Dellamorte dellamore (Michele Soavi - 1994)
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oui c'est quand meme dommageable qu'il soit maintenant cantonné à un role de réalisateur TV.le cinéma de genre est mort depuis longtemps en Italie,mais la résistance de Dario devrait quand meme lui donner quelques idées.mannhunter a écrit :Sanctuaire est moyen (joli début,quand même),j'aime bien la Secte (un beau dvd serait le bienvenu) et je trouve Bloody Bird très réussi,Soavi s'est bien démerdé avec son petit budget!NUTELLA a écrit :
bin,Sanctuaire et La secte possédent plus de défauts que de qualités,mais ils restent dans l'etat sympathiques.et j'ai un petit faible pour Bloody bird
ce qui est sûr,c'est que Soavi manque au ciné Fantastique (et pas seulement italien)...
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Bonjour,
Merci pour le plan du festival de Bruxelles
Il y a comme une sorte de douceur dans ce film... Ca ne tient pas seulement à la présence d'Anna Falchi, c'est autre chose... Quelque chose qu'on ressent dans la plupart des films d'horreurs italiens, mais là plus qu'ailleurs... Comme s'ils (les Soavi, Argento et consors) ne pouvaient pas s'empêcher de rendre leurs personnages attachants, même les cadavres...
Merci pour le plan du festival de Bruxelles
Il y a comme une sorte de douceur dans ce film... Ca ne tient pas seulement à la présence d'Anna Falchi, c'est autre chose... Quelque chose qu'on ressent dans la plupart des films d'horreurs italiens, mais là plus qu'ailleurs... Comme s'ils (les Soavi, Argento et consors) ne pouvaient pas s'empêcher de rendre leurs personnages attachants, même les cadavres...
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YES !mannhunter a écrit :studio canal sortira le film en zone 2 courant Août...youpi!
Mannhunter recevra ses VHS en retour le plus vite possible car ce con de Johnny avait complétement oublié
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Je viens de mettre en ligne le comparatif entre l'édition italienne et celle de StudioCanal.
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Découvert à l'occasion du festival Paris Cinéma. Petit coup de gueule en passant pour dire qu'on a carrément eu droit à la projection du dvd StudioCanal, ce qui est un peu craignos.
Je suis totalement tombé sous le charme de ce film vraiment surprenant. Ambiance vraiment unique, récit imprévisible qui m'a plus donné l'impression d'un suite de petits épisodes qui pourraient fonctionner presque indépendamment les uns des autres. C'est bourré d'idées poétiques, de situations complétement surréalistes où tout devient possible et où il ne sert à rien de chercher des réactions logiques de la part des personnages, c'est souvent très drôle. Rupert Everett en gardien de cimetière hard boiled est impeccable, et je me demandais si j'avais pas déjà vu quelque part la troublante Anna Falchi mais au vu de sa filmo, j'ai pas l'impression.
Soavi se montre ici incontestablement inspiré.
Je suis totalement tombé sous le charme de ce film vraiment surprenant. Ambiance vraiment unique, récit imprévisible qui m'a plus donné l'impression d'un suite de petits épisodes qui pourraient fonctionner presque indépendamment les uns des autres. C'est bourré d'idées poétiques, de situations complétement surréalistes où tout devient possible et où il ne sert à rien de chercher des réactions logiques de la part des personnages, c'est souvent très drôle. Rupert Everett en gardien de cimetière hard boiled est impeccable, et je me demandais si j'avais pas déjà vu quelque part la troublante Anna Falchi mais au vu de sa filmo, j'ai pas l'impression.
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On la voit beaucoup jouer dans google images surtout !Max Schreck a écrit :je me demandais si j'avais pas déjà vu quelque part la troublante Anna Falchi mais au vu de sa filmo, j'ai pas l'impression.
Je viens de rejeter un oeil au comparatif de Dorian Gray (merci), faut vraiment que je lourde mon Studio Canal c'est une honte pour un film si soigné esthétiquement.
GNA !
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Merci pour ce comparatif, parfaitement clair. En revanche, trouve-t-on des sous-titres français sur le dvd Medusa ??Dorian Gray a écrit :Je viens de mettre en ligne le comparatif entre l'édition italienne et celle de StudioCanal.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell