Il manque le son.
Casino (Martin Scorsese - 1995)
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Je remarque avec intérêt que tu n'es pas seulement amateur de daubes!Sergius Karamzin a écrit :Personnellement, j'adore Casino. Bien plus que les Affranchis.
Tout y est plus épuré, et la relation entre Stone et De Niro, l'aliénation à Woods, les drives de Pesci avec les femmes... tout m'émeut.
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1ere vision, et il est clair que ce film est une claque magistrale !!
Une mise en scène fluide, inspirée, et de forte qualité, l'interprétation fabuleuse (les meilleurs rôles de Stone, Pesci, et le meilleur de De Niro depuis plus de 10 ans).
Et quelle BO !!! Bordel, c'est bien un des tous meilleurs de Scorsese !! (avec Taxi Driver et Raging Bull dans le Top 3)
Une mise en scène fluide, inspirée, et de forte qualité, l'interprétation fabuleuse (les meilleurs rôles de Stone, Pesci, et le meilleur de De Niro depuis plus de 10 ans).
Et quelle BO !!! Bordel, c'est bien un des tous meilleurs de Scorsese !! (avec Taxi Driver et Raging Bull dans le Top 3)
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Il y a des jours où on a pitié des chefs d'oeuvres qui prennent la poussière sur l'étagère... Et heureusement que ces jours existent.
J'ai donc découvert "Casino" hier... il n'est jamais trop tard...
« Casino » est une de ces illustrations magnifiques de la magie du cinéma, et ne vole pas par conséquent son statut de chef d’œuvre. Visuellement édifiant, le film étouffe néanmoins dans le format télé : un petit écran qui peine à immerger le spectateur comme une salle de cinéma aurait pu le faire. Les presque-trois heures de film prennent alors le risque de se faire sentir. Heureusement, Scorsese est un génie, et son film est beau, violent, impitoyable, et en conséquence, plus que captivant. Si je ne me suis pas tant attachée aux trois personnages (et que j’aurais tendance à regretter de ne pas avoir été émue outre mesure), je ne peux cependant pas nier que chacun d’entre eux ont fini par me fasciner, une fascination malsaine et inévitable à l’image de celle qu’inspire l’univers où ils évoluent, Las Vegas : monde luxueux et corrompu, perdu au milieu d’un désert, où l’ascension est aussi rapide et magistrale que le sera la chute. J’ai beau ne pas cultiver de passion particulière pour les films qui touchent à la mafia, je tombe d’admiration devant ce « Casino » qui respire la réussite.
J'ai donc découvert "Casino" hier... il n'est jamais trop tard...
« Casino » est une de ces illustrations magnifiques de la magie du cinéma, et ne vole pas par conséquent son statut de chef d’œuvre. Visuellement édifiant, le film étouffe néanmoins dans le format télé : un petit écran qui peine à immerger le spectateur comme une salle de cinéma aurait pu le faire. Les presque-trois heures de film prennent alors le risque de se faire sentir. Heureusement, Scorsese est un génie, et son film est beau, violent, impitoyable, et en conséquence, plus que captivant. Si je ne me suis pas tant attachée aux trois personnages (et que j’aurais tendance à regretter de ne pas avoir été émue outre mesure), je ne peux cependant pas nier que chacun d’entre eux ont fini par me fasciner, une fascination malsaine et inévitable à l’image de celle qu’inspire l’univers où ils évoluent, Las Vegas : monde luxueux et corrompu, perdu au milieu d’un désert, où l’ascension est aussi rapide et magistrale que le sera la chute. J’ai beau ne pas cultiver de passion particulière pour les films qui touchent à la mafia, je tombe d’admiration devant ce « Casino » qui respire la réussite.
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Tu fais plaisir.
De mon côté, j'avoue être systématiquement bouleversé par ce film... pas par empathie envers les personnages, évidemment, tous arrivistes et vénaux, mais bien par la flamboyance baroque de la mise en scène et la vitalité incroyable et rare de ce "cinéma des cinémas", propre à Scorsese.
Probablement LE film que j'emporterais sur une île.
De mon côté, j'avoue être systématiquement bouleversé par ce film... pas par empathie envers les personnages, évidemment, tous arrivistes et vénaux, mais bien par la flamboyance baroque de la mise en scène et la vitalité incroyable et rare de ce "cinéma des cinémas", propre à Scorsese.
Probablement LE film que j'emporterais sur une île.
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su tu tiens à le remercier vraiment, evite les fautes d'orthographe sur son nom !!!Lt John Dunbar a écrit :même si j'ai rien a dire, je veux faire parti de ce post et crier haut et fort ,comme vous, mon admiration pour cette oeuvre et un grand merci à M. SCORCESE pour les frissons que me procurent ce film à chaque vision.
MERCI M. SCORCESE
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Oui, c'est un peu comme si le mot "claque" avait été inventé spécialement pour ce film. Jamais l'utilisation de ce terme n'aura été aussi pertinente.
Pour reprendre les mots d'Alexis Trosset (voir l'interview de DVDClassik, à propos du bouquin sur Scorsese) : « Si quelqu’un me demandait « Qu’est-ce que le cinéma ? », je lui montrerais Casino. Le film-bilan d’un siècle de cinéma. »
Amen.
Pour reprendre les mots d'Alexis Trosset (voir l'interview de DVDClassik, à propos du bouquin sur Scorsese) : « Si quelqu’un me demandait « Qu’est-ce que le cinéma ? », je lui montrerais Casino. Le film-bilan d’un siècle de cinéma. »
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Mais c'est justement ce qui fait que ce film est si magnifique! Que Scorsese arrive à nous rendre amoureux d'opportunistes de première sans aucunes morales ou valeurs.Gounou a écrit :De mon côté, j'avoue être systématiquement bouleversé par ce film... pas par empathie envers les personnages, évidemment, tous arrivistes et vénaux,
Pour moi, l'un des trois sommets de sa carrière, l'une des composantes de la Sainte-Trinité scorsesiene à égalité avec Raging Bull et Taxi Driver. Bref, il me bouleverse.
"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum
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Oui, enfin ce que je voulais dire, c'est que je ne pleure pas sur le sort de Joe Pesci sans pour autant m'en désinteresser... l'implication tient dans la fascination conférée par l'épaisseur et la vitalité palpable des personnages... pas dans la sympathie qu'ils dégagent.MJ a écrit :Mais c'est justement ce qui fait que ce film est si magnifique! Que Scorsese arrive à nous rendre amoureux d'opportunistes de première sans aucunes morales ou valeurs.Gounou a écrit :De mon côté, j'avoue être systématiquement bouleversé par ce film... pas par empathie envers les personnages, évidemment, tous arrivistes et vénaux,
Bref, il me bouleverse.
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Oui, voilà, c'est exactement ce que je ressens après la découverte d'un tel film... C'est du cinéma, de l'art, du beau et du grand.Memento a écrit : Pour reprendre les mots d'Alexis Trosset (voir l'interview de DVDClassik, à propos du bouquin sur Scorsese) : « Si quelqu’un me demandait « Qu’est-ce que le cinéma ? », je lui montrerais Casino. Le film-bilan d’un siècle de cinéma. »
Amen.
Et je suis plutôt heureuse de l'avoir apprécié (sinon, Gounou aurait trouvé le moyen de me le faire payer... ).
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