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Une seule salle en France, faut pas abuser
Neil Young : Heart of Gold (Jonathan Demme)
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Cosmo Vitelli
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Neil Young : Heart of Gold (Jonathan Demme)
Jonathan Demme trace un portrait intime du légendaire chanteur/auteur/compositeur Neil Young, filmé à l'occasion du premier concert mondial Prairie Wind, au Ryman Auditorium de Nashville, le 19 août 2005. Entouré de certains de ses complices familiers, dont la star country Emmylou Harris, Pegi Young et le guitariste Ben Keith, Young interprète ici la totalité de l'album Prairie Wind, ainsi qu'une sélection des albums Harvest et Harvest Moon, qui forment avec celui-ci une manière de trilogie.
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"De toutes les sciences humaines, la pipeaulogie - à ne pas confondre avec la pipe au logis - ou art de faire croire qu'on sait de quoi on parle, est sans conteste celle qui compte le plus de diplômés !" Cosmo (diplômé en pipeaulogie)
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Re: Neil Young : Heart of Gold (Jonathan Demme)
A Chateauroux ?Cosmo Vitelli wrote:Une seule salle en France, faut pas abuser
non ?
bon, tant pis...
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Re: Neil Young : Heart of Gold (Jonathan Demme)
Voilà et après on s'étonne qu'on télécharge !Cosmo Vitelli wrote:
Une seule salle en France, faut pas abuser
Sérieusement, ce documentaire a l'air excellent surtout connaissant la belle réputation du côté documentariste de Demme (cf le très réussi The Agronomist en 2003).
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julien
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Vu en salle l'année dernière, souvenir ranimé par un topic en section "Littérature, musique & arts...".
Il s'agit plus d'un concert filmé que d'un "documentaire" à proprement parler ; il y a une très courte partie documentaire au début du film (entre 5 et 10 minutes, pas plus) avec quelques extraits d'interviews, mais c'est tout.
Pour le reste, le film taille la part du lion au dernier album en date du Loner (surnom relativement inapproprié ici d'ailleurs) : Prairie Wind. La première heure du film y étant exclusivement consacrée, j'étais partagé entre un certain plaisir (voir Young et son orchestre sur scène) et un léger ennui (ce n'est ni particulièrement palpitant, ni spécialement investi, même si c'est très bien interprété). Peut-être à imputer au fait que je ne connaisse pas l'album... Restent de très jolies choses, When God Made Me par exemple.
Après, quand il attaque le catalogue d'Harvest et d'Harvest Moon, d'un coup, ça m'a plus parlé. Harvest Moon, Heart of Gold, Old Man, The Needle... Là, d'un coup, ça prend vraiment vie... Peut-être que je connais mieux les chansons, ou qu'elles ont plus de bouteille (pour moi comme pour le groupe), j'sais pas.
Sinon, la captation de Demme, si elle reserve de très beaux moments, est un peu moins folichonne et inspirée que sur Stop Making Sense.
Par contre...
Il s'agit plus d'un concert filmé que d'un "documentaire" à proprement parler ; il y a une très courte partie documentaire au début du film (entre 5 et 10 minutes, pas plus) avec quelques extraits d'interviews, mais c'est tout.
Pour le reste, le film taille la part du lion au dernier album en date du Loner (surnom relativement inapproprié ici d'ailleurs) : Prairie Wind. La première heure du film y étant exclusivement consacrée, j'étais partagé entre un certain plaisir (voir Young et son orchestre sur scène) et un léger ennui (ce n'est ni particulièrement palpitant, ni spécialement investi, même si c'est très bien interprété). Peut-être à imputer au fait que je ne connaisse pas l'album... Restent de très jolies choses, When God Made Me par exemple.
Après, quand il attaque le catalogue d'Harvest et d'Harvest Moon, d'un coup, ça m'a plus parlé. Harvest Moon, Heart of Gold, Old Man, The Needle... Là, d'un coup, ça prend vraiment vie... Peut-être que je connais mieux les chansons, ou qu'elles ont plus de bouteille (pour moi comme pour le groupe), j'sais pas.
Sinon, la captation de Demme, si elle reserve de très beaux moments, est un peu moins folichonne et inspirée que sur Stop Making Sense.
Par contre...
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