y a aussi un côté comique - ttes les scènes avec la femme de Leslie Cheung - mais j'sais pas si c'est volontaire.Vic Vega a écrit : Reste que très subjectivement je préfère le si décrié côté Harlequin et mélodramatique présent dans le Syndicat du Crime
Volte/Face (John Woo - 1997)
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Exactement. Merci monsieur.John Constantine a écrit :oui et non... V/F pousse à l'absurde le thème du double, mais Windtalkers voit en effet un rapport plus apaisé, réfléchi par rapport à la violence. Que ce soit hors/in Hollywood, son oeuvre évolue et c'est tjrs pertinent de comparer à avant [même si en effet dans un cas similaire d'expat', on parle pas tjrs du Verhoeven hollandais par rapport à l'actuel].
Et puis le thème du double n'a plus le même sens dans V/F avec l'histoire de la greffe qui ne renvoie plus seulement à des préceptes moraux, mais également à un questionnement sur le cinéma ou plutôt sur l'acclimatation de son cinéma. Il y a un basculement même si la progression est continue : de référentiel (l'exacerbation d'un genre, l'héritage de Peckinpah, Melville ou autres), son cinéma devient théorique. Comme tu le dis Windtalkers manifeste de manière significative un rapport plus réfléchi à la violence.
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Je crois que c'est volontaire: avant de devenir ce qu'on sait il était "le roi de la comédie HK". On retrouve d'ailleurs ça dans le passage de the Killer où CYF et Danny Lee s'appellent par des noms de personnages de Disney.John Constantine a écrit :y a aussi un côté comique - ttes les scènes avec la femme de Leslie Cheung - mais j'sais pas si c'est volontaire.
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vu comme ça en effet, mais je n'avais jamais vraiment envisagé une réflexion de Woo sur le ciné ou sur ses propres thèmes... mais c'est vrai que la scène du double miroir suggère une conscience forte du cinoche et de ses possibilités vertigineuses. A ce moment là, on peut considérer que Woo a tt dit sur le thème du double avec ce film.Solal a écrit : Et puis le thème du double n'a plus le même sens dans V/F avec l'histoire de la greffe qui ne renvoie plus seulement à des préceptes moraux, mais également à un questionnement sur le cinéma ou plutôt sur l'acclimatation de son cinéma. Il y a un basculement même si la progression est continue : de référentiel (l'exacerbation d'un genre, l'héritage de Peckinpah, Melville ou autres), son cinéma devient théorique.
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Quel homme, et en plus il repart avec la belle!
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preuve à l'appui: Jeremy et Trotinette contemplant leurs horizons respectifs!
ouais, pas les mêmes horizons...
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c'est le chef d'oeuvre des films de Woo que j'ai vus.Niron a écrit :Volte face n'est en rien un "chef d'oeuvre"... Un chef d'oeuvre de quoi d'abord? C'est loin d'être le meilleur film de Woo, donc on ne peut le classifier comme tel.
Un très bon film, pourquoi pas... Mais le chef d'oeuvre de Woo... Non
c'est le chef d'oeuvre de sa période U.S
c'est le chef d'oeuvre du film d'action cuvée 1997.
ça suffit pour en faire un chef d'oeuvre
J'aime assez ce film, je n'ai pas vu beaucoup de Woo donc forcement je manque de matière pour faire des comparaisons avec ses autres oeuvres. Mais je trouve Volte Face sympatique, en particulier la scène de bagarre chez Gina Gershon et son frère. La scène dans l'église est pour moi une des meilleures aussi, lorsqu'ils se retrouvent tous leurs armes pointées les uns sur les autres. Les colombes font un bon effet dans ce film, autant dans Mission Impossible 2 je les trouvent superflux.
Enfin j'aime bien quoi
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