Oui sans hésiter !Boubakar a écrit :tu le classerais comme un des meilleurs films de Loach ? (j'en ai vu très peu, trois je crois)Watkinssien a écrit :Kes est un grand film, tout simplement !
Ken Loach
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Re: Notez les films du mois - août 2008
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Re: Notez les films du mois - août 2008
Je ne pense pas qu'il ait fait mieux que "Kes".
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Re: Notez les films du mois - août 2008
A ma médiathèque, il y a les 2 coffrets sortis par Diaphana, je pense que ça sera ma prochaine "intégrale" à venir (après les Truffaut).Watkinssien a écrit :Oui sans hésiter !
Ah, j'ai bien aimé, dans un autre genre, It's a free world.AtCloseRange a écrit :Je ne pense pas qu'il ait fait mieux que "Kes".
Faudrait que je regarde si un classement a été fait sur les films de Loach..
edit ; ça a été déjà fait http://www.dvdclassik.com/forum/viewtop ... f=3&t=9466, j'y participerais plus tard...
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Re: Ken Loach
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Re: Ken Loach
Je suis en train de me rendre compte que It's a Free World, après l'avoir revu, est le film de Loach que je préfère !
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Re: Ken Loach
Un film très fort sur l'état du monde du travail en ce début de siècle.Watkinssien a écrit :Je suis en train de me rendre compte que It's a Free World, après l'avoir revu, est le film de Loach que je préfère !
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Re: Ken Loach
En effet, il s'agit, à mon avis, du meilleur Ken loach depuis longtemps (j'aimais aussi beaucoup le tendre et violent sweet sixteen). Curieusement écarté des palmarès 2008, ce film, au rythme alerte et à la direction d'acteur hyperréaliste (le point fort du grand loach), est porté par une actrice fabuleuse (au nom imprononçable).Le prisonnier a écrit :Un film très fort sur l'état du monde du travail en ce début de siècle.Watkinssien a écrit :Je suis en train de me rendre compte que It's a Free World, après l'avoir revu, est le film de Loach que je préfère !
Le réalisateur a créé un personnage incroyable : on a envie de l'aimer parce qu'elle est mignonne, intelligente et parce qu'elle se bat avec une énergie folle pour s'en sortir. Mais très vite, le scénario la fait passer de statut de victime à celui de bourreau. Totalement consciente de l'amoralité de ses actes, elle devient, grâce au talent de ken loach et de son scénariste, un paradigme de l'humanité moderne, matérialiste et refermée sur elle-même, refusant la politique et les idéologies par ambition personnelle et surtout, par lâcheté. Le personnage principal ne prend pas le temps de se poser des cas de conscience parce qu'elle considère que l'égoïsme est une forme de survie et la société dans laquelle elle évolue justifie, à ses yeux, les décisions qu'elle prend.
Le film est donc très noir, voire même désespéré mais Ken loach, comme dans chaque oeuvre de sa filmographie, fait preuve d'une grande compassion pour les êtres humains et peint les destins individuels et collectifs avec passion.
Je conseillerais d'ailleurs It's a free world aux allergiques de Loach qui ne voient en lui qu'un idéologue barbant (c'est vrai que certains scénarios avaient tendance à être didactique -je pense à the navigators ou au joli Just a kiss -). Ce film est d'une rare profondeur, linéaire dans sa narration mais porteur de questionnement d'une grande complexité.
En plus, avec ce film, Ken loach montre qu'il est un des tout meilleurs metteurs en scène (j'affirme qu'il pourrait tourner Jurassic park s'il le voulait - même si personne ne lui confierait le budget ). Personne ne sait aussi bien que lui placer une caméra, non pas pour faire des effets gratuits, mais pour respecter son sujet et ses personnages. Loach poursuit sa quête de la juste distance.
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Re: Notez les films de mai 2009
Looking for Eric de Ken Loach
Un Loach mineur et inégal mais fort sympathique. Le principal problème vient d'une tonalité sociale et dramatique très forte se mariant assez mal avec les instants plus léger avec Cantona (qui disparait pas mal dans la 2e partie du film). Cependant le héros est réellement très attachant et toute l'histoire avec son grand amour perdu est vraiment émouvante et bien écrite (on retrouve l'art brillant du flashback de Loach déjà présent dans Ladybird entre autre) avec un Steve Erets touchant de gaucherie et de manque de confiance en soit et une belle Stéphanie Bishop. Cantona est excellent, charismatique et doté d'un joli second degré sur lui même à coup de proverbe farfelus, tandis que les scène de football apportent une respiration bienvenue. Le happy end improbable fait bien plaisir dans son élan de solidarité et est assez hilarant avec une petite frappe qui en prend pour son grade 4,5/6
Un Loach mineur et inégal mais fort sympathique. Le principal problème vient d'une tonalité sociale et dramatique très forte se mariant assez mal avec les instants plus léger avec Cantona (qui disparait pas mal dans la 2e partie du film). Cependant le héros est réellement très attachant et toute l'histoire avec son grand amour perdu est vraiment émouvante et bien écrite (on retrouve l'art brillant du flashback de Loach déjà présent dans Ladybird entre autre) avec un Steve Erets touchant de gaucherie et de manque de confiance en soit et une belle Stéphanie Bishop. Cantona est excellent, charismatique et doté d'un joli second degré sur lui même à coup de proverbe farfelus, tandis que les scène de football apportent une respiration bienvenue. Le happy end improbable fait bien plaisir dans son élan de solidarité et est assez hilarant avec une petite frappe qui en prend pour son grade 4,5/6
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Re: Notez les films de mai 2009
Looking for Eric, de Ken Loach
Film très sympathique de Ken Loach à défaut d'être transcendant. C'est surtout la première heure, légère et démontrant un vraie passion de Loach pour le foot, qui est réussie. On suit avec grand plaisir les galères de ce postier anglais qui cherche à s'en sortir avec l'aide d'Eric Cantona, parfait dans son propre rôle, plein d'autodérision (j'ai même cru que Ken Loach allait oser mettre, au milieu de toutes ces belles vidéos de buts, la fameuse attaque de kung-fu sur le supporter).
Le film se gâte ensuite, quand Loach décide d'ajouter en plus des simples galères du postier (ex-femme à reconquérir, réconciliation avec les enfants, etc.) une plus grosse galère, quelque chose de beaucoup trop gros en comparaison de ce qu'on avait pu voir avant. Il semble d'ailleurs ne pas trop savoir quoi faire, comme s'il s'était senti obligé de rajouter un tas de thèmes au film et de philosopher sur le parallèle entre le groupe et l'équipe de foot, entre l'entraide et la passe. C'est vraiment par moments indigeste et lourd, et surtout ça ne sert à rien, ça ne fait qu'étirer le film. Aurait il eu peur du "simple" film léger ?
J'en suis tout de même ressorti avec une impression positive, merci Ken mais merci Canto surtout.
Film très sympathique de Ken Loach à défaut d'être transcendant. C'est surtout la première heure, légère et démontrant un vraie passion de Loach pour le foot, qui est réussie. On suit avec grand plaisir les galères de ce postier anglais qui cherche à s'en sortir avec l'aide d'Eric Cantona, parfait dans son propre rôle, plein d'autodérision (j'ai même cru que Ken Loach allait oser mettre, au milieu de toutes ces belles vidéos de buts, la fameuse attaque de kung-fu sur le supporter).
Le film se gâte ensuite, quand Loach décide d'ajouter en plus des simples galères du postier (ex-femme à reconquérir, réconciliation avec les enfants, etc.) une plus grosse galère, quelque chose de beaucoup trop gros en comparaison de ce qu'on avait pu voir avant. Il semble d'ailleurs ne pas trop savoir quoi faire, comme s'il s'était senti obligé de rajouter un tas de thèmes au film et de philosopher sur le parallèle entre le groupe et l'équipe de foot, entre l'entraide et la passe. C'est vraiment par moments indigeste et lourd, et surtout ça ne sert à rien, ça ne fait qu'étirer le film. Aurait il eu peur du "simple" film léger ?
J'en suis tout de même ressorti avec une impression positive, merci Ken mais merci Canto surtout.
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Re: Ken Loach
LOOKING FOR ERIC
Pour ma part un très bon cru où Loach semble profiter d'une récréation, délaissant les dénonciations sociales pour rester dans la fiction pure. Il n'oublie pas, cependant, d'ancrer son histoire dans l'environnement populaire qu'il décrit si bien dans ses films. Il offre ainsi aux spectateurs, à nouveau, des personnages humains et empathiques où la sensibilité des descriptions remporte l'adhésion. Le mélange d'humour et de profondeur est assez bien équilibré et permet quelques respirations très amusantes dans cette comédie dramatique réussie.
La participation de Cantona est un plus à l'histoire et se fond efficacement à la peinture populaire décrite. Le jeu des apparitions est plutôt bien fait sachant qu'on n'insiste pas trop dessus et que cela permet surtout d'enrichir le profil du personnage principal. La personnalité de Cantona est quand même bien utilisée, parfois avec un peu de clichés (les proverbes à n'en plus finir) mais toujours avec humour. Il en ressort, tout de même, un bel hommage à ce footballeur adulé outre-Manche. Pour moi qui ne suis absolument pas fan de sport, j'ai trouvé cela réjouissant malgré tout, en voyant les exploits du sportif mais en pensant surtout à ses succès plus malheureux en France dans les années 80(?)-90. C'est quand même un belle revanche que Cantona ait trouvé son public et son équilibre hors de son pays.
Pour ma part un très bon cru où Loach semble profiter d'une récréation, délaissant les dénonciations sociales pour rester dans la fiction pure. Il n'oublie pas, cependant, d'ancrer son histoire dans l'environnement populaire qu'il décrit si bien dans ses films. Il offre ainsi aux spectateurs, à nouveau, des personnages humains et empathiques où la sensibilité des descriptions remporte l'adhésion. Le mélange d'humour et de profondeur est assez bien équilibré et permet quelques respirations très amusantes dans cette comédie dramatique réussie.
La participation de Cantona est un plus à l'histoire et se fond efficacement à la peinture populaire décrite. Le jeu des apparitions est plutôt bien fait sachant qu'on n'insiste pas trop dessus et que cela permet surtout d'enrichir le profil du personnage principal. La personnalité de Cantona est quand même bien utilisée, parfois avec un peu de clichés (les proverbes à n'en plus finir) mais toujours avec humour. Il en ressort, tout de même, un bel hommage à ce footballeur adulé outre-Manche. Pour moi qui ne suis absolument pas fan de sport, j'ai trouvé cela réjouissant malgré tout, en voyant les exploits du sportif mais en pensant surtout à ses succès plus malheureux en France dans les années 80(?)-90. C'est quand même un belle revanche que Cantona ait trouvé son public et son équilibre hors de son pays.
"Un film n'est pas une envie de faire pipi" (Cinéphage, août 2021)
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Re: Ken Loach
KES (1969)
Je l'ai enfin vu. Après toute cette attente je ne pouvais peut-être qu'en sortir déçu, forcément. J'ai trouvé l'histoire un peu distante, parfois longue. On sent que le rythme n'est pas encore tout à fait maitrisé avec une narration un peu éparpillée (le personnage principal, le gamin, qui est parfois mis de côté). En tout cas je ne me suis pas senti très impliqué émotionellement, mais davantage mis dans la position inconfortable d'un témoin de certains travers de la société anglaise de l'époque.
Car, m'attendant peut-être à être secoué par l'histoire d'un personnage, j'ai surtout été "touché" par un certain malaise provoqué par l'observation et la description du milieu social et des personnages (personnalités) qui entourent un pauvre gamin presque livré à lui-même. La vie de Casper, telle qu'elle nous est décrite, ressemble au parcours difficile d'un enfant dans une jungle sociale. Il ne peut compter que sur lui-même à cause de l'absence du soutien familial (le père est parti, la mère est quasiment absente, plus intéressée par sa vie sentimentale, et le grand frère est proche de la brute) et du système scolaire complètement à côté de la plaque: les plus faibles sont systématiquement rejetés dans un environnement basé sur une discipline stricte qui les force à apprendre. Sur ce point on peut noter une image sévère de l'éducation, entre punition (le directeur) et humiliation (le prof de sport et le match de foot).
Casper est considéré comme un bon à rien par tout le monde. Or il apparait beaucoup plus mature quand il s'adonne à sa passion: le dressage de son faucon. Il est alors patient, prévoyant, préparé, motivé. Tout ce qu'il n'est pas à l'école: il y a eu autour de ce faucon le déclic que le système éducatif n'a pas su produire.
Loach porte déjà un regard sensible sur le milieu populaire ouvrier anglais avec un style très documentaire, au cachet "réaliste" (grâce à la photo naturelle de Chris Menges).
Je l'ai enfin vu. Après toute cette attente je ne pouvais peut-être qu'en sortir déçu, forcément. J'ai trouvé l'histoire un peu distante, parfois longue. On sent que le rythme n'est pas encore tout à fait maitrisé avec une narration un peu éparpillée (le personnage principal, le gamin, qui est parfois mis de côté). En tout cas je ne me suis pas senti très impliqué émotionellement, mais davantage mis dans la position inconfortable d'un témoin de certains travers de la société anglaise de l'époque.
Car, m'attendant peut-être à être secoué par l'histoire d'un personnage, j'ai surtout été "touché" par un certain malaise provoqué par l'observation et la description du milieu social et des personnages (personnalités) qui entourent un pauvre gamin presque livré à lui-même. La vie de Casper, telle qu'elle nous est décrite, ressemble au parcours difficile d'un enfant dans une jungle sociale. Il ne peut compter que sur lui-même à cause de l'absence du soutien familial (le père est parti, la mère est quasiment absente, plus intéressée par sa vie sentimentale, et le grand frère est proche de la brute) et du système scolaire complètement à côté de la plaque: les plus faibles sont systématiquement rejetés dans un environnement basé sur une discipline stricte qui les force à apprendre. Sur ce point on peut noter une image sévère de l'éducation, entre punition (le directeur) et humiliation (le prof de sport et le match de foot).
Casper est considéré comme un bon à rien par tout le monde. Or il apparait beaucoup plus mature quand il s'adonne à sa passion: le dressage de son faucon. Il est alors patient, prévoyant, préparé, motivé. Tout ce qu'il n'est pas à l'école: il y a eu autour de ce faucon le déclic que le système éducatif n'a pas su produire.
Loach porte déjà un regard sensible sur le milieu populaire ouvrier anglais avec un style très documentaire, au cachet "réaliste" (grâce à la photo naturelle de Chris Menges).
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Re: Ken Loach
Oui, tout à fait d'accord avec cet avis. Une légère déception me concernant, surtout en regard de sa réputation très flatteuse.Nestor Almendros a écrit :KES (1969)
Je l'ai enfin vu. Après toute cette attente je ne pouvais peut-être qu'en sortir déçu, forcément. J'ai trouvé l'histoire un peu distante, parfois longue. On sent que le rythme n'est pas encore tout à fait maitrisé avec une narration un peu éparpillée (le personnage principal, le gamin, qui est parfois mis de côté). En tout cas je ne me suis pas senti très impliqué émotionellement, mais davantage mis dans la position inconfortable d'un témoin de certains travers de la société anglaise de l'époque.
Effectivement, il y a quelques longueurs.
Je te rejoins surtout quand tu dis que tu ne t'es pas senti impliqué émotionnellement. Je lisais (dans le livret qui accompagne le dvd) un extrait d'une critique de Jean-Louis Bory qui disait que "c'était Truffaut puissance deux". Pas d'accord. Puisqu'il faut comparer, je trouve Les quatre cents coups plus touchant (sans parler de L'enfant sauvage qui distille une poésie et une émotion très fortes...). J'imagine néanmoins que cette critique voulait signaler qu'outre les aspects psychologiques, on trouvait dans le film de Loach une donnée sociale mais...
Personnellement, ma préférence irait vers Family life ou Ladybird, très forts émotionnellement.
Ou alors pour la comédie, vers Raining stones voire Riff Raff.
Il reste néanmoins que Loach était déjà très à l'aise pour "croquer" les milieux populaires anglais. Certaines scènes sont excellentes, comme celle de l'entraînement de foot, qui laisse présager un bon Looking for Eric.
Dernière modification par Jean Itard le 2 juin 09, 20:45, modifié 2 fois.
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Re: Ken Loach
Avec, déjà, la référence au Manchester United.Jean Itard a écrit :Certaines scènes sont excellentes, comme celle de l'entraînement de foot, qui laisse présager un bon Looking for Eric.
Sinon, je précise que KES est ressorti en salle il y a déjà plusieurs semaines: il est encore visible, à Paris, au Reflet Medicis.
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Re: Ken Loach
Apparemment, tu l'as apprécié (Looking for Eric) ! Il faudrait que je trouve le temps d'aller le voir....
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Re: Ken Loach
Ken Loach est un grand supporter du Manchester United, voilà pourquoi.Nestor Almendros a écrit :Avec, déjà, la référence au Manchester United.