Barry Levinson
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Re: Top Barry Levinson
1 Liberty Heights (2000)
2 Rain Man (1989)
3 Bugsy (1992)
4 Toys (1993)
5 Le Secret de la pyramide (1986)
6 Good morning Vietnam (1988)
7 Des hommes d'influence (1998)
8 Harcèlement (1995)
9 Sphere (1998)
Sleepers (1996) (vu, mais je n'en garde plus aucun souvenir)
A noter que dans ce top, Liberty Heights se détache avec une sacrée avance sur le reste du peloton : un film "étonnant" d'un tel réalisateur, dont on n'attendait plus trop de films personnels, et qui frappe pourtant par sa vérité et ses personnages attachants.
2 Rain Man (1989)
3 Bugsy (1992)
4 Toys (1993)
5 Le Secret de la pyramide (1986)
6 Good morning Vietnam (1988)
7 Des hommes d'influence (1998)
8 Harcèlement (1995)
9 Sphere (1998)
Sleepers (1996) (vu, mais je n'en garde plus aucun souvenir)
A noter que dans ce top, Liberty Heights se détache avec une sacrée avance sur le reste du peloton : un film "étonnant" d'un tel réalisateur, dont on n'attendait plus trop de films personnels, et qui frappe pourtant par sa vérité et ses personnages attachants.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
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Re: Top Barry Levinson
peu de monde à l'air de l'avoir vu, mais je tiens Les Filous (Tin Men) comme le meilleur Levinson, dans sa veine Baltimore's movies
The Life and Death of Colonel Blimp (Michael Powell & Emeric Pressburger, 1943)
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Re: Top Barry Levinson
Il y a aussi le film avec Victoria Abril (Jimmy Hollywood) que presque personne n'a vu.
Sinon mon préféré est de loin :
Des Hommes d'influence
J'aime bien :
Le Secret de la pyramide
Bugsy (quoique pas totalement réussi)
Toys (ben oui, c'est pas toujours top, mais rien que les décor et tout l'univers musical lié au film, j'aime bien. En plus un film qui commence sur Wendy Melvoin a toutes les chances d'avoir mes faveurs. Tiens, j'ai même envie de le revoir!)
J'aimais bien, mais ça vieilli ou alors les acteurs dedans sont relous :
Rain Man
Good morning Vietnam
Complètement raté :
Sleepers
Hein... quoi...? J'ai vu ça moi? Black out :
Harcèlement
Sphère
Sinon mon préféré est de loin :
Des Hommes d'influence
J'aime bien :
Le Secret de la pyramide
Bugsy (quoique pas totalement réussi)
Toys (ben oui, c'est pas toujours top, mais rien que les décor et tout l'univers musical lié au film, j'aime bien. En plus un film qui commence sur Wendy Melvoin a toutes les chances d'avoir mes faveurs. Tiens, j'ai même envie de le revoir!)
J'aimais bien, mais ça vieilli ou alors les acteurs dedans sont relous :
Rain Man
Good morning Vietnam
Complètement raté :
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Re: Top Barry Levinson
1/ des hommes d’influence
2/ le secret de la pyramide
3/ sphere
4/ rain man
5/ panique à hollywood
6/ man of the year
7/ harcèlement
Je croyais en avoir vu plus que ça
J'ai une certaine affection pour les trois premiers. Le reste va du convenable au passablement ennuyeux.
2/ le secret de la pyramide
3/ sphere
4/ rain man
5/ panique à hollywood
6/ man of the year
7/ harcèlement
Je croyais en avoir vu plus que ça
J'ai une certaine affection pour les trois premiers. Le reste va du convenable au passablement ennuyeux.
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Re: Top Barry Levinson
Et hop...
J'aime énormément :
# Wag the Dog (1997)
J'aime beaucoup :
# Diner (1982)
# Liberty Heights (1999)
J'aime bien :
# Sleepers (1996)
# Jimmy Hollywood (1994)
Me laissent complètement indifférents :
# Rain Man (1988)
# Good Morning, Vietnam (1987)
# Toys (1992)
Grosses Purges :
# What Just Happened (2008)
# Envy (2004)
# Bandits (2001)
# Sphere (1998)
J'aimerais beaucoup voir :
# Tin Men (1987)
J'aime énormément :
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J'aime bien :
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# Jimmy Hollywood (1994)
Me laissent complètement indifférents :
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# Good Morning, Vietnam (1987)
# Toys (1992)
Grosses Purges :
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# Sphere (1998)
J'aimerais beaucoup voir :
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Dernière modification par 7swans le 7 avr. 15, 10:19, modifié 1 fois.
Comme les Notting Hillbillies : "Missing...Presumed Having a Good Time (on Letterboxd : https://letterboxd.com/ishenryfool/)"
- Jack Carter
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Re: Top Barry Levinson
mon Levinson préféré (pas fan du realisateur à la base)7swans a écrit : J'aimerais beaucoup voir :
# Tin Men (1987)
6.99 sur amazon : http://www.amazon.fr/Filous-Danny-DeVit ... 449&sr=1-1
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Re: Top Barry Levinson
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Bandits
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Le Secret de la pyramide
Good Morning, Vietnam
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Re: Top Barry Levinson
effectivement une bonne comédie,grâce notamment à l'excellent trio Richard Dreyfuss/Danny De Vito/Barbara Hershey.Jack Carter a écrit :peu de monde à l'air de l'avoir vu, mais je tiens Les Filous (Tin Men) comme le meilleur Levinson, dans sa veine Baltimore's movies
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Re: Barry Levinson
Panique à Hollywood (2008)
Projeté hors compétition à Cannes en 2008 (la mise en abyme finale a dû amuser les spectateurs cannois), ce film n'est pas sorti en salles chez nous, aussi curieux que ça puisse paraître si l'on en juge au casting que le film aligne : De Niro, Bruce Willis dans son propre rôle, John Turturro, Robin Wright Penn, Sean Penn dans son propre rôle, Stanley Tucci, Kirsten Stewart... Avec un ancien producteur - Art Linson pour ne pas le citer - au scénario et un tel casting pour l'appuyer, on pouvait légitimement espérer que Panique à Hollywood balance quelques vérités bien salées et brosse un tableau au vitriol et sans complaisance de la production cinématographique US. A cet égard, le résultat se montre quand même décevant et mitigé. En effet, le film se décompose en plusieurs sous-intrigues dont le dénominateur commun est le personnage du producteur habile négociateur que campe Robert De Niro, qui trouve là son rôle le plus intéressant depuis bien longtemps. Par le truchement de ce personnage en crise dans sa sphère privée comme dans sa sphère professionnelle, on assiste à un défilé de portraits (agents, producteurs, acteurs, scénaristes, groupies...) croqués d'une manière qui se veut mordante et caustique.
De ce point de vue, le film parle effectivement de l'envers peu glorieux de la machine à rêves hollywoodienne, avec les screen-tests désastreux qui impliquent de la part de la production une prise de décision à des fins commerciales contre la volonté artistique du réalisateur, les caprices de divas des stars, l'arrivisme, l'égocentrisme, la tromperie et la vanité de ces professionnels impitoyables, etc. Mais le fait est que cette représentation demeure finalement superficielle, en raison d'un trop grand éparpillement : De Niro essaie de sauver les meubles de sa vie de tous côtés, et on finit par s'ennuyer à vouloir suivre tous les fils d'une narration parfois hystérique et à intérêt inégal, d'autant plus que Panique à Hollywood est loin d'offrir, en dénonciation humoristique, autant de brio et de pertinence qu'un film comme The Player d'Altman par exemple. Levinson ressasse donc des choses déjà vues ailleurs et en mieux, même si elles peuvent être parfois amusantes : le running-gag du chien abattu et le numéro parodique d'un Bruce Willis antipathique et barbu comme un bûcheron, le réalisateur anglais et rebelle joué par Michael Wincott qui baise sa production sous la jubilation de Sean Penn. Au final, son film partait pétri de bonnes intentions mais ce n'est pas suffisant pour en faire une réussite.
Projeté hors compétition à Cannes en 2008 (la mise en abyme finale a dû amuser les spectateurs cannois), ce film n'est pas sorti en salles chez nous, aussi curieux que ça puisse paraître si l'on en juge au casting que le film aligne : De Niro, Bruce Willis dans son propre rôle, John Turturro, Robin Wright Penn, Sean Penn dans son propre rôle, Stanley Tucci, Kirsten Stewart... Avec un ancien producteur - Art Linson pour ne pas le citer - au scénario et un tel casting pour l'appuyer, on pouvait légitimement espérer que Panique à Hollywood balance quelques vérités bien salées et brosse un tableau au vitriol et sans complaisance de la production cinématographique US. A cet égard, le résultat se montre quand même décevant et mitigé. En effet, le film se décompose en plusieurs sous-intrigues dont le dénominateur commun est le personnage du producteur habile négociateur que campe Robert De Niro, qui trouve là son rôle le plus intéressant depuis bien longtemps. Par le truchement de ce personnage en crise dans sa sphère privée comme dans sa sphère professionnelle, on assiste à un défilé de portraits (agents, producteurs, acteurs, scénaristes, groupies...) croqués d'une manière qui se veut mordante et caustique.
De ce point de vue, le film parle effectivement de l'envers peu glorieux de la machine à rêves hollywoodienne, avec les screen-tests désastreux qui impliquent de la part de la production une prise de décision à des fins commerciales contre la volonté artistique du réalisateur, les caprices de divas des stars, l'arrivisme, l'égocentrisme, la tromperie et la vanité de ces professionnels impitoyables, etc. Mais le fait est que cette représentation demeure finalement superficielle, en raison d'un trop grand éparpillement : De Niro essaie de sauver les meubles de sa vie de tous côtés, et on finit par s'ennuyer à vouloir suivre tous les fils d'une narration parfois hystérique et à intérêt inégal, d'autant plus que Panique à Hollywood est loin d'offrir, en dénonciation humoristique, autant de brio et de pertinence qu'un film comme The Player d'Altman par exemple. Levinson ressasse donc des choses déjà vues ailleurs et en mieux, même si elles peuvent être parfois amusantes : le running-gag du chien abattu et le numéro parodique d'un Bruce Willis antipathique et barbu comme un bûcheron, le réalisateur anglais et rebelle joué par Michael Wincott qui baise sa production sous la jubilation de Sean Penn. Au final, son film partait pétri de bonnes intentions mais ce n'est pas suffisant pour en faire une réussite.
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Re: Barry Levinson
Depuis Bandits en 2001, aucun film de Levinson n'a eu le droit à une sortie en salles chez nous...malgré des castings assez énormes à chaque fois :Demi-Lune a écrit :ce film n'est pas sorti en salles chez nous, aussi curieux que ça puisse paraître si l'on en juge au casting que le film aligne
- Envy (2004) : Ben Stiller, Jack Black, Rachel Weisz et Christopher Walken
- Man of the Year : Robin Williams, Christopher Walken, Laura Linney et Jeff Goldblum
Et donc ce What Just Happened. Je n'ai pas vu Envy (qui est paraît-il pas terrible), mais les 2 autres sont suffisamment honnêtes pour avoir droit à une sortie en salles (surtout quand on voit les grosses bouses qui peuvent sortir à côté).
Pas étonnant que Levinson préfère se consacrer à la télé...
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Re: Barry Levinson
1/ Bandits
2/ Sleepers
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C'est moyen, bof tout ça...
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Re: Barry Levinson
Man of the Yeat
Le secret de la pyramide
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Rain man
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Re: Barry Levinson
Un The Player du pauvre ... peut-être, mais le meilleur film de Barry Levinson depuis des lustres. A noter que Art Linson s'est inspiré de ses mésaventures avec Alec Baldwin sur le tournage de The Edge pour tout ce qui touche au personnage de Willis.Demi-Lune a écrit :Panique à Hollywood (2008)
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De ce point de vue, le film parle effectivement de l'envers peu glorieux de la machine à rêves hollywoodienne, avec les screen-tests désastreux qui impliquent de la part de la production une prise de décision à des fins commerciales contre la volonté artistique du réalisateur, les caprices de divas des stars, l'arrivisme, l'égocentrisme, la tromperie et la vanité de ces professionnels impitoyables, etc. Mais le fait est que cette représentation demeure finalement superficielle, en raison d'un trop grand éparpillement : De Niro essaie de sauver les meubles de sa vie de tous côtés, et on finit par s'ennuyer à vouloir suivre tous les fils d'une narration parfois hystérique et à intérêt inégal, d'autant plus que Panique à Hollywood est loin d'offrir, en dénonciation humoristique, autant de brio et de pertinence qu'un film comme The Player d'Altman par exemple. Levinson ressasse donc des choses déjà vues ailleurs et en mieux, même si elles peuvent être parfois amusantes : le running-gag du chien abattu et le numéro parodique d'un Bruce Willis antipathique et barbu comme un bûcheron, le réalisateur anglais et rebelle joué par Michael Wincott qui baise sa production sous la jubilation de Sean Penn. Au final, son film partait pétri de bonnes intentions mais ce n'est pas suffisant pour en faire une réussite.