Roger Donaldson
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Roger Donaldson
BURT MUNRO de Roger Donaldson (La recrue, Treize jours, Le pic de Dante, La mutante ...)
Bon film divertissant. 7/10
Les + : belle reconstituitin d'époque - fin années 60 Nouvelle Zelande et Usa (ambiance, décors, véhicules....)
: Road movie peuplé de peronnages excentriques
: éclairage intéressant sur le milieu des records de vitesse (label histoire vraie)
Les - : un poil longuet
: léger cabotinage d'Anthony Hopkins
Bon film divertissant. 7/10
Les + : belle reconstituitin d'époque - fin années 60 Nouvelle Zelande et Usa (ambiance, décors, véhicules....)
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Les - : un poil longuet
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Tu peux la secouer tant que tu veux, la dernière goutte est toujours pour le pantalon. Vieux proverbe
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The World's Fastest Indian est un film basé sur une histoire réelle et ca se sent.
C'est trop original pour etre inventé.
Les filles devraient adorer et les gars qui aiment l'action détestaient ce film.
Ce qui est interessant c'est l'humour, la volonté et la personnalité du personnage central.
Le reste c'est presque accessoire.
Un film minimaliste qui va droit au but et simplement:
parler des differentes forme de sentiment/d'amour a travers cette pittoresque aventure.
7/10
C'est trop original pour etre inventé.
Excelente interpretation de Anthony Hopkins et un bon film d'aventure sentimental.L'envie de réaliser un film sur Burt Munro date de 1971, date à laquelle Roger Donaldson rencontra pour la première la légende néo-zélandaise. Le réalisateur lui proposa alors de revenir sur les lieux de son aventure à Bonneville afin de réaliser un documentaire : Offerings to the god of speed (offrandes au dieu de la vitesse) a été diffusé à la télévision néo-zélandaise deux ans plus tard, en 1973. Il a fallu 30 années à Roger Donaldson pour réunir les fonds et les comédiens pour donner vie au scénario qu'il avait imaginé lors de ce premier tournage.
Les filles devraient adorer et les gars qui aiment l'action détestaient ce film.
Ce qui est interessant c'est l'humour, la volonté et la personnalité du personnage central.
Le reste c'est presque accessoire.
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7/10
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C'est pour satisfaire les sens qu'on fait l'amour ; et c'est pour l'essence qu'on fait la guerre - R.Devos
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non pourquoi ?Lord Henry a écrit :Avez-vous remarqué que Burt Munro est l'anagramme de Tom Runbur?
Sinon as tu vu ce film et qu'en penses tu ?
VO: The World's Fastest Indian
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Même pas resté une semaine chez moi, bon rattrage en dvd.
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Re: Roger Donaldson
Petite préférence pour Volcano à l'époque, parce que Anne Heche et le score d'Alan Silvestri. Mon candidat préféré dans le genre reste néanmoins le St. Helens d'Ernest Pintoff, issu de la vague catastrophe précédente.tchi-tcha a écrit : ↑19 nov. 22, 03:25Tiens, y'a pas Tommy Lee Jones dedans ? Ah bah non, je confonds avec son concurrent Volcano sorti la même année. Du coup je l'ai jamais vu, ce Pic de Dante de Roger Donaldson (1997). Ou bien si je l'ai déjà vu, je ne m'en rappelle plus, ce qui revient au même.- Le Pic de Dante (R. Donaldson, 1997) à 23h05 sur Chérie 25 (le film qui me fait à chaque fois penser qu'il faut que je mette des pneus-neige)
Jamais vu mais avec un goût de déjà-vu néanmoins, comme un Dents de la Mer où un gros volcan enrhumé remplacerait le gros poisson pas content*.
Le volcanologue Pierce Brosnan débarque dans une petite ville au pied d'un volcan pour prévenir que ça va péter, mais personne ne veut l'écouter car l'endroit est touristique et il y a trop d'intérêts économiques en jeu. Il est veuf et tombe amoureux de Linda Hamilton qui est divorcée, alors il va prendre tous les risques pour la sauver, elle et ses enfants, quand le volcan pète.
Si j'avais vu Le Pic de Dante à sa sortie, j'aurais probablement été sévère : Pierce Brosnan garde du début à la fin son flegme de beau gosse, la romance est fleur bleue, une voiture traverse tranquillou une coulée de lave, nos héros passent leur temps à se foutre tous seuls dans la merde, tous ceux qui n'ont pas voulu écouter ses avertissements meurent (ça leur servira de leçon), et à la fin même le chien est sauvé.
N'empêche, ça a son charme. D'une part la caméra de Donaldson ne ronronne pas sur ses rails, et le film appartient encore à une époque pré-tout numérique, donc avec de vrais paysages de montagne somptueux et de vrais effets dans des décors en dur (grandeur nature pour une bonne partie, avec quelques maquettes et effets digitaux en renfort). Ce côté artisanal "à l'ancienne" n'est pas désagréable, et même si le spectacle est convenu ça repose les yeux.
Donc une note bon public : 4,5/10
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Re: Roger Donaldson
The Getaway (1994)
Était-il vraiment utile pour Walter Hill de réécrire, une nouvelle fois, brièvement le chef d'oeuvre de Peckinpah avec The Getaway ? Il est facile de partir avec un apriori négatif ici tant l'intérêt peut s'avérer limité d'oser toucher à l'histoire de Jim Thompson après Steve McQueen et Ali MacGraw. Pourtant, le film de Roger Donaldson est tout sauf un nanar quelconque. La distribution est à des kilomètres de la qualité de celle des années 70 mais ça n'enlève en rien au film son charme si 90s et l'intensité du récit. James Woods, même s'il apparait très peu à l'écran, sauve d'ailleurs quelque peu le casting, comme toujours. Mais oui, Alec Baldwin n'est pas Steve McQueen et on peut légitimement se poser la question sur la confiance qu'il s'est donné pour penser l'égaler à l'écran. Son amitié avec Walter Hill a dû grandement jouer dans cette histoire. La mise en scène oscille entre la banalité et des scènes d'action tout de même extrêmement bien tournées. Le final dans le (même) hôtel n'a vraiment pas à rougir en comparaison de celui de Peckinpah, d'ailleurs. Souffrant d'une trop grande analogie aux côté d'un jumeau mastodonte, le film n'a forcément pas retenu l'attention. Dommage.
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Re: Roger Donaldson
De Donaldson je garde un très bon et très lointain souvenir de son tout premier film Sleeping Dogs. Bien envie de le revoir si c'est trouvable quelque part
« Quand des hommes, même s’ils s’ignorent, doivent se retrouver un jour, tout peut arriver à chacun d’entre eux, et ils peuvent suivre des chemins divergents, au jour dit, inexorablement, ils seront réunis dans le cercle rouge. »
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Re: Roger Donaldson
Il est sorti chez Arrow
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
Erwin Panofsky
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Re: Roger Donaldson
Énorme surprise pour moi aussi, à tel point que j'en avais fait un film du mois.