Ratatouille a écrit :PS : bon bah j'aurais quand même trouver le moyen d'écrire un p'tit truc, hein...
Oui, et bien en plus.
Je vois en tout cas qu'après la première vision, on a à peu près tous l'envie d'y retourner. Un bon goût persistant de "reviens-y".
En fait, Malick, c'est LE cinéaste des trips sensoriels. Faut en profiter, y'en a pas beaucoup, et comme il tourne tous les dix ans...
cinephage a écrit :Bref, je peçois un assemblage d'images et de musique fort belles, mais je ne parviens absolument pas à rentrer dans le film, à m'attacher à ces personnages dont je ne comprends ni les motivations, ni les actes. Pour moi, Malick reste un grand réalisateur des seventies, mais son retour me passe totalement au dessus de la tête. A lire toutes ces reflexions, je perçois bien que je suis l'un des seuls. Dommage pour moi.
Il est clair qu'avec Malick, cinéaste "organique" par excellence, ça passe ou pas. Soit on rentre dans le trip, et alors tous nos sens sont en émoi, soit on reste sur la touche, ce que je conçois très bien également.
cinephage a écrit :Bref, je peçois un assemblage d'images et de musique fort belles, mais je ne parviens absolument pas à rentrer dans le film, à m'attacher à ces personnages dont je ne comprends ni les motivations, ni les actes. Pour moi, Malick reste un grand réalisateur des seventies, mais son retour me passe totalement au dessus de la tête. A lire toutes ces reflexions, je perçois bien que je suis l'un des seuls. Dommage pour moi.
Pareil.
Je précise que ces 2 énergumènes appartiennent à la même équipe que moi au FRCD...
Ouf je suis un âne a écrit :Je précise que ces 2 énergumènes appartiennent à la même équipe que moi au FRCD...
Et tu les as pas encore virés ?
Au contraire, notre force provient de nos différences...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
Un film immense à la délicatesse inoubliable dont on ne sort pas indemne. Un film "nouveau" qui propose rien de moins qu'une autre façon de voir... Un chef-d'oeuvre, une expérience, un poème philosophique, un idéal de cinéma.
Peut-être le meilleur Malick...
Ouf je suis un âne a écrit :Je me sens seul, mais seul...
Et si tu planchais sur frcd au lieu de vaticiner sur les théoriques mérites du Sieur Malick, qu'apparait même pas dans le jeu...
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell
Malgré quelques passages beaucoup trop rapides à mon goût, j'ai vraiment adoré le film.
Le thème principal est magnifique.
Et la façon qu'a Terrence Malick de filmer la nature est presque bouleversante.
La jeune Q'orianka Kilcher est vraiment très belle et impressionante. J'ai beaucoup aimé le personnage de Christian Bale, très touchant. En revanche Colin Farrell malgré sa très bonne prestation, m'a légérement agaçé.