* New high-definition restoration, with uncompressed monaural soundtrack on the Blu-ray edition
* Audio commentary by film noir specialists Alain Silver and James Ursini
* New video tribute from director Alex Cox (Repo Man, Walker)
* Excerpts from The Long Haul of A. I. Bezzerides, a 2005 documentary on the Kiss Me Deadly screenwriter
* Excerpts from Mike Hammer’s Mickey Spillane, a 1998 documentary on the author whose book inspired the film
* A look at the film’s locations
* Altered ending
* Theatrical trailer
* PLUS: A booklet featuring an essay by critic J. Hoberman and a 1955 reprint by director Robert Aldrich
En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
- Geoffrey Firmin
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En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
Sortie Criterion le 21 juin:
- Père Jules
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Re: En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
Visuel moche mais quand même !
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Re: En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
Toujours pas vu en DVD...sont trop rapides chez Criterion Je suis curieux de voir la qualité du master "made in Criterion" en comparaison de celui du DVD actuel.
- Demi-Lune
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Re: En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
Criterion l'a fait, ça y est Bon, visuel moche, édition qui ne trouvera probablement pas d'équivalent en France, mais tout cela me fait plaisir car progressivement, ils sont en train de donner des éditions respectueuses de gros classiques honteusement traités par dessus la jambe par le catalogue MGM - et j'aimerais voir en ligne de mire La Porte du Paradis.
Re: En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
"Couverture moche", c'est à voir. Certes, je comprends qu'elle ne soit pas engageante aux yeux de beaucoup, mais la volonté de Criterion est ici de s'inspirer des couvertures des polars américains des années 40 et 50. Et dans le genre c'est réussi. C'est un pari esthétique, même si on peut évidemment considérer que cette approche est une fausse bonne idée.
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Re: En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
Je ne déteste pas ce visuel, mais quitte à aller à fond dans l'hommage aux couvertures de polars hard-boiled, un dessin aurait sans doute mieux fait l'affaire.
Bon, sur ce, je file m'acheter une platine multirégions.
Bon, sur ce, je file m'acheter une platine multirégions.
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Re: En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
Personnellement je garde bon espoir.Demi-Lune a écrit :édition qui ne trouvera probablement pas d'équivalent en France
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Re: En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
Le comparatif beaver ne laisse aucune place au doute:
http://www.dvdbeaver.com/film3/dvd_revi ... deadly.htm
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Re: En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
Et maintenant la question qui va finir par devenir un triste gimmick: "qui va se bouger pour le sortir chez nous?"
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Re: En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
logiquement MGM/United Artists, non ?Nestor Almendros a écrit :Et maintenant la question qui va finir par devenir un triste gimmick: "qui va se bouger pour le sortir chez nous?"
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Re: En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
J'en bave d'avance.Geoffrey Firmin a écrit :Le comparatif beaver ne laisse aucune place au doute:
http://www.dvdbeaver.com/film3/dvd_revi ... deadly.htm
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Re: En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
Oui logiquement: mais ça commence à faire un sacré paquet de titres sortis uniquement chez Criterion dont on aimerait bien pouvoir profiter en zone B...Jack Carter a écrit :logiquement MGM/United Artists, non ?Nestor Almendros a écrit :Et maintenant la question qui va finir par devenir un triste gimmick: "qui va se bouger pour le sortir chez nous?"
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Re: En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
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Re: En quatrième vitesse (Robert Aldrich,1955)
Je l'ai découvert il y a peu, et je ne m'en remets toujours, c'est un gigantesque jeu de pistes hyper stimulant et révolutionnaire pour l'époque. Il m'aura aussi permis de désacraliser complètement "Lost Highway" que je trouve bien superficiel en comparaison, Lynch ayant repris des éléments (la baraque qui prend feu, le garagiste, l'autoroute qui défile, etc) mais totalement dénués de sens (tous ses éléments ont une cohérence dans le film de Aldrich, et suivent la logique narrative associative des rêves)...
Ce petit mot "Pourquoi" est répandu dans tout l'univers depuis le premier jour de la création, Madame, et toute la nature crie à chaque instant à son créateur : "Pourquoi ?"
Dostoïevski (Les Possédés)
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