Burroughs au cine
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Burroughs au cine
Dans quels films a joue William S Burroughs ? ( a part drugstore cow boy )
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aucune culture
Visiblement, il y a personne qui connait William S Burroughs. Putain, me dites pas que vous avez jamais vu le festin nu
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Euh...et Ornette Coleman il pue du bec ?christian a écrit :j'adore aussi le superbe score freejazz-symphonique d'Howard Shore...
"De toutes les sciences humaines, la pipeaulogie - à ne pas confondre avec la pipe au logis - ou art de faire croire qu'on sait de quoi on parle, est sans conteste celle qui compte le plus de diplômés !" Cosmo (diplômé en pipeaulogie)
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Le bouquin aussi s'ennuyait de toi ?Charly a écrit :J'ai du stopper net "Le Festin Nu" (le bouquin) après 70 pages pour cause d'ennui profond et réciproque
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Pareil, il faudrait que je regarde où est mon marque-pageCharly a écrit :J'ai du stopper net "Le Festin Nu" (le bouquin) après 70 pages pour cause d'ennui profond et réciproque ! Suis je le seul? J'avais pourtant bien aimé Junky.
Et pourtant j'avais beaucoup aimé les Lettres du Yagé.
Ma réaction n'était pas l'ennui mais plutôt l'agacement devant cette logorrhée sans queue ni tête
Par contre j'ai adoré le film, Cronenberg + Coleman oblige
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Ce n'est pas comparable : Junky est un aboutissement en soi, l'héritier d'une longue tradition du roman moderne entamée avec La Faim de Knut Hamsun (nourrie, si l'on veut remonter davantage, par Dostoievski), relayée par Henry Miller et que les couilloneries de la beat generation ont gardé comme cap sans jamais parvenir à l'égaler.Nikita a écrit :Je trouve au contraire que Le festin nu est son meilleur livre et de loinCharly a écrit :J'ai du stopper net "Le Festin Nu" (le bouquin) après 70 pages pour cause d'ennui profond et réciproque ! Suis je le seul? J'avais pourtant bien aimé Junky.
Avec l'usage du cut up, c'est une autre période qui débute chez Burroughs, que l'on peut préférer mais qui ne peut pas être comparée. Les références (explicites cette fois, à travers les emprunts et autres "samples" littéraires) renvoient davantage à Conrad ou Kafka.
Bref, comparer ces deux périodes, ce serait comme comparer deux écoles.
Pour revenir au thème "Burroughs au ciné", il y a ça, dans le prolongement de Drugstore Cow-Boy, qui vaut le détour :
I would prefer not to