Tom Peeping a écrit :Cette Pocahontas de Beverly Hills
ça mène à quoi de sortir une telle connerie, juste en voyant les BAs et cet extrait ? Et ça veut dire quoi ? Elle est pas sapée en Gucci non plus, faut arrêter de dire n'importe quoi.
Tom Peeping a écrit :est totalement aseptisée et (d'après la critique en lien au-dessus), l'évocation de sa sexualité avec Smith est plus que prude, vu que la belle était un peu trop jeune pour la morale actuelle...
Moui bien sûr.
Dès son premier film, Malick traitait d'un sujet qui prêtait à polémique, justement au même niveau, Sissy Spacek incarnait une nana de 14-15 ans tout juste qui vit un amour un peu particulier avec un gars un peu plus âgé. Pourtant déjà il n'y avait pas d'évocation trop forte de l'amour physique entre Martin Sheen et elle.
Et c'est pareil dans Les Moissons du ciel, et dans La Ligne rouge (personnages de Ben Chaplin et Miranda Otto). Malick ne filme pas la sexualité des personnages. Lui reprocher d'être prude aujourd'hui sur cette histoire, franchement, c'est n'importe quoi, et dénote une bonne part de perversité de la part du critique. :rol:
Tom Peeping a écrit :Cette Pocahontas de Beverly Hills
ça mène à quoi de sortir une telle connerie, juste en voyant les BAs et cet extrait ?
Surtout que l'extrait en question est loin d'être le signe d'une illustration hollywoodienne sur les rites indiens mais bon...
-Kaonashi Yupa- a écrit :
Et ça veut dire quoi ? Elle est pas sapée en Gucci non plus, faut arrêter de dire n'importe quoi.
+ 1000
-Kaonashi Yupa- a écrit :
Tom Peeping a écrit :"]est totalement aseptisée et (d'après la critique en lien au-dessus), l'évocation de sa sexualité avec Smith est plus que prude, vu que la belle était un peu trop jeune pour la morale actuelle...
Moui bien sûr.
Dès son premier film, Malick traitait d'un sujet qui prêtait à polémique, justement au même niveau, Sissy Spacek incarnait une nana de 14-15 ans tout juste qui vit un amour un peu particulier avec un gars un peu plus âgé. Pourtant déjà il n'y avait pas d'évocation trop forte de l'amour physique entre Martin Sheen et elle.
Et c'est pareil dans Les Moissons du ciel, et dans La Ligne rouge (personnages de Ben Chaplin et Miranda Otto). Malick ne filme pas la sexualité des personnages. Lui reprocher d'être prude aujourd'hui sur cette histoire, franchement, c'est n'importe quoi, et dénote une bonne part de perversité de la part du critique. :rol:
Je suis assez d'accord... Cette Pocahontas de Beverly Hills est totalement aseptisée et (d'après la critique en lien au-dessus), l'évocation de sa sexualité avec Smith est plus que prude, vu que la belle était un peu trop jeune pour la morale actuelle... Pour le reste, ca a quand même l'air sacrément bien et fait de plus en plus penser penser au sublime Black Robe de Bruce Beresford.
Herzog c'est beaucoup moins léchée que ce machin...
Et puis que c'est lourdingue en même pas 1 min d'extrait...Le tunnel vers la lumière, les voiles pour montrer qu'il est sauvé. ça risque d'être encore plus indigeste que La ligne rouge
Herzog c'est beaucoup moins léchée que ce machin...
En tout cas, ça a l'air tout aussi hallucinogène !!!
C'est léchée, oui, et alors, où est le problème ?!
Jack Griffin a écrit :
Et puis que c'est lourdingue en même pas 1 min d'extrait...Le tunnel vers la lumière, les voiles pour montrer qu'il est sauvé. ça risque d'être encore plus indigeste que La ligne rouge
N'importe quoi !!! Un peu de lumière, cela signifie que c'est une redemption ? Le cinéma de Malick n'est pas un cinéma et ne sera jamais un cinéma de l'enluminure religieuse. Jamais. C'est un poète philosophe. ( va voir ce qu'en dit Stanley Cavell et notamment son rapport avec la philosophie de Heidegger) Il travaille énormément son cadre, sa lumière, c'est vrai mais il ne fait pas cela pour faire de la belle image ou pour servir la soupe à une forme de christiannisme... A la rigueur, on peut dire que c'est son cinéma possède des accents mystiques.
tronche de cuir a écrit :N'importe quoi !!! Un peu de lumière, cela signifie que c'est une redemption ? Le cinéma de Malick n'est pas un cinéma et ne sera jamais un cinéma de l'enluminure religieuse. Jamais. C'est un poète philosophe. ( va voir ce qu'en dit Stanley Cavell et notamment son rapport avec la philosophie de Heidegger) Il travaille énormément son cadre, sa lumière, c'est vrai mais il ne fait pas cela pour faire de la belle image ou pour servir la soupe à une forme de christiannisme... A la rigueur, on peut dire que c'est son cinéma possède des accents mystiques.
Oui, il y a quelque chose de mystique, et aussi de profondément influencé par une culture religieuse, il faut bien le reconnaître. C'est pas du Mel Gibson non plus, bien entendu.
Il y a deux ans, dans ma fac, il y a eu un mémoire de maîtrise sur les films de Malick et leurs liens avec... la bible. Je me demande ce qui y est dit.
Et je demande auqqi à voir ce qu'a pu écrire Cavell sur Malick (à moins que je n'ai pas compris ton message).
Jack Griffin a écrit :...encore plus indigeste que La ligne rouge
Ah, d'accord...
Ah pardon...je note que pour thegounou on est apparemment très vite catalogué quand on n'aime pas la ligne rouge.
tronche de cuir a écrit :N'importe quoi !!! Un peu de lumière, cela signifie que c'est une redemption ? Le cinéma de Malick n'est pas un cinéma et ne sera jamais un cinéma de l'enluminure religieuse. Jamais. C'est un poète philosophe. ( va voir ce qu'en dit Stanley Cavell et notamment son rapport avec la philosophie de Heidegger) Il travaille énormément son cadre, sa lumière, c'est vrai mais il ne fait pas cela pour faire de la belle image ou pour servir la soupe à une forme de christiannisme... A la rigueur, on peut dire que c'est son cinéma possède des accents mystiques.
Je ne sais pas ce que Cavell a pu dire sur Malick mais dans cet extrait, les signes religieux me paraissent assez clair. Le type prêt à passer dans l'autre monde, et cette lumière perçant l'obscurité au plafond, Farell porté en croix...remarque le perso principal est un conquistador si je ne m'abuse.
Catalogué non mais bon, au vu de certains termes que tu as employé pour qualifier La ligne rouge, ne va pas t'étonner non plus que l'on te reprenne Jack...
Personnellement, juste à la vue de ce teaser, je suis extrêmement enthousiaste sur le résultat final de ce Terence Malick là. Et quel photo bon dieu! Un vrai travail d'orfêvre!
Ah pardon...je note que pour thegounou on est apparemment très vite catalogué quand on n'aime pas la ligne rouge.
Ah... je note que Jack Griffin s'est découvert des talents de medium
Bon, trève d'enfantillages, mon "Ah, d'accord" ne signifiait pas "ok, c'est bon, t'es fiché", mais juste "Ah, ok, j'imaginais pas qu'on pouvait associer le mot "indigeste" à The Thin Red Line" ..............
.....oh et puis oui, ça sous-tendait une forme de provoc'!
Mais bon.... tu m'en veux?
Jack Griffin a écrit :
Je ne sais pas ce que Cavell a pu dire sur Malick mais dans cet extrait, les signes religieux me paraissent assez clair. Le type prêt à passer dans l'autre monde et cette lumière perçant l'obscurité au plafond, Farell porté en croix...
Ce n'est pas une scène qui représente une pieta, elle décrit une transe, un rituel indien assez mystérieux. Pas chrétien. C'est là que se situe l'EEeeenorme différence . Que la source de lumière émane du plafond n'en fait pas pour autant une scène à la symbolique religieuse.