Je ne peux comparer qu'avec les films de de Sica que je connais, qui sont aussi ses films les plus connus, aussi cette comparaison ne me parait-elle pas si absurde.Alfred Kralik a écrit :Mais encore ?cinephage a écrit : l'empathie était justement très présente dans le voleur de bicyclette ou Miracle à Milan...![]()
Et faut-il nécessairement comparer le De Sica du néo-réalisme et celui des dernières années ?

Tout ce que je dis, c'est que je n'ai pas retrouvé dans ce film ce que j'avais apprécié dans les autres films de de Sica que j'ai pu voir, et que par ailleurs, la distance établie par la mise en scène m'a maintenu hors du film, n'ayant pas éprouvé de sympathie particulière pour les protagonistes du film.
C'est paradoxal, parce que justement, l'empathie pour les protagonistes était justement un des points forts de ses premiers films, qui humanisait des phénomènes sociaux.