Ghosts of Mars (John Carpenter - 2001)
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- Mister Ironbutt 2005
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Ce que j'adore dans ce film c'est cette charge de mammouth contre l'Amérique et Hollywood. Un film iconoclaste sur le fond. La forme est peut-être moins réussie, mais c'est un grand film jouissif !
Les films sont à notre civilisation ce que les rêves sont à nos vies individuelles : ils en expriment le mystère et aident à définir la nature de ce que nous sommes et de ce que nous devenons. (Frank Pierson)
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- Laspalès
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Mac Lean a écrit :En ce qui me concerne c'est l'un de ses meilleurs films.mannhunter a écrit : j'ai l'impression en tout cas,en lisant ce topic,que GHOSTS OF MARS est aussi côté que LOS ANGELES 2013!!
quant à LA 2013,je ne suis franchement pas sûr qu'il soit mieux côté que GOM...le film a vraiment reçu une volée de bois vert de la part du public,des fans et de la critique lors de sa sortie...
Pourtant, j'aime beaucoup ce film et je ne pense pas être l'un des seuls.mannhunter a écrit : quant à LA 2013,je ne suis franchement pas sûr qu'il soit mieux côté que GOM...le film a vraiment reçu une volée de bois vert de la part du public,des fans et de la critique lors de sa sortie...
En passant, je dois dire que je trouve Ghosts of Mars beaucoup plus jouissif qu'un Invisible Man ou un Village of the Damned. Je n'adhère absolument pas aux propos excessifs de Mac Lean.
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- Mister Ironbutt 2005
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- Laspalès
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oui,et vas défendre LE FANTOME DE L'OPERA,il en a bien besoin!!Mac Lean a écrit :Mais va te faire traire par Vincent McDoom toi!Bob Harris a écrit : Je n'adhère absolument pas aux propos excessifs de Mac Lean.
sur Imdb,les votes semblent s'équilibrer pour L.A et GOM:
4,8/10 de moyenne pour L.A. (6376 voix)
4,6/10 pour GOM (4866 voix)
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- Mogul
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c'est la ressortie des topics polémiques
Sinon Mclean, je me répète mais j'aime beaucoup la fin de GOM qui est une sorte de prolongement de celle de vampire (comme tout le film). Ok, c'est encore un motif que Carpenter reprend souvent mais ça reste encore très efficace...Puis cette scène s'amorçant avec le réveil de Natasha, cela donne une petite touche ambigu sur la réalité ou non de ce qu'on voit...
Quand à voir le film comme un long prélude qui ne débouche sur rien, il faut se rappeler qu'il montre plus de la destruction qu'autre chose. Je le verrais plus comme une longue fin avant l'apocalypse qui est suggéré à la fin.
Maintenant il y a aussi une question de ressenti et les notions de non-film, de non style ou de cynisme sénile de la part de carpenter, je dois dire que ça me passe au dessus de la tête. Le non dévelloppement de la société matriarcales ou l'origine des fantmes me paraissent des arguments ne tenant pas debout (ou des non arguments ) dans l'entreprise qu'est GOM. On le voit bien ce qu'a voulu dire Carpenter, à travers cette histoire de civilisation renversé par la barbarie et il l'illustre ça de manière plutot convaincante pour moi. Les fantomes ne sont pas sensé faire peur (en tout cas carpenter ne le suggère presque jamais de cette manière) mais reflete là encore cette idée d'humanité transformer par la violence et la sauvagerie. Ces sensations et ces idées sont présentes dans GOM qui est loin d'être film "zombiesque à mon sens. Le film accuse des coups de mou, ça je ne le nie pas et c'est même parfois douloureux à voir (les combats ou alors les vues subjectives comme tu le signalais) mais de là à parler de film creux...GOM porte une idée, des sensations et ça le détache du produit lambda.
mais bon on s'en sortira jamais
Sinon Mclean, je me répète mais j'aime beaucoup la fin de GOM qui est une sorte de prolongement de celle de vampire (comme tout le film). Ok, c'est encore un motif que Carpenter reprend souvent mais ça reste encore très efficace...Puis cette scène s'amorçant avec le réveil de Natasha, cela donne une petite touche ambigu sur la réalité ou non de ce qu'on voit...
Quand à voir le film comme un long prélude qui ne débouche sur rien, il faut se rappeler qu'il montre plus de la destruction qu'autre chose. Je le verrais plus comme une longue fin avant l'apocalypse qui est suggéré à la fin.
Maintenant il y a aussi une question de ressenti et les notions de non-film, de non style ou de cynisme sénile de la part de carpenter, je dois dire que ça me passe au dessus de la tête. Le non dévelloppement de la société matriarcales ou l'origine des fantmes me paraissent des arguments ne tenant pas debout (ou des non arguments ) dans l'entreprise qu'est GOM. On le voit bien ce qu'a voulu dire Carpenter, à travers cette histoire de civilisation renversé par la barbarie et il l'illustre ça de manière plutot convaincante pour moi. Les fantomes ne sont pas sensé faire peur (en tout cas carpenter ne le suggère presque jamais de cette manière) mais reflete là encore cette idée d'humanité transformer par la violence et la sauvagerie. Ces sensations et ces idées sont présentes dans GOM qui est loin d'être film "zombiesque à mon sens. Le film accuse des coups de mou, ça je ne le nie pas et c'est même parfois douloureux à voir (les combats ou alors les vues subjectives comme tu le signalais) mais de là à parler de film creux...GOM porte une idée, des sensations et ça le détache du produit lambda.
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- Mogul
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