Cher Jar Jar, pour comprendre où je voulais en venir, il fallait lire les 10 pages précédentes et je ne doute pas que c'est un exercice fastidieux !
Evidement que ta vision optimiste de 2001 se tient puisque Kubrick a voulu que chaque spectateur, avec son propre bagage intellectuel et ses propres sentiments, interprète le film à sa façon.
Roy Neary a écrit :Evidement que ta vision optimiste de 2001 se tient puisque Kubrick a voulu que chaque spectateur, avec son propre bagage intellectuel et ses propres sentiments, interprète le film à sa façon.
Et c'est grave si, personnellement, je n'ai jamais réussi à interpréter quoique ce soit ?
Roy Neary a écrit :Evidement que ta vision optimiste de 2001 se tient puisque Kubrick a voulu que chaque spectateur, avec son propre bagage intellectuel et ses propres sentiments, interprète le film à sa façon.
Et c'est grave si, personnellement, je n'ai jamais réussi à interpréter quoique ce soit ?
Du moment que tu te laisses aller, et que tu éprouves des émotions - y compris si elles sont contradictoires - c'est l'essentiel.
Jordan White a écrit :Du moment que tu te laisses aller, et que tu éprouves des émotions - y compris si elles sont contradictoires - c'est l'essentiel.
Eh bien je dois reconnaître qu'après chacune de mes visions de 2001, mon ressenti reste le même : c'est l'interrogation la plus complète.
Qu'est-ce que ce film ? Qu'a-t-il voulu nous dire ? A-t-il seulement VOULU nous dire quelque chose ?
Et je reconnais que c'est déjà pas mal, comme ressenti.
Sacré Stanley !! (dont je réévalue l'oeuvre à la hausse...car non : il n'a jamais fait partie de mes réalisateurs préférés)
Jordan White a écrit :Du moment que tu te laisses aller, et que tu éprouves des émotions - y compris si elles sont contradictoires - c'est l'essentiel.
Eh bien je dois reconnaître qu'après chacune de mes visions de 2001, mon ressenti reste le même : c'est l'interrogation la plus complète.
Qu'est-ce que ce film ? Qu'a-t-il voulu nous dire ? A-t-il seulement VOULU nous dire quelque chose ?
Et je reconnais que c'est déjà pas mal, comme ressenti.
Sacré Stanley !! (dont je réévalue l'oeuvre à la hausse...car non : il n'a jamais fait partie de mes réalisateurs préférés)
Oh là, c'est le complet retour en arrière ton post. 2001 raconte des milliers de choses, parlent à tous les sens, et tu demandes s'il ne raconte ne serait-ce qu'UNE chose ?
Je pense que tu es passé à côté du film, et qu'il faudrait que tu le revois ( j'ai été dans un cas à peu près similaire lors de la première vision).
Jordan White a écrit :Je pense que tu es passé à côté du film, et qu'il faudrait que tu le revois ( j'ai été dans un cas à peu près similaire lors de la première vision).
Je suis d'accord...mais le problème, c'est que ça fait 4 fois que je me dis la même chose !
Un nouvel essai, peut-être ?
Roy Neary a écrit :Cher Jar Jar, pour comprendre où je voulais en venir, il fallait lire les 10 pages précédentes et je ne doute pas que c'est un exercice fastidieux !
Evidement que ta vision optimiste de 2001 se tient puisque Kubrick a voulu que chaque spectateur, avec son propre bagage intellectuel et ses propres sentiments, interprète le film à sa façon.
J'ai lu les dix pages précédentes
Si je t'ai quoté, c'était pas pour te contredire (je sais tout le bien que tu penses du film) mais pour aller dans ton sens. VOilà
N'empêche, ca fait bizarre de devoir prendre la defense de Kubrick.
A en lire certains dans ce topic, quelques uns de mes films préférés, paraissent creux voire prétentieux pour d'autres. Les goûts et les couleurs....
Mais ca m'attriste quand même de voir que certains n'ont pas été touché comme moi par ces films. Ils ne savent pas ce qu'ils ratent
Dave Bannion a écrit :Bien sûr que non : Kubrick n'est pas intouchable !!
Il reste cependant le seul cinéaste qui a touché à ts les genres (sauf le western) et qui a laissé ds tous ces genres des films qui n'ont jamais laissé indifférent.
Et dire qu'à l'époque de la sortie de Eyes Wide Shut, un certain Vincent Guignebert avait écrit dans Impact :
"Ne cherche pas plus loin, ami lecteur, Stanley te parle et Eyes Wide Shut est sa dernière volonté : "Vous m'avez vénéré comme un dieu, aimez-moi maintenant comme un homme."
Roy Neary a écrit :Evidement que ta vision optimiste de 2001 se tient puisque Kubrick a voulu que chaque spectateur, avec son propre bagage intellectuel et ses propres sentiments, interprète le film à sa façon.
Et c'est grave si, personnellement, je n'ai jamais réussi à interpréter quoique ce soit ?
Si ça l'est (grave), alors j'ai du souci à me faire moi aussi !
J'ai lu pas mal d'interprétations de ce film, allant du farfelu au sérieux, et aucune ne m'a vraiment satisfait.
D'ailleurs, je ne suis pas sûr de vouloir une explication. Je pense qu'elle gâcherait mon rapport à ce film.
Je pourrais d'ailleurs dire la même chose de bon nombre de Lynch.