Rock Academy (Richard Linklater, 2003)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
C'est exactement ça!!!Requiem a écrit :J'attends avec impatience. En général avec ce genre de films, c'est tout ou rien, soit on a droit à tous les poncifs possibles et imagonables sur le rock...etc, soit c'est le film de fan que l'on aime de toute façon malgré ses défauts parce qu'il donne plus que tout envie de créer un groupe...
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- Un Justicier dans la Cuisine
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Requiem veut nous faire le Velvet Underground part 2. Au secours!Bob Harris a écrit :C'est exactement ça!!!Requiem a écrit :J'attends avec impatience. En général avec ce genre de films, c'est tout ou rien, soit on a droit à tous les poncifs possibles et imagonables sur le rock...etc, soit c'est le film de fan que l'on aime de toute façon malgré ses défauts parce qu'il donne plus que tout envie de créer un groupe...
Puissant, corrompu et menteur
You two do make a charming couple though, you're both, what's the expression, damaged goods.
Je te rassure.Johnny Doe a écrit :C'est un des films qui me dit le moins. Le concept et la bande annonce m'ont directement "repoussé". Aucune envie de le voire, peut-être en DVD... M'enfin un Jack Black show ça me dit pas beaucoup, je peut le sentir que quand il se calme un peu (shallow hal) ou quand il est drôle car bien utilisé (High Fidelity).
Jack Black est merveilleux dans ce film. Bien que je l'adore dans High Fidelity, je craignais quand même qu'un sur-cabotinage de Jack Black pendant deux heures finisse par lasser. Il n'en est rien. Jack Black se déchaîne totalement, il est vrai, mais il n'oublie jamais son personnage et réussit à le rendre réellement touchant. C'est simple : Jack Black semble être né pour le rôle.
Une prestation comique vraiment hallucinante, et surtout sans aucune vulgarité, qui n'a vraiment rien à envier au génie d'un certain Jim Carrey...
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Vu hier soir, j'ai adoré!
Le scénario tient sur une allumette(pas une boîte), c'est encore une histoire de looser sucess story, mais je suis assez client de ce genre de films.
Jack Black est exceptionnel, les mômes craquants, il y a quelques piques sociales bien sentis, le réal nous épargne une love story à 2 balles heureusement, et se paye même quelques plans séquences, par contre 2-3 trous scénaristiques, le premier montage devait faire au moins 2 heures à mon avis.
En résumé 1h45 le sourire aux lèvres, et 2-3 bons gros fou-rires.
Rock rules!
Le scénario tient sur une allumette(pas une boîte), c'est encore une histoire de looser sucess story, mais je suis assez client de ce genre de films.
Jack Black est exceptionnel, les mômes craquants, il y a quelques piques sociales bien sentis, le réal nous épargne une love story à 2 balles heureusement, et se paye même quelques plans séquences, par contre 2-3 trous scénaristiques, le premier montage devait faire au moins 2 heures à mon avis.
En résumé 1h45 le sourire aux lèvres, et 2-3 bons gros fou-rires.
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Un parfum de Sister Act avec des mômes et Jack Black 10 ans après, et du rock à la place. Un peu convenu, de bons sentiments, une fois ça mis de côté il reste des acteurs sur tapis rouge feu (Black, Cusack, des statues érigées pour eux), un rythme pétaradant et une formule magique pour créer un énorme enthousiasme. Très bon.
4-5/6
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Yeah !Simone Choule a écrit :Cauet, j'aimerais lui coudre les cheveux à l'intérieur de la tête et lui raper doucement les yeux.
Choule of Rock !
"De toutes les sciences humaines, la pipeaulogie - à ne pas confondre avec la pipe au logis - ou art de faire croire qu'on sait de quoi on parle, est sans conteste celle qui compte le plus de diplômés !" Cosmo (diplômé en pipeaulogie)
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Ou lui faire manger des tartines beurées de lames de rasoir...tewoz a écrit :Quelle drôle d'idéeSimone Choule a écrit : Cauet, j'aimerais lui coudre les cheveux à l'intérieur de la tête et lui raper doucement les yeux.
Mais lui raper les yeux, c'est d'un banal... surtout quand on sait qu'on peut à la place, lui remplir les globes occulaire de punaises chauffées à rouge...
J'ai tout à fait conscience qu'on peut trouver le film ultra-prévisible et convenu. Mais ce n'est pas un problème pour moi. La subtilité comique du film réside dans le paradoxe entre la discipline rigoureuse et le côté rebelle, anarchiste. Si le film semble emprunter des ressorts scénaristiques tout à fait formatés, c'est pour mieux laisser passer son esprit subversif, et c'est ce qui fait son efficacité indéniable. The School of Rock est beaucoup plus inventif qu'il n'y paraît et rend un émouvant hommage au rock, en mettant en valeur la richesse de sa culture, ses codes, ses rituels, ses traditions. Les plans-séquences où Linklater prend le temps de montrer avec précision la formation d'un groupe de rock avec des règles très strictes sont vraiment très beaux. On a vraiment l'impression d'assister à la transmission de la culture rock. C'est un thème important qui fait toute la grandeur de ce film, véritable cri d'amour pour le rock.
Un chef-d'oeuvre, je vous dis. Allez-y !
Un chef-d'oeuvre, je vous dis. Allez-y !
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