Notez les films d'aujourd'hui
Publié : 22 août 15, 02:34
Il n'y avait pas de sujet pour le mois.

Hierro de Gabe Ibáñez Le jeune Diego disparaît mystérieusement à bord d'un ferry vers l'île d'El Hierro des îles Canaries, ce qui fait hurler d'angoisse sa mère. Nul ne sait s'il s'agit d'un accident en tombant par-dessus bord ou d'un enlèvement. Au bout de six mois, chez elle en Espagne, cette dernière garde le moral tant bien que mal et reçoit un appel d'El Hierro : le corps de son fils a été découvert…
Bon bes je n'avais pas vue le film depuis des années et bof quoi, la seule chose qui conserve mon intérêt pendant le visionnage de cette oeuvre, c'est la présence de la sublime et talentueuse Elena Anaya. Elle est parfaite dans le rôle de cette mère au bord du gouffre. Le film est moyen dans sa construction et pourtant c'est assez simple. Le début du film est l'introduction classique à ce type de récit même si j'avoue avoir complètement zappée les informations de cette introduction avant certains passages du film. Après le problème du film c'est qu'il ne se passe pas grand chose en faite, on nous embarque sur plusieurs pistes à la fois et le réalisateur n'en fait rien. Un personnage du film nous dit que les habitants de l'île sont mauvais et en faite il n'en est rien, je veux dire je m'attendais limite à une secte du type Lovecraft et il n'en est rien. Un personnage du film nous dit que les habitants de l'île se serrent les coudes et en faite il n'en est rien. Bref le récit part dans tous les sens et au final on ne sait pas ou il veut en venir. Un autre problème dans ce film les invraisemblances dans les rencontres, la mère rencontre tous les personnages clés du récit sans le vouloir, mais en étant toujours au bon endroit. Je trouve cela assez simple quand même et limite vulgaire, je veux dire que le réalisateur fait preuve d'une feignantise dans la construction de son histoire que les seuls moments ou on est éveillé ce sont les moments sur la plage et dans l'eau. Sincèrement Elena Anaya est la plus belle des femmes venant d’Espagne de cette planète, elle est sublime et la voir sur la plage, jouant avec l'eau, nageant reste un moment vraiment beau. Après le film est vraiment creux et le final arrive comme un cheveu sur la soupe avec un twist que l'on ne voit pas venir, mais qui est classique dans ce genre de récit. La mise en scène du réalisateur n'a rien de bien marquant si on fait exception de la scène de la plage qui est vraiment belle, même si je trouve la photographie assez bof, il y avait moyen d'en faire un passage encore plus marquant par son image, mais bon. La BO est par contre insipide, il n'y a pas un morceau qui nous reste en tête après le générique de fin et pourtant habituellement le cinéma espagnol possède de belles pistes, mais ici ce n'est pas le cas. En tout cas si vous aimez l'actrice, vous pouvez le voir le film et encore, mais sinon il n'y a rien à voir de bien intéressant, c'est classique de bout-en-bout et ne mérite pas plus que 3/10 selon moi et c'est bien dommage.

Hierro de Gabe Ibáñez Le jeune Diego disparaît mystérieusement à bord d'un ferry vers l'île d'El Hierro des îles Canaries, ce qui fait hurler d'angoisse sa mère. Nul ne sait s'il s'agit d'un accident en tombant par-dessus bord ou d'un enlèvement. Au bout de six mois, chez elle en Espagne, cette dernière garde le moral tant bien que mal et reçoit un appel d'El Hierro : le corps de son fils a été découvert…
Bon bes je n'avais pas vue le film depuis des années et bof quoi, la seule chose qui conserve mon intérêt pendant le visionnage de cette oeuvre, c'est la présence de la sublime et talentueuse Elena Anaya. Elle est parfaite dans le rôle de cette mère au bord du gouffre. Le film est moyen dans sa construction et pourtant c'est assez simple. Le début du film est l'introduction classique à ce type de récit même si j'avoue avoir complètement zappée les informations de cette introduction avant certains passages du film. Après le problème du film c'est qu'il ne se passe pas grand chose en faite, on nous embarque sur plusieurs pistes à la fois et le réalisateur n'en fait rien. Un personnage du film nous dit que les habitants de l'île sont mauvais et en faite il n'en est rien, je veux dire je m'attendais limite à une secte du type Lovecraft et il n'en est rien. Un personnage du film nous dit que les habitants de l'île se serrent les coudes et en faite il n'en est rien. Bref le récit part dans tous les sens et au final on ne sait pas ou il veut en venir. Un autre problème dans ce film les invraisemblances dans les rencontres, la mère rencontre tous les personnages clés du récit sans le vouloir, mais en étant toujours au bon endroit. Je trouve cela assez simple quand même et limite vulgaire, je veux dire que le réalisateur fait preuve d'une feignantise dans la construction de son histoire que les seuls moments ou on est éveillé ce sont les moments sur la plage et dans l'eau. Sincèrement Elena Anaya est la plus belle des femmes venant d’Espagne de cette planète, elle est sublime et la voir sur la plage, jouant avec l'eau, nageant reste un moment vraiment beau. Après le film est vraiment creux et le final arrive comme un cheveu sur la soupe avec un twist que l'on ne voit pas venir, mais qui est classique dans ce genre de récit. La mise en scène du réalisateur n'a rien de bien marquant si on fait exception de la scène de la plage qui est vraiment belle, même si je trouve la photographie assez bof, il y avait moyen d'en faire un passage encore plus marquant par son image, mais bon. La BO est par contre insipide, il n'y a pas un morceau qui nous reste en tête après le générique de fin et pourtant habituellement le cinéma espagnol possède de belles pistes, mais ici ce n'est pas le cas. En tout cas si vous aimez l'actrice, vous pouvez le voir le film et encore, mais sinon il n'y a rien à voir de bien intéressant, c'est classique de bout-en-bout et ne mérite pas plus que 3/10 selon moi et c'est bien dommage.