pas un mauvais souvenir de "Foxes" et "infidèle" (oui bon ok,pour Diane... )...pas revu "l'échelle de Jacob" depuis sa sortie (20 ans déjà! ) mais je garde le souvenir d'un film oppressant et émouvant,porté par un excellent Tim Robbins
Je n'ai pas vu Foxes, mais Infidèle c'est une méga purge. Diane Lane relève le niveau mais même...
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
J'avais adoré à sa sortie (déjà 20 ans ? outch ) et une seconde vision quelques années plus tard m'avais agacé, je l'avais trouvé trop "catho" dans sa forme.
Mais en reparler là, me donne envie de le revoir
Rockatansky a écrit :Infidèle c'est une méga purge. Diane Lane relève le niveau mais même...
Ah tiens ? Mes souvenirs datent un peu mais il me semble que j'avais trouvé ça pas si détestable. Distrayant un dimanche soir, quoi.
En VF sur TF1 clair.
Clear Eyes, Full Hearts Can't Lose !
« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
Demi-Lune a écrit :
Ah tiens ? Mes souvenirs datent un peu mais il me semble que j'avais trouvé ça pas si détestable. Distrayant un dimanche soir, quoi.
En VF sur TF1 clair.
Et bien, je le préfère même au Chabrol. Une des surprises dont est parfois capable Lyne (voir l'excellent Jacob's Ladder).
Achat tout en belgitude avec ce coffret de huit DVD de films de Marion Hänsel: Les Noces barbares; Between the devil & the deep blue sea (Li); Il Maestro; Le lit; Nuages; Sur la terre comme au ciel; Dust; The Quarry.
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Où l'as-tu acheté, s'il-te-plait ?? Sur amazon, il est à un tarif indécent...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell