Achats BD, Mangas et Comics !

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Je confirme pour Clyde Fans : chef d'oeuvre absolu. Je veux tout découvrir de Seth désormais !

Le documentaire le dominion de Seth peut être acheté pour 4,95 € sur le site internet sur l'Office National du Film du Canada.

Seth chez lui (je veux sa maison) :

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Mes recommandations BD bis :

La comète de Carthage - Chaland
Mon préféré avec F-52, Vacances à Budapest et Le jeune Albert... OK, j'aime tout donc. Ligne claire etc., tout le monde connait déjà...




J'ai commencé par Chaland car je voulais surtout poster le documentaire ci-dessous qui est justement du même réalisateur que le doc sur Seth ci-dessus
L'énigme Chaland - Avril Tembouret (2018) / disponible en intégralité sur YT


Edit :
- Le passage où la femme de Chaland nous fait visiter l'atelier de son mari est d'une tristesse infinie.
- Idem. Le passage ou le dessinateur François Avril retient ses larmes lorsqu'il évoque le décès de son ami... Tristesse infinie
- Les spécialistes parisiens de la BD doivent connaitre la librairie où Chaland faisait ses dédicaces évoqué dans le reportage. Le nom n'est pas cité mais est filmé le numéro de rue : 175 (à 15 minutes 31 secondes). Si quelqu'un reconnait, je voudrais bien savoir de quel librairie il s'agit ? Merci d'avance.



Ma mère était une très belle femme - Karlien de Villiers
BD autobiographique comme beaucoup d'auteurs dit "indépendant", l'auteure raconte son enfance pendant les années 80, le divorce de ses parents et surtout les lois raciales en Afrique du Sud.




Lars Martinson - Tonoharu
Un étudiant américain part en "ERASMUS" donner des cours d'anglais à des ados japonais. Le Japon le faisait rêver mais une fois sur place, ce n'est pas ce qu'il avait imaginé. Il se sent très seul, reste très isolé (n'est pas non plus très sociable). Livre sorti en 2011. Depuis, j'attends la suite. L'acheteur Amazon décrit cette BD comme "élégante et déprimante".





Essex County - Jeff Lemire
Jeff Lemire est l'auteur de la BD de la série Sweet Toth sur Netflix (celle avec les enfants hybrides, à moitié humain, à moitié animal). J'ai beaucoup aimé cette saison 1 mais je n'ai pas encore lu la BD. J'ai trouvé ce "Essex County" dans mon Wondercash avec un scénario plus classique mais c'est génial.

Sur son lit de mort, Claire Papineau demande à son frère Kenny, de s’occuper de son fils Lester. Agriculteur solitaire dans le conté canadien d’Essex, Kenny n’a pourtant pas la fibre paternelle, mais il ne peut refuser. Il assume donc tant bien que mal cette charge, bien que le dialogue avec son neveu ne soit guère aisé. La plupart du temps seul, tandis que Kenny travaille aux champs, Lester est un garçon amer et silencieux, enfermé dans son monde de super-héros. Il porte en permanence un masque et une cape et dessine des petits comics.

A+

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Définitivement le dernier ( ), constitué essentiellement d'inédits.
Une collection au long cours de 26 tomes, ça prend de la place mais calé au dessus d'une bibliothèque ça passe pile poil.
Quand-même, 50 années de "gags" quotidiens (17 897 strips ), avec un trait d'esprit, une philosophie des petits bonheurs et malheurs de la vie de tous les jours inimitable, une espièglerie poétique rarement mis en défaut.
L'ouvrage d'une vie, qu'on peut lire et relire toute sa vie.

+ 1
Snoopy & les Peanuts, c'est la base.
Par contre, je les ai pas tous, loin s'en faut. J'ai quelques volumes des années 60 et 70 surtout et je les prendrai pas tous (manque de place, ça rentre pas dans des pochettes 3TL). Mais je voudrai savoir, toi qui les as tous, est ce que ça tient la route sur les années ? Est ce que les années 80/90, c'est aussi bien que les années 60/70. Volumes conseillés ?
EDIT : la maquette, c'est Seth au commande, c'est un gros fan.

[John Holden]

Définitivement le dernier ( ), constitué essentiellement d'inédits.
Une collection au long cours de 26 tomes, ça prend de la place mais calé au dessus d'une bibliothèque ça passe pile poil.
Quand-même, 50 années de "gags" quotidiens (17 897 strips ), avec un trait d'esprit, une philosophie des petits bonheurs et malheurs de la vie de tous les jours inimitable, une espièglerie poétique rarement mis en défaut.
L'ouvrage d'une vie, qu'on peut lire et relire toute sa vie.

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Snoopy & les Peanuts, c'est la base.
Par contre, je les ai pas tous, loin s'en faut. J'ai quelques volumes des années 60 et 70 surtout et je les prendrai pas tous (manque de place, ça rentre pas dans des pochettes 3TL). Mais je voudrai savoir, toi qui les as tous, est ce que ça tient la route sur les années ? Est ce que les années 80/90, c'est aussi bien que les années 60/70. Volumes conseillés ?

En lisant au ralenti pour faire durer le plaisir, les derniers strips des années 90, c'est précisément à ce moment que j'ai pu mesurer tout le génie de Schultz d'avoir su continuellement se renouveler malgré un cadre d'action assez réduit (excepté quand on suit les mésaventures mexicaines de Spike, un des frêres de Snoopy ou bien les sorties scouts de Snoopy avec Woodstock et ses potes...) et une petite poignée de personnages récurrents pendant 50 ans ! Il y a eu des ajouts subtils de nouveaux personnages au cours des décennies, certains vite abandonnés, d'autres qui ont vite enrichi l'univers des Peanuts. (Marcie Johnson, Peppermint Patty...)
Parmi les gags récurrents dont je ne me lasse pas, outre les aventures de "Joe Cool" Snoopy ou celle de ses pérégrinations d'aviateur en France lors de la 1ère guerre mondiale, j'avoue avoir un faible pour l'hystérie annuelle de Linus Van Pelt pour la venue fantasmée de la grande citrouille à l'occasion d'Halloween.

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Merci John Holden. Il faut donc tout. A la fois et

Il faut poster que ses achats ici où y'a un topic pour poster ses avis BD comme pour le topic sur les livres ? Je n'ai vu que ce topic BD. Le seul autre topic BD, c'est celui sur ceux qui meurent

- Mes recommandations BD tertio -

Là où vont nos pères de Shan Taunn
Pour les spécialistes de cinéma muet. BD entièrement muette. C'est très beau. C'est très cadeau de Noël.



Après Seth à la maison (voir vidéo plus haut), ci-dessous Shaun Taunn à la maison :


Attention, c'est du papier, ça prend feu. A conserver en sécurité.

Est-ce obligatoire d'avoir un détecteur de fumée ?
La loi n° 2010-238 du 9 mars 2010 rend obligatoire l'installation de détecteurs de fumée dans les lieux d'habitation. Au plus tard le 8 mars 2015, tous les logements devront être équipés d'au moins un détecteur autonome avertisseur de fumée (DAAF)

La saison des billes de Gilbert Hernandez
Les Kids de Joe Matt
Ces deux là me semblent judicieux d'être posté en parallèle. Souvenirs d'enfance.
Pour la saison des billes, je vous poste ci-dessous le commentaire de l'acheteur Amazon qui doit être le même acheteur Amazon du dictionnaire de Lourcelles. Ne comptez pas sur moi pour plus que du succinct, chais pas faire mais lui oui : déjà, je ne cesse d'édite car je galère pour la présentation)

Spoiler (cliquez pour afficher)

Il s'agit d'une histoire complète en 1 tome, en noir & blanc, format européen, écrite et dessinée par Gilbert Hernandez (également auteur de Palomar City , Luba , Nouvelles histoires de la vieille Palomar , L'enfer est pavé de bonnes intentions ). Le tome se termine avec une postface docte de 4 pages rédigée par Corey Creekmur (un professeur d'anglais dans une université de l'Iowa), et une page dans laquelle Hernandez explicite les références culturelles (télévisuelles, cinématographiques et issues des comics) du récit.

Huey (un garçon d'une dizaine d'années) joue aux billes avec Suzy et lui donne la bille qu'elle a gagnée. En rentrant chez lui, il croise un copain qui a un casque de soldat sur la tête, mais il ne veut pas venir jouer avec Huey de peur d'abîmer son casque. Huey se fait ensuite accoster par un plus grand qui commence à vouloir lui confisquer son sac de billes. Heureusement un autre adolescent arrive et effraie le butor. Il croise ensuite Junior (son frère) qui est en train de lire un comics dans la rue. Pendant ce temps là, Suzy a avalé intentionnellement la bille qu'elle a gagnée. Elle recroise le chemin d'Huey et ils refont une partie de bille, ce dernier lui en donnant une pour qu'elle puisse jouer. Pendant ce temps, Junior essaye d'expliquer à Lana (une fille de son âge avec une batte de baseball) ce qui l'intéresse dans le comics qu'il lit. Peu de temps après, Chavo (le petit frère d'Huey, 4 ou 5 ans) est réveillé de sa sieste par les éclats de voix de sa mère qui réprimande Junior pour ses mauvais résultats scolaires. Un peu plus tard, Huey ressort et joue aux billes avec Patty une fille de son âge. Ils discutent de qui est le plus drôle entre Bozo le Clown (un personnage de dessins animés) et Jimmy Olsen dans le feuilleton "Superman".

Dès la première page, le lecteur est en territoire familier : un dessin pleine page laissant beaucoup de place au blanc du ciel (les 2 tiers supérieurs de la page), avec un garçon lisant un comics en cheminant dans une rue déserte bordée par 2 maisons dessinées de manière simpliste. On retrouve la propension d'Hernandez à simplifier les décors (les maisons), une évocation séduisante d'un arbre en quelques coups de crayon, et un enfant ressemblant vraiment à un enfant, avec une expression aussi inimitable que parlante sur son visage. C'est d'ailleurs l'un des aspects les plus remarquables de ce récit : la capacité d'Hernandez à dessiner des enfants qui font leur âge, et ce de 3 à 14 ans. En progressant dans l'histoire, le lecteur constate qu'il pourrait se passer de connaître leur prénom, et les reconnaître tout aussi facilement du fait leur identité graphique remarquable. Hernandez s'avère tout aussi doué pour les dessiner dans des postures qui rendent compte de la gestuelle des enfants, avec quelques exagérations (en nombre restreint) qui traduisent la façon dont l'enfant vit intérieurement le geste qu'il est en train de faire (quand Junior envoie balader la batte de baseball de Lana), ou la sensation qu'il ressent (le sentiment de transfiguration ressenti par Huey alors qu'il passe à son bras la réplique faite maison du bouclier de Captain America). D'une scène à l'autre, le lecteur prend conscience qu'il perçoit les émotions et les sensations de ces enfants (l'impression de malaise alors qu'Huey passe le bouclier à son bras et que les attaches sont trop serrées, coupant la circulation sanguine). Rien que pour cela, cette histoire constitue un accomplissement peu commun.

Les décors esquissés permettent de fantasmer une banlieue anonyme, sans voiture, où les enfants peuvent se promener, où le printemps semble céder sa place à l'été sans fin.

L'absence d'intrigue permet au lecteur de se laisser porter par les souvenirs semi autobiographiques de Gilbert Hernandez, d'une scène sans importance à une autre, profitant de la joie de vivre propre aux enfants, revisitant les occupations de cette époque (sans ordinateur, sans téléphone portable). En fonction de l'âge du lecteur, il retrouvera des jeux ou jouets de son enfance, ou il découvrira à quoi s'amusait les enfants à cette époque (dans les années 1960 : jeux de billes, les poupées articulées GI Joe, la lecture des comics, le frisbee, les ballons remplis d'eau, faire comme si...). Mais au fil des pages, les scènes se succèdent pour créer une étrange tapisserie dans laquelle les adultes n'apparaissent jamais, sans école, sans contrainte, que du temps libre. En soi chaque scène est anecdotique, sans enjeu, sans empathie réelle pour ces enfants. Sauf qu'à un moment ou un autre le lecteur découvre une scène qui évoque une émotion, ou plutôt une prise de conscience le renvoyant à sa propre expérience, une vision nouvelle de ce qui l'entoure du fait d'une rencontre avec un autre enfant à la vision radicalement différente. Et tout d'un coup, l'intention de l'auteur apparaît comme une évidence. Ça s'est passé exactement ça : le point de contact entre 2 enfants. C'est avec la page 19 que je me suis rendu compte que quelque chose m'échappait : sous la pluie, Patty passe à coté du bouclier de Captain America qu'Huey a abandonné parce que ses camarades de jeu n'éprouvaient aucun intérêt à jouer à Captain America en groupe. Oui, bon, et alors ? 30 pages plus loin, Huey joue avec Lucio qui lui montre une façon plus masculine de jouer avec ses GI Joe. Et c'est une révélation pour Huey (et aussi pour ce lecteur). Gilbert Hernandez montre comment la perception du monde qu'ont les enfants est très égocentrique, comment ils sont tout entiers dans l'instant présent, et comment il se produit parfois un instant de contact où ils sont entièrement en phase avec un autre, où ils voient un aspect du monde qui les entoure avec le point de vue de leur camarade de jeu, un instant aussi intense que magique, une révélation au sens fort du terme.

Avec cette idée en tête, chaque scène révèle sa signification : des rencontres manquées ou impossibles (Junior expliquant à Lana ce qu'il trouve d'enthousiasmant dans un comics = 2 mondes totalement déconnectés sans espoir de compréhension), Huey montrant à Chavo comment lire un comics (= Huey invite Chaco dans son monde en le tenant par la main), ou justement Patty n'ayant aucune idée de la charge affective qu'Huey a investie dans ce frisbee transformé en bouclier. À l'opposé, il y a ces fusions ponctuelles sans préméditation ni calcul entre les univers de 2 enfants, comme Huey et Patty déambulant en papotant, construisant ensemble un lien ténu et précieux (avec cette image simple et parlante d'une tâche noire d'encre figurant leur 2 tignasses sans séparation visible, comme issues de la même matière). Gilbert Hernandez raconte une partie de ses souvenirs d'enfance, les circonstances et l'influence de rencontres avec d'autres enfants qui ont participé à sa construction, à son développement, à son amour des comics, à sa prise de conscience de sa vocation (raconter des histoires). Il évoque en filigrane les morceaux de culture populaire (musique des Beatles, comics, cartes à collectionner "Mars attacks", etc.) qui l'ont marqué durablement. Il dit aussi l'incommunicabilité, et la magie d'être sur la même longueur d'onde qu'une autre personne, magie des plus intenses lorsque l'on est un enfant. À nouveau Gilbert Hernandez a changé de registre avec cette histoire, pour toucher du doigt et faire apparaître un moment d'humanité bouleversant et ineffable, avec ce style graphique en apparence simpliste et pourtant si expressif.

A +

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- Mes recommandations BD quattro -

Sempé - Ames sœurs



J'ai commencé à m'intéresser à Sempé grâce aux Inrocks, qui lorsqu'ils étaient encore en mensuel, avaient sorti une longue interview de lui dont je me souviens encore du titre "du blanc, de l'espace et du silence", ce qui résume je trouve parfaitement ses dessins. Sempé a sorti tellement d'albums que l'on pourrait penser que j'ai choisi celui là au hasard. Et ben non. J'aime beaucoup celui là, qui est différent des autres je trouve. Les dessins sont des aquarelles en couleur (dans Raoul Taburin aussi de mémoire). La thématique de celui-ci est donc l'amour, les relations hommes-femmes, etc. On parle souvent forcément à propos de Sempé de ses dessins mais moins de ses textes. Et je les trouve très drôle. Je mets des extraits ci-dessous, j'ai trop la flemme pour aller scanner les dessins , mais même sans le dessin, le texte fonctionne je trouve.


Dans ce dessin là, on voit un homme et une femme se croisait sur un passage piéton :
J'ai eu confirmation un matin d'Avril, que le Destin et la Destinée sont choses différentes. Le Destin s'est présenté sous la forme d'une belle femme distinguée, au regard intelligent, à l'angle du boulevard Bourgadier et de l'avenue Marcellin. J'ai vraiment senti que quelque chose était possible.
Ma destinée était de savoir que :
a) J'avais juste le temps de me rendre à ce rendez-vous, qui d'ailleurs décida de ma carrière, et que
b) Elle était trop belle, trop distinguée et trop intelligente pour moi.
Mon ami Philippe, professeur de philosophie, ne partage pas mon avis sur cette différence que je fais entre Destin et Destinée. Je lui ai fait remarquer que cela expliquait, peut être, la confusion extrême de sa vie. Il l'a mal pris. Nous sommes fâchés. Cela devait arriver un jour ou l'autre.

Dans cet autre dessin, on voit un homme au milieu de la foule dans une ville héler une femme au loin qui rentre dans un immeuble. Une autre femme au bras d'un homme le regarde faire :
Elle était au bras d'un bellâtre, je savais qu'elle m'avait vu. Rien dans mon attitude n'indiquait que je l'avais aperçue. Une très jolie femme descendait d'un taxi et entrait dans un magasin de l'autre côté de la rue. Je criai : "Darling" et traversai. Le soir, la télé, les programmes me semblèrent encore plus sinistres.

Un autre. Un couple dans son appartement, regarde collé l'un à l'autre derrière leur fenêtre, l'horizon.
Notre bonheur était immense, cosmique. Nous avions envie de le dire, de le crier. A qui ? Qui de nos amis était capable d'en comprendre la profondeur, d'en ressentir l'exaltation ? il fallait pourtant que ce bonheur se concrétise en quelque sorte ; j'écrivis là-dessus des pages qu'elle ne comprit pas. Laure peignit une toile qui me déconcerta totalement. Nous nous regardons, depuis avec la plus grande suspicion.


Un dernier, sinon je vais retaper tout le bouquin. Un homme vient de rentrer chez lui le soir après sa journée de travail et il écoute son répondeur téléphonique.
J'eus beau enregistrer de nouvelles annonces sur mon répondeur-enregistreur, les rendre plus avenantes, plus gaies, comiques, il n'y eut plus jamais de messages d'elle.


Ci-dessous la présentation d'Olivier Barrot, le Francois Busnel des années 90, qui en parlera mieux que moi :


Edit : j'aime beaucoup celui là également qui pourrait faire un très bon film :
Monsieur Lambert, suivi de L'ascension sociale de Monsieur Lambert de Sempé


Edit 2 : Tous Sempé est sorti chez Folio mais je trouve qu'en poche c'est gâché. Les albums sont chers mais le grand format pour Sempé, ca change tout

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qu'est ce que c'est ? La couv' me fait envie.

[Spongebob]

Vous aviez cru que j'en avais terminé avec Dragon Ball ?

[Mosin-Nagant]

qu'est ce que c'est ? La couv' me fait envie.

De l'horreur. Junji Ito est le roi du genre, dans son pays. Spirale est une de ses œuvres emblématiques.
Actuellement, on note une grosse vague de republication de tout son travail, en France, via Mangetsu et Tonkam.

[Profondo Rosso]

[Shinji]

qu'est ce que c'est ? La couv' me fait envie.

De l'horreur. Junji Ito est le roi du genre, dans son pays. Spirale est une de ses œuvres emblématiques.
Actuellement, on note une grosse vague de republication de tout son travail, en France, via Mangetsu et Tonkam.

Et il est invité à Angoulême (les seconds ont d'ailleurs l'air de surfer sur cette redécouverte).

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qu'est ce que c'est ? La couv' me fait envie.

De l'horreur. Junji Ito est le roi du genre, dans son pays. Spirale est une de ses œuvres emblématiques.
Actuellement, on note une grosse vague de republication de tout son travail, en France, via Mangetsu et Tonkam.

Merci, j'ai regardé un peu sur le net, les dessins sont très beaux mais ça l'air trop glauque pour moi. Je suis pas sur d'être le bon client pour les trucs d'horreur. Je connais pas beaucoup les mangas. J'ai acheté Ayako d'Osamu Tezuka récemment. Pas encore lu mais je pense que ça sera plus mon style.

[Mosin-Nagant]

Oui, effectivement, c'est assez malsain. Un univers comme le sien peut aisément flanquer des sueurs froides. En bon fan de Silent Hill, évidement que j'adore ça ! ^^

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Silent Hill ? Le jeu vidéo ? Le seul jeu vidéo qui fait peur auquel j'ai joué est Bendy and the ink machine et j'arrive pas à le finir, les dessins cartoon du jeu sont pourtant tout ce que j'aime mais impossible à finir ou sinon, je fais un arrêt cardiaque, chais même pas comment vous faites pour jouer à des jeux pareils.

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Achat matinal dans la librairie vide de la BD au stylo BIC, Ce que j'aime, c'est les montres d' Emil Ferris.
Lecture prévue au mois de mai 2023.


J'ai aussi acheté un croissant dans la boulangerie bondée.
Le croissant est déjà mangé.