Je t'assure c'est superbe, Borkh est folle, une vraie chatte, tigresse en chasse, c'est un monument!Xavier a écrit :A vrai dire je ne connais que 3-4 versions donc j'essaierai peut-être la Mitropoulos.
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N'ayant ni les disponibilités de fréquenter régulièrement les opéras, ni des voisins sourds, je serai également modeste dans ce domaine, qui est une spécialité un peu à part et qui réunit des fous furieux de musique comme Encolpio
J'ai donc des goûts soit d'une banalité consternante pour ceux-ci, soit de la curiosité pour des oeuvres "hors norme" et moins indiscutables comme celles de Adams, Barber, Blitzstein, Chtchedrine, Eotvos, Faure (Penelope), Glass, Goldschmidt, Korngold, Penderecki, Hersant, Schoek, Zimermann, Sciarinno, Nono, Szymanowski, Weber/Mahler (Drei pintos), Zemlinsky, etc, que je ne peux mettre dans un top, vu que j'ai besoin de les réécouter encore de nombreuses fois avant d'en être familier. Quant aux oeuvres russes (pourtant très belles), elles sont rares dans ma discographie, à part quelques coffrets Melodyia...
Donc, en supposant qu'on puisse mêler opéra, opéra-comique, opérette et musicals, une liste qui enfonce les portes ouvertes :
1- Comme le dit Kurwenal, DON GIOVANNI (Mozart), opéra des opéras.
Ensuite, sans ordre vraiment précis, sauf TOUT Strauss, dans le même sac que Mozart, pour leur amour commun de la voix féminine :
du même divin Mozart, évidemment LA FLUTE ENCHANTEE, COSI, LES NOCES
ARIANE A NAXOS, LE CHEVALIER A LA ROSE, SALOME, etc etc (Strauss)
PETER GRIMMES, THE TURN OF A SCREW (Britten)
KATYA KABANOVA, JENUFA, DE LA MAISON DES MORTS (Janacek)
LA TRAVIATA, RIGOLETTO (Verdi)
PELLEAS ET MELISANDE (Debussy)
LA DAMNATION DE FAUST (Berlioz)
CARMEN, LES PECHEURS DE PERLES (Bizet)
ORPHEE ET EURYDICE (Gluck)
LES CONTES D'HOFFMANN (Offenbach)
DIALOGUE DES CARMELITES (Poulenc)
LA BOHEME, TOSCA (Puccini)
LE FREISCHUTZ (Weber)
L'OPERA DE 4 SOUS (Weill)
FIDELIO (Beethoven)
WEST SIDE STORY (Bernstein)
LA VEUVE JOYEUSE (Lehar)
LULU (Berg)
Je laisse à d'autres le soin de défendre l'opéra russe, absolument sous-représenté, et Wagner, qui se défend tout seul !
Et en bonus, des extraits très célèbres, style compil de supermarché, mais qui valent le déplacement :
IM CHAMBRE SEPAREE extrait de OPERNBALL de Heuberger par Elisabeth Schwarzkopf
CASTA DIVA extrait de NORMA (Bellini) par Anita Cerquetti (mieux que Callas, si, si, faites le test en aveugle)
IL BEL SOGNO DI DORETTA extrait de LA RONDINE (Puccini)
J'ai donc des goûts soit d'une banalité consternante pour ceux-ci, soit de la curiosité pour des oeuvres "hors norme" et moins indiscutables comme celles de Adams, Barber, Blitzstein, Chtchedrine, Eotvos, Faure (Penelope), Glass, Goldschmidt, Korngold, Penderecki, Hersant, Schoek, Zimermann, Sciarinno, Nono, Szymanowski, Weber/Mahler (Drei pintos), Zemlinsky, etc, que je ne peux mettre dans un top, vu que j'ai besoin de les réécouter encore de nombreuses fois avant d'en être familier. Quant aux oeuvres russes (pourtant très belles), elles sont rares dans ma discographie, à part quelques coffrets Melodyia...
Donc, en supposant qu'on puisse mêler opéra, opéra-comique, opérette et musicals, une liste qui enfonce les portes ouvertes :
1- Comme le dit Kurwenal, DON GIOVANNI (Mozart), opéra des opéras.
Ensuite, sans ordre vraiment précis, sauf TOUT Strauss, dans le même sac que Mozart, pour leur amour commun de la voix féminine :
du même divin Mozart, évidemment LA FLUTE ENCHANTEE, COSI, LES NOCES
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Je laisse à d'autres le soin de défendre l'opéra russe, absolument sous-représenté, et Wagner, qui se défend tout seul !
Et en bonus, des extraits très célèbres, style compil de supermarché, mais qui valent le déplacement :
IM CHAMBRE SEPAREE extrait de OPERNBALL de Heuberger par Elisabeth Schwarzkopf
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Bravo je ne vois pas en quoi ton choix est d'une banalité consternante, pas plus que les votes de nous tous! divers, trés bon au contraire...GASTON a écrit : N'ayant ni les disponibilités de fréquenter régulièrement les opéras, ni des voisins sourds, je serai également modeste dans ce domaine, qui est une spécialité un peu à part et qui réunit des fous furieux de musique comme Encolpio
J'ai donc des goûts soit d'une banalité consternante pour ceux-ci, soit de la curiosité pour des oeuvres "hors norme" et moins indiscutables comme celles de Adams, Barber, Blitzstein, Chtchedrine, Eotvos, Faure (Penelope), Glass, Goldschmidt, Korngold, Penderecki, Hersant, Schoek, Zimermann, Sciarinno, Nono, Szymanowski, Weber/Mahler (Drei pintos), Zemlinsky, etc, que je ne peux mettre dans un top, vu que j'ai besoin de les réécouter encore de nombreuses fois avant d'en être familier. Quant aux oeuvres russes (pourtant très belles), elles sont rares dans ma discographie, à part quelques coffrets Melodyia...
Donc, en supposant qu'on puisse mêler opéra, opéra-comique, opérette et musicals, une liste qui enfonce les portes ouvertes :
1- Comme le dit Kurwenal, DON GIOVANNI (Mozart), opéra des opéras.
Ensuite, sans ordre vraiment précis, sauf TOUT Strauss, dans le même sac que Mozart, pour leur amour commun de la voix féminine :
du même divin Mozart, évidemment LA FLUTE ENCHANTEE, COSI, LES NOCES
ARIANE A NAXOS, LE CHEVALIER A LA ROSE, SALOME, etc etc (Strauss)
PETER GRIMMES, THE TURN OF A SCREW (Britten)
KATYA KABANOVA, JENUFA, DE LA MAISON DES MORTS (Janacek)
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LE FREISCHUTZ (Weber)
L'OPERA DE 4 SOUS (Weill)
FIDELIO (Beethoven)
WEST SIDE STORY (Bernstein)
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Je laisse à d'autres le soin de défendre l'opéra russe, absolument sous-représenté, et Wagner, qui se défend tout seul !
Et en bonus, des extraits très célèbres, style compil de supermarché, mais qui valent le déplacement :
IM CHAMBRE SEPAREE extrait de OPERNBALL de Heuberger par Elisabeth Schwarzkopf
CASTA DIVA extrait de NORMA (Bellini) par Anita Cerquetti (mieux que Callas, si, si, faites le test en aveugle)
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Bravo.
Pour le Casta Diva/ Callas/ Cerquetti, c'est différent, pas forcement mieux, voir déjà la version dont tu parles par Callas, et celle par Cerquetti
Pour Callas:
1949, studio, Basile
1950, live, Picco
1952, live, Gui
1953, live, Votto
1954, studio, Serafin
1955, radio, Serafin
1955, live, Votto
1958, live, Serafin
1958, live, Pritchard
1958, live, Sebastian
1960, studio, Serafin
1963, live, Prêtre
1965, live, Prêtre
De trés grandes différences entre 1949 et 1965!
Pour cerquetti: 2 versions:
1956 studio, Gavazzeni;
04/01/1958 live G Santini.
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J'ai pour ma part énormément de bien à dire de Cerquetti qui fut une Elvira d'Ernani à nulle autre pareille. Chanteuse brisée en plein vol par la maladie, sa carrière fut brève et le peu qu'elle a légué demeure exceptionnel tant la pâte vocale et la justesse mélodique sont uniques. Sa Norma entre de plein pied dans les interprétations majeures mais ne peut pas être considérée comme supérieure à celle de Callas, différente oui, et tout aussi indispensable. Les comparer dans ce rôle est vain, à cause de leurs personnalités, de leurs moyens et surtout du rôle lui même qui est un de ceux qui permet des approches si variées et inépuisables.GASTON a écrit :
CASTA DIVA extrait de NORMA (Bellini) par Anita Cerquetti (mieux que Callas, si, si, faites le test en aveugle)
En revanche qui n'a pas entendu Ponselle ne connaît pas toutes les richesses et les beautés infinies que cette partition offre. Le duo "Mira, O Norma" avec Marion Telva est sans doute ce que le disque (bien que de la période acoustique) a laissé de plus beau au monde de l'enregistrement.
Quant aux nombreuses et toutes indispensables Norma de Callas, ma préférence va à celle live de Milan 1955 où elle réussit des choses inimaginables face à un Del Monaco, plus discipliné et moins butor que de coutume.
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Je co-signe entièrement... Oui à Ponselle (si je n'ai rien dit, c'étais par peur de me faire taxer de n'aimer que les cires...)Kurwenal a écrit :J'ai pour ma part énormément de bien à dire de Cerquetti qui fut une Elvira d'Ernani à nulle autre pareille. Chanteuse brisée en plein vol par la maladie, sa carrière fut brève et le peu qu'elle a légué demeure exceptionnel tant la pâte vocale et la justesse mélodique sont uniques. Sa Norma entre de plein pied dans les interprétations majeures mais ne peut pas être considérée comme supérieure à celle de Callas, différente oui, et tout aussi indispensable. Les comparer dans ce rôle est vain, à cause de leurs personnalités, de leurs moyens et surtout du rôle lui même qui est un de ceux qui permet des approches si variées et inépuisables.GASTON a écrit :
CASTA DIVA extrait de NORMA (Bellini) par Anita Cerquetti (mieux que Callas, si, si, faites le test en aveugle)
En revanche qui n'a pas entendu Ponselle ne connaît pas toutes les richesses et les beautés infinies que cette partition offre. Le duo "Mira, O Norma" avec Marion Telva est sans doute ce que le disque (bien que de la période acoustique) a laissé de plus beau au monde de l'enregistrement.
Quant aux nombreuses et toutes indispensables Norma de Callas, ma préférence va à celle live de Milan 1955 où elle réussit des choses inimaginables face à un Del Monaco, plus discipliné et moins butor que de coutume.
Pour Norma, effectivement comment se passer de:
Ponselle, son Casta Diva de 19, celui de1928/1929 et de son Mira, O Norma avec Marion Telva de 1929!
Raisa aussi reste à mon sens une référence de classe vocale dans cet air!
Les témoignages de Cigna aussi sont assez éblouissants.
Pour Callas ma préférence va aussi au 55 Votto pour l'ensemble, pour le Casta Diva seul j'ai peut être un faible pour le 52...
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