Notez les films mars 2011
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Re: Notez les films mars 2011
L'Agence (The Adjustment Bureau) - George Nolfi (2011)
Alors que j'avais prévu d'aller voir Never let me go pour ressentir ce que Anorya avait exprimé dans sa critique, j'ai été "obligé" d'aller voir L'Agence et je dois dire que j'ai bien regretté d'avoir accompagné mes 2 potes. J'ai trouvé le film bien trop lent lent avec des passages réellement mous qui ont eu tendance à me faire décrocher, prévisible à des kilomètres, empêtré dans une histoire assez ridicule à laquelle je n'ai vraiment pas accroché et dont la fin est expédiée en 2 temps 3 mouvements. La seule chose positive qui ressort de ce film provient des moments où David (interprété par Matt Damon) et Elise (interprétée par la jolie Emily Blunt) sont seuls. En effet ces scènes sont toujours agréables à suivre car les 2 comédiens sont réellement convaincants et on arrive à croire à leur histoire d'amour...en ce qui concerne le reste du film, c'est bien trop lent, trop long à se mettre en route et surtout il y a cette désagréable impression de déjà-vu, cette absence d'idées nouvelles et surtout le fait que le scénario n'offre aucune place à une présentation des agents et/ou à leurs origines : ils sont là uniquement pour que le plan (rédigé par le grand patron) soit suivi scrupuleusement et que les gens ne s'éloignent pas de la voie qui leur est tracée, passent leur temps à franchir des portes en tournant la poignée à gauche avec un chapeau sur la tête, à regarder leur livre pour vérifier que le plan est suivi et c'est tout....bin moi je préfère True Grit 5/10
Alors que j'avais prévu d'aller voir Never let me go pour ressentir ce que Anorya avait exprimé dans sa critique, j'ai été "obligé" d'aller voir L'Agence et je dois dire que j'ai bien regretté d'avoir accompagné mes 2 potes. J'ai trouvé le film bien trop lent lent avec des passages réellement mous qui ont eu tendance à me faire décrocher, prévisible à des kilomètres, empêtré dans une histoire assez ridicule à laquelle je n'ai vraiment pas accroché et dont la fin est expédiée en 2 temps 3 mouvements. La seule chose positive qui ressort de ce film provient des moments où David (interprété par Matt Damon) et Elise (interprétée par la jolie Emily Blunt) sont seuls. En effet ces scènes sont toujours agréables à suivre car les 2 comédiens sont réellement convaincants et on arrive à croire à leur histoire d'amour...en ce qui concerne le reste du film, c'est bien trop lent, trop long à se mettre en route et surtout il y a cette désagréable impression de déjà-vu, cette absence d'idées nouvelles et surtout le fait que le scénario n'offre aucune place à une présentation des agents et/ou à leurs origines : ils sont là uniquement pour que le plan (rédigé par le grand patron) soit suivi scrupuleusement et que les gens ne s'éloignent pas de la voie qui leur est tracée, passent leur temps à franchir des portes en tournant la poignée à gauche avec un chapeau sur la tête, à regarder leur livre pour vérifier que le plan est suivi et c'est tout....bin moi je préfère True Grit 5/10
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Re: Notez les films mars 2011
Rango de Gore Verbinski
Verbinski transpose son art du récit décalé et de l'énergie cartoonesque vus dans La Souris et Pirates des Caraïbes au sein du western avec comme grande différence un vrai script maîtrisé et équilibré. Du coup le délire, la parodie et les gros gags sont bien là grâce à l'abattage vocal de Depp (plus Hunter Thompson que Jack Sparrow et un gros clin d'oeil au film de Gilliam) et des multiples situations loufoques mais c'est aussi un vrai beau western (plus spaghetti que américain à travers l'icônisation, les trognes pas possibles des méchants le jeu sur l'humour et l'humiliation) animé en forme de parcours initiatique pour Rango. Un drôle de héros qui se rêve plus qu'il ne vit et va basculer brutalement dans la grande aventure et se révéler à lui même (et pas étonnant qu'il soit un caméléon du coup). La parodie glisse peu à peu vers le vrai western avec la bande son de Zimmer truffé d'hommage à Morricone et quelques autres, le graphisme est somptueux et le film devient fascinant dans sa facette introspective vers la fin avec la déchéance du héros où Verbinski refait le début du 3e Pirate des Caraïbes en misant plus sur l'émotion que l'humour. Plein d'idées géniale (les mariachis qui chantent la mort imminente de Rango tout au long du film) de morceaux de bravours dantesque (la poursuite dans le canyon sur fond de Chevauchée des walkyrie) et une presque apparition de
Verbinski transpose son art du récit décalé et de l'énergie cartoonesque vus dans La Souris et Pirates des Caraïbes au sein du western avec comme grande différence un vrai script maîtrisé et équilibré. Du coup le délire, la parodie et les gros gags sont bien là grâce à l'abattage vocal de Depp (plus Hunter Thompson que Jack Sparrow et un gros clin d'oeil au film de Gilliam) et des multiples situations loufoques mais c'est aussi un vrai beau western (plus spaghetti que américain à travers l'icônisation, les trognes pas possibles des méchants le jeu sur l'humour et l'humiliation) animé en forme de parcours initiatique pour Rango. Un drôle de héros qui se rêve plus qu'il ne vit et va basculer brutalement dans la grande aventure et se révéler à lui même (et pas étonnant qu'il soit un caméléon du coup). La parodie glisse peu à peu vers le vrai western avec la bande son de Zimmer truffé d'hommage à Morricone et quelques autres, le graphisme est somptueux et le film devient fascinant dans sa facette introspective vers la fin avec la déchéance du héros où Verbinski refait le début du 3e Pirate des Caraïbes en misant plus sur l'émotion que l'humour. Plein d'idées géniale (les mariachis qui chantent la mort imminente de Rango tout au long du film) de morceaux de bravours dantesque (la poursuite dans le canyon sur fond de Chevauchée des walkyrie) et une presque apparition de
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Re: Notez les films mars 2011
Of vice and veins ? Excellent film sur les dégâts de l'héroïne...riqueuniee a écrit :Il lui restera à voir des hommes et des sourisAnorya a écrit :
C'est une version alternative si ça se trouve.
OK, je aussi.
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Re: Notez les films mars 2011
L'agence Belle surprise que ce film, dont je n'attendais pas grand chose. De la SF (ou de l'anticipation) à l'ancienne, sans effets spéciaux spectaculaires, et un beau sujet (adapté d'une nouvelle de Philip K. Dick), et une fin qui fait de ce film un éloge du libre-arbitre .
Excellente interprétation.
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Re: Notez les films mars 2011
En tout cas, pour une film mauvais, qu'est ce qu'il y a comme monde dans les sallesriqueuniee a écrit :Tous ces avis négatifs me donneraient presque envie de voir le film, histoire de voir si c'est vraiment aussi mauvais que ça...
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Re: Notez les films mars 2011
Sucker Punch de Zack Snyder
Pour son premier film non adapté d'une quelconque sources (remake, comics, livre pour enfants...) il semble que Snyder se soit lâché pour de bon avec son film le plus ouvertement décomplexé et personnel à ce jour. C'est simple si vous êtes vraiment épidermique à son style c'est le film à fuir par excellence . Le scénario lorgne ouvertement sur la trilogie de l'imaginaire de Gilliam (Time Bandits, Brazil, Munchausen avec un clin d'oeil lors de l'apparition d'un samourai à l'allure titanesque
Rendues fortes par leur puissance dans l'imaginaire, les personnages si fragile trouve le courage de se libérer dans un étonnant climax dénué d'action et poignant. Niveau mise en scène Snyder fait du Snyder en poussant son style dans les derniers retranchements avec festival de ralentis/accélérés, postures héroïques et sexy et actions faramineuses jamais confuse et toujours lisible. Après on adhère ou pas mais honnêtement je n'avais pas jubilé comme ça devant de l'action grand spectacle depuis les Matrix autant dans le melting pot des univers (steam punk croisant jeu vidéo croisant fantasy, croisant sf futuriste) que des influences parfaitement digérées. Du coup quelques images fabuleuses comme un mecha qui décime des avions de la seconde guerre mondiale, des affrontements au sabre et aux flingues virevoltants et sauvages dans les tranchées ou l'apparition d'un dragon titanesque. On retrouve son thème de la révélation de soit même au combat avec ses jeunes filles transformées en redoutable guerrières et ce côté féministe (qu'on devinait dejà au milieu de la testostérone de 300) avec une vision des hommes assez terrifiante tous violent, libidineux et pervers (méchant grandiose de fourberie déjà vu dans Agora) où on devine une peur sous jacente de la perte de la virginité. Bref c'est psychanalytique, rock'n'roll et bien bourrin, ça devrait partager (quelques fautes de goûts et un sentiment de trop plein mais c'est ça qui est bon) mais ça vaut le détour. Niveau cast Jena Malone (blonde et chveux courts ça change vraiment !), Abbie Cornish et Emily Browning sont épatantes, nettement moins convaincu par Vanessa Hudgens et Jamie Chung de toute façon moins mise en avant. 5/6
Pour son premier film non adapté d'une quelconque sources (remake, comics, livre pour enfants...) il semble que Snyder se soit lâché pour de bon avec son film le plus ouvertement décomplexé et personnel à ce jour. C'est simple si vous êtes vraiment épidermique à son style c'est le film à fuir par excellence . Le scénario lorgne ouvertement sur la trilogie de l'imaginaire de Gilliam (Time Bandits, Brazil, Munchausen avec un clin d'oeil lors de l'apparition d'un samourai à l'allure titanesque
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Rendues fortes par leur puissance dans l'imaginaire, les personnages si fragile trouve le courage de se libérer dans un étonnant climax dénué d'action et poignant. Niveau mise en scène Snyder fait du Snyder en poussant son style dans les derniers retranchements avec festival de ralentis/accélérés, postures héroïques et sexy et actions faramineuses jamais confuse et toujours lisible. Après on adhère ou pas mais honnêtement je n'avais pas jubilé comme ça devant de l'action grand spectacle depuis les Matrix autant dans le melting pot des univers (steam punk croisant jeu vidéo croisant fantasy, croisant sf futuriste) que des influences parfaitement digérées. Du coup quelques images fabuleuses comme un mecha qui décime des avions de la seconde guerre mondiale, des affrontements au sabre et aux flingues virevoltants et sauvages dans les tranchées ou l'apparition d'un dragon titanesque. On retrouve son thème de la révélation de soit même au combat avec ses jeunes filles transformées en redoutable guerrières et ce côté féministe (qu'on devinait dejà au milieu de la testostérone de 300) avec une vision des hommes assez terrifiante tous violent, libidineux et pervers (méchant grandiose de fourberie déjà vu dans Agora) où on devine une peur sous jacente de la perte de la virginité. Bref c'est psychanalytique, rock'n'roll et bien bourrin, ça devrait partager (quelques fautes de goûts et un sentiment de trop plein mais c'est ça qui est bon) mais ça vaut le détour. Niveau cast Jena Malone (blonde et chveux courts ça change vraiment !), Abbie Cornish et Emily Browning sont épatantes, nettement moins convaincu par Vanessa Hudgens et Jamie Chung de toute façon moins mise en avant. 5/6
Dernière modification par Profondo Rosso le 25 mars 11, 00:35, modifié 1 fois.
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Re: Notez les films mars 2011
Hmmm, ça a l'air gratiné... vais peut-être me laisser tenter !
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Re: Notez les films mars 2011
Ça sent le nanar surfriqué.
Je crois que cette fois-ci, je passe mon chemin avec Snyder.
3 films, c'est suffisant.
Je crois que cette fois-ci, je passe mon chemin avec Snyder.
3 films, c'est suffisant.
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- Kevin95
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Re: Notez les films mars 2011
Red Heat (Walter Hill)
J'aime énormément le cinéaste Walter Hill mais faut quand même confesser que la décennie 80, s'il elle lui donna gloire et richesse, elle fut aussi le début de la fin. Hill est un cinéaste des seventies, c'est évident si l'on s'attarde sur son esthétique et ses thématiques, aussi le style fashy et clipesque (pour caricaturer) et les nouvelles attentes du public durant la décennie 80, ne sied pas totalement à son style. A quelques réussites près, l'inégalité prime abord chez Hill quand on se concentre sur les films qui réalisa durant les années 80.
A la frontière entre le réussit et le raté, Red Heat avait tout pour être un actionner mythique, l'idée de départ de faire interprété le rôle d'un soviet à Schwarzenegger était plutôt bonne et de le savoir dézinguer dans l'Amérique des eighties mets l'eau à la bouche des cinéphiles les plus devient. Hors ça ne marche pas, ça ne prends pas, le film n'est pas complétement raté mais on sent chez le réalisateur une certaine fatigue à l'idée de réitérer le buddy movie qui fit sa gloire (48 Hrs.). Pour s'en prouver il faut voir le duo présenté dans Red Heat, un duo complétement inégal (la star c'est Schwarzenegger, Belushi ne sert que de faire valoir) jamais en symbiose (puisque une pauvre scène nous les présente seuls en plein discussion intime) et quand arrive l'éternelle scène finale des au revoir, on ne croit pas tellement aux sentiments éprouvés par les personnages (on pense qu'ils viennent tout juste de se connaitre). Belushi, tellement réduit à son rôle de contre-point humoristique, qu'au final son personnage ne se développe jamais et l'acteur en devient insupportable à force de grimaces, de sur-jeu et de vannes jamais drôle car trop forcées. Reste notre autrichien préféré qui s'en donne à cœur joie dans son rôle de brute monolithique et va y que je me fight à poil dans la neige et va y que je brise des doigts tout en prônant une politique expéditive... non vraiment heureusement que l'acteur est là car c'est bien lui la valeur ajoutée du film (c'était avant qu'il ne devienne l'ami des plus petits durant les 90's). Red Heat n'est pas degueu, ce serait mentir que de dire que je me suis ennuyé d'un bout à l'autre. C'est un film pop corn agréable mais qui demeure une déception quand on connait le nom du metteur en scène. Cela dit, Hill nous offre quand même quelques scènes visuellement bien foutu, l'intro en URSS par exemple où encore un orage à Los Angeles assez beau.
Deux ans plus tard, Hill confirmera sa fatigue avec le (sympa mais) pas génial Another 48 Hrs. avant d'entamer une décennie 90 qui creusera sa tombe cinématographique. Red Heat est un film d'un autre temps qui se regarde soit comme un objet socio-politique soit tout simplement comme un plaisir régressif.
Les deux fléaux qui menacent l'humanité sont le désordre et l'ordre. La corruption me dégoûte, la vertu me donne le frisson. (Michel Audiard)
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Re: Notez les films mars 2011
Hell Driver
Nicolas Cage continue de jouer dans des nanars improbables. Ca part pourtant d'une bonne idée et il y a quelques séquences d'action sympathique, le fond fantastique est lui aussi pas mal exploité mais ça s'essouffle vite et ça devient répétitif et excessif.
Dommage car il y avait du potentiel, un film cependant à voir au ciné car la 3D est plutôt réussie.
Nicolas Cage continue de jouer dans des nanars improbables. Ca part pourtant d'une bonne idée et il y a quelques séquences d'action sympathique, le fond fantastique est lui aussi pas mal exploité mais ça s'essouffle vite et ça devient répétitif et excessif.
Dommage car il y avait du potentiel, un film cependant à voir au ciné car la 3D est plutôt réussie.
Blogs Perso, Cinéma de Minuit : http://cineminuit.fr.over-blog.com/
Cinéma Actuel : http://sallesobscures2.over-blog.fr/
"And Now Mr Serling"
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Re: Notez les films mars 2011
Rango Première incursion de Gore Verbinski dans le cinéma d'animation. C'est très réussi. Techniquement, c'est parfait (à un tel point qu'on peut se demander s'il n'y a pas des prises de vues relles). L'histoire fonctionne bien. C'est très référencé (le film est une parodie de western spaghetti), mais ^sans que ça plombe le film.
Les dialogues sont drôles (et plus "adultes" que ce qu'on a l'habitude d'entendre dans ce genre de productions, si je me fie aux sous-titres).
Beau casting vocal, avec Johnny Depp dans le rôle-titre.
Les dialogues sont drôles (et plus "adultes" que ce qu'on a l'habitude d'entendre dans ce genre de productions, si je me fie aux sous-titres).
Beau casting vocal, avec Johnny Depp dans le rôle-titre.
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Re: Notez les films mars 2011
Cet argument marketing ("un film avec Johnny Depp") me fait doucement rigoler quand on pense que la majorité des spectateurs verront le film en VF...riqueuniee a écrit :Beau casting vocal, avec Johnny Depp dans le rôle-titre.
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)
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Re: Notez les films mars 2011
Tu n'as pas tort, mais je l(ai vu en VO (pas spécialement pour Johnny Depp, par principe). Pour ce type de films, les séances en VO se font rares : dans la plupart des salles, c'est seulement à partir de 17 h, voire seulement à 20 et 2 heures (pour Paris, c'est dire que les VO ailleurs doivent être rarissimes).