Majordome a écrit :A propos de Geant, tout à fait d'accord avec toi Beule.
C'est un film terne comme Stevens sait les faire quand il s'en donne les "moyens", huhuhu.
Assez incroyable d'ailleurs, quand on voit une place au soleil. On a du mal à croire que c'est le même réalisateur qui est passé par là...
Géant est surdimensionné, pour une historiette sous-dimensionnée et cette sucrerie boursouflée malgré (ou à cause ? diraient les mauvaises langues ) du Dean inside, est assez indigeste, même si pas désagréable à regarder (mais que c'est long, en revanche... )
Conventionnel, boursouflé, sirupeux et interminable (dodo!!!) c'est bien ça pour moi aussi . Mais je me désolidarise quant à tes propos sur Jimmy Dean (comprendre surtout, je suis très lâche ).
Majordome a écrit :A propos de Geant, tout à fait d'accord avec toi Beule.
C'est un film terne comme Stevens sait les faire quand il s'en donne les "moyens", huhuhu.
Majordome a écrit :A propos de Geant, tout à fait d'accord avec toi Beule.
C'est un film terne comme Stevens sait les faire quand il s'en donne les "moyens", huhuhu.
Assez incroyable d'ailleurs, quand on voit une place au soleil. On a du mal à croire que c'est le même réalisateur qui est passé par là...
Géant est surdimensionné, pour une historiette sous-dimensionnée et cette sucrerie boursouflée malgré (ou à cause ? diraient les mauvaises langues ) du Dean inside, est assez indigeste, même si pas désagréable à regarder (mais que c'est long, en revanche... )
Conventionnel, boursouflé, sirupeux et interminable (dodo!!!) c'est bien ça pour moi aussi . Mais je me désolidarise quant à tes propos sur Jimmy Dean (comprendre surtout, je suis très lâche ).
Jeremy Fox a écrit :
allez, redonnez lui une chance avec le superbe Shane qui sort très bientôt en zone 2
Je l'ai jamais vu celui-là. Quel est l'argument du film ?
L'homme des vallées perdues : L'histoire d'un jeune garçon fasciné par cet homme arrivant de nulle part et qui va régler les problèmes qu'ont les fermiers avec les ranchers. Ces dernires ont engagé un tueur particulièrement sadique en la personne de Jack Palance. Une réflexion sur la violence, une belle histoire d'amitié et des scènes d'une extrême violence pour l'époque.
Beule a écrit :Cest aussi je crois le western favori de Clint Eastwood qui s'en est en partie inspiré pour son Pale Rider.
Ah bon ? Je ne savais pas. Je savais son admiration pour John Ford surtout mais ça ne m'étonne pas, ce western de Stevens préfigure un peu les westerns des années 70 d'une certaine façon par un réalisme beaucoup plus grand que tout ce qui s'est fait avant (les rues boueuses...)
Majordome a écrit :
Je l'ai jamais vu celui-là. Quel est l'argument du film ?
L'homme des vallées perdues : L'histoire d'un jeune garçon fasciné par cet homme arrivant de nulle part et qui va régler les problèmes qu'ont les fermiers avec les ranchers. Ces dernires ont engagé un tueur particulièrement sadique en la personne de Jack Palance. Une réflexion sur la violence, une belle histoire d'amitié et des scènes d'une extrême violence pour l'époque.
ps : je n'aime pas du tout James Dean
Alors soit lâche avec nous... ne l'avoue pas aussi brutalement, tu vas faire du mal à certain(e)s !
Concernant ce film... Je suis presque sur de l'avoir déjà vu. Mais il y a longtemps longtemps, au point que je ne pourrais dire si j'en garde un bon souvenir ou pas. On verra çà lors de sa sortie en dvd ou bien sur les chaines du satellite (j'ai remarqué que pas mal de sorties dvd naphtalinées étaient accompagnées d'une reprise sur les chaines de cinéma cable/satellite quasi simultanée ces derniers mois. Hasard ou stratégie commerciale ? Ce ne serait pas stupide, d'ailleurs comme stratégie, bien au contraire...)
1) J'aime James Dean, j'aime Géant, j'aime Shane et je ne suis pas un lâche !
Sérieusement, même si je préfère plein d'autres western à Shane, je ne vois pas comment on peut nier son importance dans l'histoire du genre et les influences qu'il a eu par la suite comme le rappelait Mr Fox.
Mélo aux effets et à l'interprétation particulièrement appuyés (les poses d'une Dorothy Malone, particulièrement, qui n'en crève pas moins l'écran) qui débouche sur une véritable danse paroxystique et lyrique à la fois. Et c'est tant mieux, car si l'argument ne balaye que du vent, l'intensité elle emporte tout. Toute la différence avec le terne Géant de george Stevens, autre soap opera texan fameux.
Troisième vision avec le même plaisir coupable.
7.5/10
Ce côté outré, excessif, qui ne fait pas dans la dentelle, c'est ce qui fait selon moi de Sirk LE maître du mélodrame quoi qu'en disent ceux qui aiment la subtilité au cinéma... Je préfère Tout ce que le Ciel Permet pour son observation de l'enfer des petites villes résidentielles, son rapport thématique et formel très fort à la nature, son exaltation d'un amour impossible mais Ecrit sur du Vent a le mérite d'émouvoir sur un pitch digne de Dallas et d'être soufflant de maîtrise de la mise en scène et de l'usage du technicolor -ou comment émouvoir encore plus en en rajoutant dans l'artifice-. 8.5/10
Joshua Baskin a écrit :
Je m'ajoute à ce concert de non-louanges
Je m'y colle pour défendre ce film puisque vous avez créé une ligne de non adhésion
On peut reprocher éventuellement à ce film d'avoir un métrage un peu trop long... (presque 3H quand même !) mais en matière de mise en scène, de jeu des acteurs, et de témoignage d'une société et de son époque, çà reste un grand fellini.
oui.
mais je me suis fait royalement chié au bout d'une heure.
Trois heures à suivre Marcello de fête en fête, non merci.
) du Dean inside, est assez indigeste, même si pas désagréable à regarder (mais que c'est long, en revanche...
)
).
Je préfère Tout ce que le Ciel Permet pour son observation de l'enfer des petites villes résidentielles, son rapport thématique et formel très fort à la nature, son exaltation d'un amour impossible mais Ecrit sur du Vent a le mérite d'émouvoir sur un pitch digne de Dallas et d'être soufflant de maîtrise de la mise en scène et de l'usage du technicolor -ou comment émouvoir encore plus en en rajoutant dans l'artifice-. 8.5/10
