Notez les films - Juin 2008
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Re: Notez les films - Juin 2008
Hustler White - Bruce LaBruce et Rick Castro (1996)
ça commence comme un hommage à Sunset Boulevard et ça se poursuit dans les rues d'Hollywood entre John Waters, Russ Meyer, Gregg Araki et Hal Hartley (j'y ai pensé pour ces ponctuations musicales). On a parfois l'impression d'être dans Mullholand Drive aussi.
Je ne pensais pas que ça me plairait mais le traitement léger m'a permis d'adhérer. J'ai juste eu du mal avec la scène du rasoir (je suis sensible sur ces questions qui coupent ou qui piquent). Quant à une des scènes "fortes" du film, c'était gros comme une maison (euh, un moignon).
ça commence comme un hommage à Sunset Boulevard et ça se poursuit dans les rues d'Hollywood entre John Waters, Russ Meyer, Gregg Araki et Hal Hartley (j'y ai pensé pour ces ponctuations musicales). On a parfois l'impression d'être dans Mullholand Drive aussi.
Je ne pensais pas que ça me plairait mais le traitement léger m'a permis d'adhérer. J'ai juste eu du mal avec la scène du rasoir (je suis sensible sur ces questions qui coupent ou qui piquent). Quant à une des scènes "fortes" du film, c'était gros comme une maison (euh, un moignon).
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
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Re: Notez les films - Juin 2008
An American Haunting (Courtney Solomon) :
Honteux. Encore pire que Stigmata (c'est dire le niveau de la chose).
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Honteux. Encore pire que Stigmata (c'est dire le niveau de la chose).
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Re: Notez les films - Juin 2008
N'empêche que rien que pour la scène des baffes, ce film mérite d'être vu.Ratatouille a écrit :An American Haunting (Courtney Solomon) :
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Re: Notez les films - Juin 2008
Ben même pas, selon moi. C'est moins drôle que du Renny Harlin (cf. les scènes de possession grotesques de Exorcist - The Beginning).nobody smith a écrit :N'empêche que rien que pour la scène des baffes, ce film mérite d'être vu.Ratatouille a écrit :An American Haunting (Courtney Solomon) :
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Re: Notez les films - Juin 2008
A war named desire ( Alan Mak - 2000 )
Le début du film est tout simplement sublime. Une ouverture saisissante et mélancolique où l'on découvre avec virtuosité une tragédie violente a venir. Et en effet, on part en flash-back pour découvrir un adolescent partir avec sa copine en Thaïlande pour retrouver son grand-frère qui a abandonné sa famille il y a de nombreuses années en embarquant toute leurs économies. Sur place, il constate que son frère appartient à une triade.
Passée cette ouverture marquante, le film se tasse un peu, la présentation des personnages comme la mise en place du drame est un peu maladroite et l'on est pas sur de bien tout comprendre. Heureusement l'interprétation générale est de haute volée et la photographie, franchement excellente, transcende le budget surement restreint. On tique juste sur quelques effets de réalisation clipés un peu hasardeux ( comme un ou deux morceaux de dance ).
Puis à mi chemin, la machine se lance enfin et le film devient presque irréprochable.
L'histoire se fait plus limpide et permet à l'émotion de gagner en intensité de scènes en scènes en même temps que l'action apparait enfin pour ne plus disparaitre.
Les gunfights se multiplient sans perdre les personnages de vus... au contraire... Ils sont plus fouillés et émouvant avec un sursaut de noblesse dans leur tentative de rédemption qui ne peut que toucher.
La mise en scène est alors encore plus lyrique en associant à la perfection image et musique ( La fusillade se déroulant pendant la fête de bénédiction thaï est à donner des frissons ). La tension est palpable et c'est avec une boule au ventre qu'on arrive jusqu'à un final douloureux et plastiquement mémorable.
Après évidement, l'histoire n'a rien d'original, l'épilogue tombe un peu à plat, les emprunts à John Woo ou Johnnie To sont trop visibles et les gunfights n'ont rien exceptionnels ( mais seront toujours mieux que dans n'importe quel autre pays ). En revanche le cinéaste a ce qui fait la différence : des idées, du talent, des acteurs charismatiques... et surtout du cœur.
Le début du film est tout simplement sublime. Une ouverture saisissante et mélancolique où l'on découvre avec virtuosité une tragédie violente a venir. Et en effet, on part en flash-back pour découvrir un adolescent partir avec sa copine en Thaïlande pour retrouver son grand-frère qui a abandonné sa famille il y a de nombreuses années en embarquant toute leurs économies. Sur place, il constate que son frère appartient à une triade.
Passée cette ouverture marquante, le film se tasse un peu, la présentation des personnages comme la mise en place du drame est un peu maladroite et l'on est pas sur de bien tout comprendre. Heureusement l'interprétation générale est de haute volée et la photographie, franchement excellente, transcende le budget surement restreint. On tique juste sur quelques effets de réalisation clipés un peu hasardeux ( comme un ou deux morceaux de dance ).
Puis à mi chemin, la machine se lance enfin et le film devient presque irréprochable.
L'histoire se fait plus limpide et permet à l'émotion de gagner en intensité de scènes en scènes en même temps que l'action apparait enfin pour ne plus disparaitre.
Les gunfights se multiplient sans perdre les personnages de vus... au contraire... Ils sont plus fouillés et émouvant avec un sursaut de noblesse dans leur tentative de rédemption qui ne peut que toucher.
La mise en scène est alors encore plus lyrique en associant à la perfection image et musique ( La fusillade se déroulant pendant la fête de bénédiction thaï est à donner des frissons ). La tension est palpable et c'est avec une boule au ventre qu'on arrive jusqu'à un final douloureux et plastiquement mémorable.
Après évidement, l'histoire n'a rien d'original, l'épilogue tombe un peu à plat, les emprunts à John Woo ou Johnnie To sont trop visibles et les gunfights n'ont rien exceptionnels ( mais seront toujours mieux que dans n'importe quel autre pays ). En revanche le cinéaste a ce qui fait la différence : des idées, du talent, des acteurs charismatiques... et surtout du cœur.
"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
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Re: Notez les films - Juin 2008
Sans Sarah rien ne Va de Nick Stoller
Plutôt très sympa. Vu que Appatow est uniquement à la prod les aspect qui m'agace pas mal chez lui sont bien atténué, pas de côté bien pensant gentillet et on n'a pas l'impression que ça dure 2h30 surtout que les autres qualités sont toujours là : dialogues et situations bien corsée limite trash pour ce genre de prod (avec l'audace d'un full frontal masculin). Très bon Jason Segel, grand dadais maladroit et touchant on compatit vraiment avec lui quand il touche le fond, même si on devine bien le déroulement qui va suivre, le bon esprit, les gags hilarant et les caméos de la bande (bien cool de voir Jonah Hill et John Heder en marié empoté) font passer un très bon moment. Même si ça manque parfois de liant dans l'intrigue (un peu l'impression de regarder une suite scenette façon sitcom par instants) on retrouve l'intelligence d'Appatow qui évite de faire du héros une victime totale (Kristen Bell qui vide son sac, l'embryon de tromperie). Les passage avec la pseudo série policière sont énorme de drôlerie (David Caruso en prend pour son grade avec les lunettes noires et les punchlines bidons ) ,Russel Brand est génial en rock star anglaise décadente et Mila Kunis et Kristen Bell . 4,5/6
Plutôt très sympa. Vu que Appatow est uniquement à la prod les aspect qui m'agace pas mal chez lui sont bien atténué, pas de côté bien pensant gentillet et on n'a pas l'impression que ça dure 2h30 surtout que les autres qualités sont toujours là : dialogues et situations bien corsée limite trash pour ce genre de prod (avec l'audace d'un full frontal masculin). Très bon Jason Segel, grand dadais maladroit et touchant on compatit vraiment avec lui quand il touche le fond, même si on devine bien le déroulement qui va suivre, le bon esprit, les gags hilarant et les caméos de la bande (bien cool de voir Jonah Hill et John Heder en marié empoté) font passer un très bon moment. Même si ça manque parfois de liant dans l'intrigue (un peu l'impression de regarder une suite scenette façon sitcom par instants) on retrouve l'intelligence d'Appatow qui évite de faire du héros une victime totale (Kristen Bell qui vide son sac, l'embryon de tromperie). Les passage avec la pseudo série policière sont énorme de drôlerie (David Caruso en prend pour son grade avec les lunettes noires et les punchlines bidons ) ,Russel Brand est génial en rock star anglaise décadente et Mila Kunis et Kristen Bell . 4,5/6
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Re: Notez les films - Juin 2008
Apatow.Profondo Rosso a écrit :Sans Sarah rien ne Va de Nick Stoller
(...) Appatow est uniquement à la prod (...)l'intelligence d'Appatow (...) 4,5/6
Comme les Notting Hillbillies : "Missing...Presumed Having a Good Time (on Letterboxd : https://letterboxd.com/ishenryfool/)"
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Re: Notez les films - Juin 2008
Je suis une légende (francis lawrence) version alternative : 6/6 (voir topic du film pour plus d'arguments)
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Re: Notez les films - Juin 2008
Tu m'as donné envie, va falloir que je sorte le DVD des étagères !bruce randylan a écrit :A war named desire ( Alan Mak - 2000)
...
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- au poil !
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Re: Notez les films - Juin 2008
C'est exactement le sentiment que j'avais devant The 40 Year Old Virgin...Profondo Rosso a écrit :Même si ça manque parfois de liant dans l'intrigue (un peu l'impression de regarder une suite scenette façon sitcom par instants)
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Re: Notez les films - Juin 2008
Pour une fois que c'est l'inverseBest a écrit :Tu m'as donné envie, va falloir que je sorte le DVD des étagères !bruce randylan a écrit :A war named desire ( Alan Mak - 2000)
...
par contre, le dvd est pas franchement excellent ( pour un film récent )
"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"
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Re: Notez les films - Juin 2008
THE ARRIVAL de David Twohy
Ado, j’étais complètement dingue de ce film. J’étais curieux de voir ce que donnerait une révision après tant d’année. C’est clairement moins épatant que dans mes souvenirs, en partie parce qu’entre temps Twohy a livré quelques œuvres nettement plus aboutis. Cela dit on sent déjà bien le talent du bonhomme pour officier dans la série B simple mais torché avec passion. D’une intrigue classique (un lookalike Kevin Smith mène une investigation le conduisant à une invasion extraterrestre), Twohy arrive à déployer une intrigue efficace bien que non exempt d’invraisemblances mais doté d’un traitement écolo intéressant et de personnages un minimum fouillés. Néanmoins au-delà de certaines maladresses d’écritures, le plus gros problème tient dans un budget riquiqui qui, malgré le soin évident accordé à l’image, donne au long métrage un cachet de téléfilm peu emballant. Dommage par rapport à la certaine ambition de la vision de Twohy (notamment dans la partie mexicaine) qui peine à se concrétiser (les effets spéciaux sont définitivement à la ramasse).
BODY BAGS de John Carpenter et Tobe Hooper
Bonne surprise tant je m’attendais à quelque chose de bien miteux. Le logo d’ouverture montrant Carpenter (aussi odieux qu’hilarant en monsieur loyal) brandir une tronçonneuse donne bien le ton. Il s’agit là d’une gentille péloche de potes (plein de guest star assez incroyable) à ne pas prendre trop au sérieux.
The gas station ouvre joliment le bal avec une histoire ultra-classique mais complètement transcendée par son traitement. La construction du suspense est admirable et Carpenter manie avec toujours autant de dextérité sa caméra (travellings et jeux focales diablement alléchants à la clé). Simple mais extrêmement efficace. Hooper est loin de réitérer cet exploit sur eye qui, au-delà de me faire poser des questions sur la créativité des frères Pang, ne me laissera pas un souvenir fameux. Les personnages sont caricaturaux et brouillons alors que tout l’intérêt du récit repose sur eux. Hooper signe une mise en image inégale parfois réussit (le flashback en vue subjective du bébé) et d’autres fois grotesque (le coït nécrophile). Et puis les flash dans la gueule, ça va bien 5 minutes... En comparaison, hair se montre bien plus original. Assez surpris d’ailleurs d’une telle histoire de la part de Carpenter, tant je l’aurais plus vu sortir de l’esprit d’un John Landis. Cela dit ça reste une œuvre à la causticité tordante (la séquence au ralentie sur de fières et longues toisons est impayable) et au propos pertinent même si entaché d’une fin peu convaincante.
Dans l’ensemble, ce film a sketch m’a amplement satisfait
Ado, j’étais complètement dingue de ce film. J’étais curieux de voir ce que donnerait une révision après tant d’année. C’est clairement moins épatant que dans mes souvenirs, en partie parce qu’entre temps Twohy a livré quelques œuvres nettement plus aboutis. Cela dit on sent déjà bien le talent du bonhomme pour officier dans la série B simple mais torché avec passion. D’une intrigue classique (un lookalike Kevin Smith mène une investigation le conduisant à une invasion extraterrestre), Twohy arrive à déployer une intrigue efficace bien que non exempt d’invraisemblances mais doté d’un traitement écolo intéressant et de personnages un minimum fouillés. Néanmoins au-delà de certaines maladresses d’écritures, le plus gros problème tient dans un budget riquiqui qui, malgré le soin évident accordé à l’image, donne au long métrage un cachet de téléfilm peu emballant. Dommage par rapport à la certaine ambition de la vision de Twohy (notamment dans la partie mexicaine) qui peine à se concrétiser (les effets spéciaux sont définitivement à la ramasse).
BODY BAGS de John Carpenter et Tobe Hooper
Bonne surprise tant je m’attendais à quelque chose de bien miteux. Le logo d’ouverture montrant Carpenter (aussi odieux qu’hilarant en monsieur loyal) brandir une tronçonneuse donne bien le ton. Il s’agit là d’une gentille péloche de potes (plein de guest star assez incroyable) à ne pas prendre trop au sérieux.
The gas station ouvre joliment le bal avec une histoire ultra-classique mais complètement transcendée par son traitement. La construction du suspense est admirable et Carpenter manie avec toujours autant de dextérité sa caméra (travellings et jeux focales diablement alléchants à la clé). Simple mais extrêmement efficace. Hooper est loin de réitérer cet exploit sur eye qui, au-delà de me faire poser des questions sur la créativité des frères Pang, ne me laissera pas un souvenir fameux. Les personnages sont caricaturaux et brouillons alors que tout l’intérêt du récit repose sur eux. Hooper signe une mise en image inégale parfois réussit (le flashback en vue subjective du bébé) et d’autres fois grotesque (le coït nécrophile). Et puis les flash dans la gueule, ça va bien 5 minutes... En comparaison, hair se montre bien plus original. Assez surpris d’ailleurs d’une telle histoire de la part de Carpenter, tant je l’aurais plus vu sortir de l’esprit d’un John Landis. Cela dit ça reste une œuvre à la causticité tordante (la séquence au ralentie sur de fières et longues toisons est impayable) et au propos pertinent même si entaché d’une fin peu convaincante.
Dans l’ensemble, ce film a sketch m’a amplement satisfait
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Re: Notez les films - Juin 2008
Un avis sur The Arrival de 7 lignes, sans citer une seule fois Charlie Sheen...nobody smith a écrit :THE ARRIVAL de David Twohy
Ado, j’étais complètement dingue de ce film. J’étais curieux de voir ce que donnerait une révision après tant d’année. C’est clairement moins épatant que dans mes souvenirs, en partie parce qu’entre temps Twohy a livré quelques œuvres nettement plus aboutis. Cela dit on sent déjà bien le talent du bonhomme pour officier dans la série B simple mais torché avec passion. D’une intrigue classique (un lookalike Kevin Smith mène une investigation le conduisant à une invasion extraterrestre), Twohy arrive à déployer une intrigue efficace bien que non exempt d’invraisemblances mais doté d’un traitement écolo intéressant et de personnages un minimum fouillés. Néanmoins au-delà de certaines maladresses d’écritures, le plus gros problème tient dans un budget riquiqui qui, malgré le soin évident accordé à l’image, donne au long métrage un cachet de téléfilm peu emballant. Dommage par rapport à la certaine ambition de la vision de Twohy (notamment dans la partie mexicaine) qui peine à se concrétiser (les effets spéciaux sont définitivement à la ramasse).
Mais ou va-t-on?
Comme les Notting Hillbillies : "Missing...Presumed Having a Good Time (on Letterboxd : https://letterboxd.com/ishenryfool/)"
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Re: Notez les films - Juin 2008
Tant que j'y pense, à ta prochaine fournée de VCD, y'a un film qui vaut le coup d'oeil : The rebellious reign (Fong Cheung). Les combats sont très nombreux et surtout excellents ! Et quand on sait que le final doit bien durer 25mn non-stopbruce randylan a écrit :Pour une fois que c'est l'inverseBest a écrit :
Tu m'as donné envie, va falloir que je sorte le DVD des étagères !
par contre, le dvd est pas franchement excellent ( pour un film récent )
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Re: Notez les films - Juin 2008
Cool !
Ça tombait bien je me disais qu'il fallait que j'en fasse dans une bientôt ( vu que je viens de découvrir que Bury me high existait en DVD )
Au fait tu passes par quel site pour commander ? Il y en a d'autres mieux fournis en raretés que buyoyo et yesasia ?
Ça tombait bien je me disais qu'il fallait que j'en fasse dans une bientôt ( vu que je viens de découvrir que Bury me high existait en DVD )
Au fait tu passes par quel site pour commander ? Il y en a d'autres mieux fournis en raretés que buyoyo et yesasia ?
"celui qui n'est pas occupé à naître est occupé à mourir"