la moyenne.
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
J'aime bien ce Borsalino, pour ma part. Certes, la vraisemblance n'est pas l'enjeu majeur du film, de même que la mise en scène, qui s'avère assez plate. Mais il reste deux acteurs à l'indéniable cinégénie, une atmosphère nostalgique et un joli récit d'amitié et d'ascension dans le crime.
De ce point de vue, j'ai trouvé la montée en puissance du film plutôt bien fichue : ça démarre bon enfant, avec des bourre-pifs et une certaine naïveté (la séquence des poissons), pour finir dans le sang et dans une vraie noirceur. Deray conduit efficacement cette progression, je trouve, malgré quelques scories qui atténuent la force de quelques séquences.
De ce point de vue, j'ai trouvé la montée en puissance du film plutôt bien fichue : ça démarre bon enfant, avec des bourre-pifs et une certaine naïveté (la séquence des poissons), pour finir dans le sang et dans une vraie noirceur. Deray conduit efficacement cette progression, je trouve, malgré quelques scories qui atténuent la force de quelques séquences.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
CaupainGrimmy a écrit :Un homme est mort ? Mais c'est un film génial ! Trintignant au top, la présence de Roy Scheider, L.A. filmé comme personne, un final grandiose, bref, masterpiece !!Federico a écrit : Il tient parfaitement la comparaison avec les polars US de son époque (et si j'osais, est bien supérieur à beaucoup d'entre eux). De plus, avec la présence de Roy Scheider, Angiiiiiiiiie Dickinson et Ted de Corsia (qui a droit à une des plus belles fins de "vilain" que je connaisse), c'est du nanan.
Et j'allais oublier la zik du père Michel qui tricota ici un de ses scores les plus velus.
The difference between life and the movies is that a script has to make sense, and life doesn't.
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
Legrand et Jones ont été à la même école (celle de Nadia Boulanger) donc c'est pas étonnant.julien a écrit :Ah oui Legrand s'est mis au funk là pour l'occasion. Je connaissais le thème du film que l'on trouve sur une compilation. Je pense qu'il a fortement dû être inspiré par son pote Quincy Jones, qui faisait un peu ce type de musique à la même époque. C'est dommage qu'il est pas persévéré dans le genre. C'était plutôt pas mal en effet.
Perso, c'est le thème de lui que je préfère, juste en dessous de l'inatteignable The Boston Wrangler de Thomas Crown.
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
L'aventure fantastique (Many Rivers to Cross) - Roy Rowland - 1955
Une histoire pleine d'humour et de joie de vivre que celle de "Many RIvers to Cross" qui se passe au Kentucky vers la fin du XVIIIème siècle. Le trappeur Bushrod Gentry (Robert Taylor) mène une vie aventureuse et dangereuse dans la nature sauvage. A la suite d'un combat contre des indiens il est sauvé par l'intrépide Mary Stuart (Eleanor Parker) qui tombe sous son charme et décide que ce sera l'homme de sa vie. Elle va tout faire pour le contraindre à l'épouser, allant même jusqu'à prétendre qu'il l'a déshonoré. Son père Cadmus Cherne (Victor McLaglen parfait en patriarche écossais et myope ) et ses frères vont forcer sous la menace Bushrod qui se retrouve contre son gré marié.
Ce film est très loin des westerns traditionnels, il met en scène des trappeurs, des colons, des indiens mais pas un seul cow-boy à l'horizon. Le couple formé par Robert Taylor qui révèle un humour pince sans rire et Eléanor Parker en mégère apprivoisée en fait un duo étonnant, détonnant et émouvant. Film sans prétention, avec un scénario prévisible, mais bien construit, toujours du rythme, bonnes réparties, bref on ne s'ennuie pas. Bonne surprise, une petite sucrerie bien agréable
8/10
Une histoire pleine d'humour et de joie de vivre que celle de "Many RIvers to Cross" qui se passe au Kentucky vers la fin du XVIIIème siècle. Le trappeur Bushrod Gentry (Robert Taylor) mène une vie aventureuse et dangereuse dans la nature sauvage. A la suite d'un combat contre des indiens il est sauvé par l'intrépide Mary Stuart (Eleanor Parker) qui tombe sous son charme et décide que ce sera l'homme de sa vie. Elle va tout faire pour le contraindre à l'épouser, allant même jusqu'à prétendre qu'il l'a déshonoré. Son père Cadmus Cherne (Victor McLaglen parfait en patriarche écossais et myope ) et ses frères vont forcer sous la menace Bushrod qui se retrouve contre son gré marié.
Ce film est très loin des westerns traditionnels, il met en scène des trappeurs, des colons, des indiens mais pas un seul cow-boy à l'horizon. Le couple formé par Robert Taylor qui révèle un humour pince sans rire et Eléanor Parker en mégère apprivoisée en fait un duo étonnant, détonnant et émouvant. Film sans prétention, avec un scénario prévisible, mais bien construit, toujours du rythme, bonnes réparties, bref on ne s'ennuie pas. Bonne surprise, une petite sucrerie bien agréable
8/10
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
RoGoPaG (Rossellini, Godard, Pasolini, Gregoretti - 1963)
Film à sketches plutôt hétéroclites tournants autour de l'influence du monde moderne sur l'Homme.
Illibatezza (Rossellini) raconte l'histoire d'une hôtesse de l'air stationnée en extrême orient qu'un passager américain poursuit de ses assiduités pour son côté "maternelle". Sujet intéressant et esthétiquement agréable, mais mis en scène par Rossellini de manière plutôt froide. L’interprétation (Rosanna Schiaffino, Bruce Balaban) n'est pas non plus totalement convaincante. Sans ennuyer, ce segment ne satisfait pas complétement et manque de conviction.
Il nuovo mondo (Godard). Un traitement assez habile de la fin du monde, ou un Paris post-apocalyptique ressemble fortement à son prédécesseur, à quelques détails près. Cette situation permet à Godard de revenir à ses thèmes chers, le couple, la communication, dans un univers intéressant. On se trouve face à un travail classique de sa part, toujours inventif par son montage visuel et sonore. Un très bon segment.
La ricotta (Pasolini). J'ai certains a priori sur Pasolini, mais ici il signe incontestablement le segment le plus intéressant du film, centré sur le destin d'un figurant affamé d'un film traitant de la Passion du Christ (et dont le metteur en scène est incarné par Orson Welles). Le segment est à la fois fort drôle et extrêmement touchant, riche dans son fond et dans sa forme, visuellement marquant, c'est une magnifique réussite.
Il pollo ruspante (Gregoretti). On quitte l'inventivité des deux précédents segments pour un sketches dénonçant la société de consommation qui est traité avec une certaine lourdeur. L'épaisseur du trait et une mise en scène quelconque gâchent ce segment, dans lequel on prend tout de même plaisir à retrouver Ugo Tognazzi. Dispensable.
Dans l'ensemble RoGoPaG est donc inégal, mais n'ennuie jamais. Un moment agréable rehaussé par les segments de Godard et surtout Pasolini qui valent le visionnage.
Film à sketches plutôt hétéroclites tournants autour de l'influence du monde moderne sur l'Homme.
Illibatezza (Rossellini) raconte l'histoire d'une hôtesse de l'air stationnée en extrême orient qu'un passager américain poursuit de ses assiduités pour son côté "maternelle". Sujet intéressant et esthétiquement agréable, mais mis en scène par Rossellini de manière plutôt froide. L’interprétation (Rosanna Schiaffino, Bruce Balaban) n'est pas non plus totalement convaincante. Sans ennuyer, ce segment ne satisfait pas complétement et manque de conviction.
Il nuovo mondo (Godard). Un traitement assez habile de la fin du monde, ou un Paris post-apocalyptique ressemble fortement à son prédécesseur, à quelques détails près. Cette situation permet à Godard de revenir à ses thèmes chers, le couple, la communication, dans un univers intéressant. On se trouve face à un travail classique de sa part, toujours inventif par son montage visuel et sonore. Un très bon segment.
La ricotta (Pasolini). J'ai certains a priori sur Pasolini, mais ici il signe incontestablement le segment le plus intéressant du film, centré sur le destin d'un figurant affamé d'un film traitant de la Passion du Christ (et dont le metteur en scène est incarné par Orson Welles). Le segment est à la fois fort drôle et extrêmement touchant, riche dans son fond et dans sa forme, visuellement marquant, c'est une magnifique réussite.
Il pollo ruspante (Gregoretti). On quitte l'inventivité des deux précédents segments pour un sketches dénonçant la société de consommation qui est traité avec une certaine lourdeur. L'épaisseur du trait et une mise en scène quelconque gâchent ce segment, dans lequel on prend tout de même plaisir à retrouver Ugo Tognazzi. Dispensable.
Dans l'ensemble RoGoPaG est donc inégal, mais n'ennuie jamais. Un moment agréable rehaussé par les segments de Godard et surtout Pasolini qui valent le visionnage.
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
L'incendie de Chicago (In Old Chicago) - Réalisé par Henri King en 1937
Molly O'Leary (Alice Brady) et ses trois fils arrivent en ville après un voyage périlleux qui a coûté la vie au chef de la famille. Jack O'Leary (Don Amèche) devient avocat alors que son frère Dion (Tyrone Power) se lance dans la spéculation financière très douteuse et tombe amoureux d'une chanteuse nommée Belle Fawcett (Alice Faye). Il ouvre un saloon où chante sa belle .
Les élections approchent et ce nouvel enjeu va exacerber les rivalités. Jack est élu maire de Chicago, il lutte contre la corruption dans sa ville et il est prêt à inculper tous les "requins" de la ville, y compris son propre frère Dion, celui-ci craignant que Belle témoigne contre lui la demande en mariage. Une fois mariés, il apprend à son frère que c'était dans le seul but d'éviter qu'elle témoigne, s'ensuit une bagarre entre les deux frères et Belle s'enfuit.
Eclate alors le terrible incendie provoqué par la chute d'une lampe dans la grange de Molly O'Leary et qui va se propager très rapidement dans le quartier. Lors de l'incendie, Jack va se comporter en héros et Dion va retrouver sa mère et sa femme qu'il a en fait toujours aimé.
Si seul le dernier tiers du film est consacré à la catastrophe, le film n’en demeure pas moins réussi, ne serait-ce que par l’interprétation impeccable des acteurs, Alice Brady jouant la mère a été récompensée par l'oscar de la meilleure actrice dans un second rôle. Les séquences qui mettent en scène l'exode massif de la population face aux flammes sont très convaincantes, sachant que le film a bénéficié de l’un des plus gros budget de l’époque.
7/10
Molly O'Leary (Alice Brady) et ses trois fils arrivent en ville après un voyage périlleux qui a coûté la vie au chef de la famille. Jack O'Leary (Don Amèche) devient avocat alors que son frère Dion (Tyrone Power) se lance dans la spéculation financière très douteuse et tombe amoureux d'une chanteuse nommée Belle Fawcett (Alice Faye). Il ouvre un saloon où chante sa belle .
Les élections approchent et ce nouvel enjeu va exacerber les rivalités. Jack est élu maire de Chicago, il lutte contre la corruption dans sa ville et il est prêt à inculper tous les "requins" de la ville, y compris son propre frère Dion, celui-ci craignant que Belle témoigne contre lui la demande en mariage. Une fois mariés, il apprend à son frère que c'était dans le seul but d'éviter qu'elle témoigne, s'ensuit une bagarre entre les deux frères et Belle s'enfuit.
Eclate alors le terrible incendie provoqué par la chute d'une lampe dans la grange de Molly O'Leary et qui va se propager très rapidement dans le quartier. Lors de l'incendie, Jack va se comporter en héros et Dion va retrouver sa mère et sa femme qu'il a en fait toujours aimé.
Si seul le dernier tiers du film est consacré à la catastrophe, le film n’en demeure pas moins réussi, ne serait-ce que par l’interprétation impeccable des acteurs, Alice Brady jouant la mère a été récompensée par l'oscar de la meilleure actrice dans un second rôle. Les séquences qui mettent en scène l'exode massif de la population face aux flammes sont très convaincantes, sachant que le film a bénéficié de l’un des plus gros budget de l’époque.
7/10
Dernière modification par Flavia le 24 août 11, 20:57, modifié 2 fois.
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
Henry King à la caméra, Lamar Trotti au scénario ; le résultat est quasiment toujours réussi. Ajoutez-y Alice Faye...
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
J'ai également le souvenir d'un film réussi. Le plus marquant étant, pour moi, la dernière partie nous montrant l'incendie. Très impressionnant.
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
Même chose. Mais mon souvenir est extrêmement lointain. Comme Sans Francisco (qui parle du tremblement de terre de 1906), un film tiré d'un vénement réel : le grand incendie qui ravagea Chicago au XIXème siècle;
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
San Francisco a beaucoup plus mal vieilli et dans l'ensemble, s'avère assez ennuyeuxriqueuniee a écrit :Même chose. Mais mon souvenir est extrêmement lointain. Comme Sans Francisco (qui parle du tremblement de terre de 1906), un film tiré d'un vénement réel : le grand incendie qui ravagea Chicago au XIXème siècle;
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Re: Notez les films naphtas : Août 2011
La blonde défie le FBI (The Glass Bottom Boat) réalisé par Frank Tashlin - 1966
Le week-end, Jennifer Nelson (Doris Day) joue la sirène au large de Los Angeles pour amuser les touristes embarqués sur le bateau de son père, elle va se retrouver accrochée au bout de l'hameçon de Bruce Templeton (Rod Taylor), le grand patron du laboratoire de recherche spatiale où elle travaille en tant que guide. Bien sûr Bruce tombe sous le charme de Jennifer, il va lui fait visiter sa maison pleine de gadgets hilarants qui vont donner lieu à des scènes très amusantes tout au long du film, et lui proposer d'écrire sa biographie. Or un général, ami de Bruce, est persuadé que la jeune femme est une espionne russe, cette situation va donner lieu à des quiproquos à gogo.
Cette comédie, avec un rythme effréné tient bien la route jusqu'au dénouement. Cette brillante parodie des films d'espionnage, réalisée par l'un des maîtres de la comédie (Frank Tashlin) apporte son lot de situations cocasses (comme celle où Jennifer téléphone à son chien).
Doris Day est épatante dans ce rôle où elle démontre qu'elle a vraiment un talent comique, elle se glisse à merveille dans la peau de cette jeune femme entrainée malgré elle dans des situations incroyables et Rod Taylor s'en sort pas trop mal face à la tornade Doris.
Comédie joyeuse, sans temps mort, à regarder sans modération.
8/10
Le week-end, Jennifer Nelson (Doris Day) joue la sirène au large de Los Angeles pour amuser les touristes embarqués sur le bateau de son père, elle va se retrouver accrochée au bout de l'hameçon de Bruce Templeton (Rod Taylor), le grand patron du laboratoire de recherche spatiale où elle travaille en tant que guide. Bien sûr Bruce tombe sous le charme de Jennifer, il va lui fait visiter sa maison pleine de gadgets hilarants qui vont donner lieu à des scènes très amusantes tout au long du film, et lui proposer d'écrire sa biographie. Or un général, ami de Bruce, est persuadé que la jeune femme est une espionne russe, cette situation va donner lieu à des quiproquos à gogo.
Cette comédie, avec un rythme effréné tient bien la route jusqu'au dénouement. Cette brillante parodie des films d'espionnage, réalisée par l'un des maîtres de la comédie (Frank Tashlin) apporte son lot de situations cocasses (comme celle où Jennifer téléphone à son chien).
Doris Day est épatante dans ce rôle où elle démontre qu'elle a vraiment un talent comique, elle se glisse à merveille dans la peau de cette jeune femme entrainée malgré elle dans des situations incroyables et Rod Taylor s'en sort pas trop mal face à la tornade Doris.
Comédie joyeuse, sans temps mort, à regarder sans modération.
8/10