Jackie Brown (Quentin Tarantino - 1997)
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la disparition de la fonction "recherche" est la porte ouverte à toutes les fenêtres!Philip Marlowe a écrit :Je suis tellement d'accord avec toi que je lui ai consacré un topic il y a peu pour dire à peu près la même chose.
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Re: Jackie Brown
oui... un des plus belles fin de l'univers (ah forster qui s'éoigne pour...pleurer?). A part ça j'adore ce film de vieux et c'est également mon tarantino préféréJohn Constantine a écrit :et voir Grier mélancolique chantonner Across the 110th Street en laissant sa vie pourrav' derrière elle m'a fait un effet...
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ben oui, je trouve l'affiche moche et les trucs de Kung fu, j'ai vraiment du mal, les polars clins d'oeil aux 70s genre "Pulp" ou "Jackie", ça va sans problème... mais les arts martiaux, j'ai déja plus de mal... mais peut être que je loupe un chef d'oeuvre absolu... je le verrai bien un jour de toute manière, mais il faudra que je me force un peu quoi... c'est tout...Bill Harford a écrit : Tu adores "Pulp Fiction" et "Jackie Brown", mais tu n'as pas envie de voir "Kill Bill".
Il se passe de drôles de trucs ici que je ne comprendrai jamais.
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Re: Jackie Brown
yep: était-il sur le point de la rattrapper kan il demande à la femme au tel de rappeler dans 30 mn? On ne saura jamais.Tuck pendleton a écrit :oui... un des plus belles fin de l'univers (ah forster qui s'éoigne pour...pleurer?).
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"Kill Bill" donne justement envie d'aimer les films de kung-fu, et puis, il n'y en a pas tant que ça. Dis-toi qu'on y retrouve à 100% le style Tarantino et tu vas avoir envie d'aller le voir ce soir.christian a écrit : ben oui, je trouve l'affiche moche et les trucs de Kung fu, j'ai vraiment du mal, les polars clins d'oeil aux 70s genre "Pulp" ou "Jackie", ça va sans problème... mais les arts martiaux, j'ai déja plus de mal... mais peut être que je loupe un chef d'oeuvre absolu... je le verrai bien un jour de toute manière, mais il faudra que je me force un peu quoi... c'est tout...
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Pour moi, il y a plus d'hommage à la Blaxploitation dans Kill Bill que dans Jackie Brown. Qui est à yeux le seul Tarantino véritablement profond (on y parle vieillissement, lassitude, volonté d'échapper à un style de vie bas de gamme...), un modèle de classicisme, de capacité à créer la durée, à faire tenir un film en grande partie sur des moments creux. Et si le tandem Grier/Forster fait des étincelles Robbie Ordell est à mes yeux un des plus beaux personnages tarantiniens jusqu'à présent grace à un Samuel Jackson qui transcende les dialogues et QT et Elmore Leonard. Le film montre également une évolution de ce point de vue: on passe des dialogues sur la pop culture (Madonna, les Big Mac) à un style de dialogues plus intemporel, plus polar classique qui n'en est pas moins efficace. Un beau diamant dans une oeuvre déjà d'une grande diversité. 9.5/10
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Jackie Brown est le Tarantino que j'aime le moins. Seulement je n'aime pas dire "que j'aime le moins" parce qu'on a l'impression que je tire une gueule de ce genre là quand je le dit. Alors que pour moi c'est un polar impressionnant par son rythme, sa richesse, ses acteurs, son intelligence et même son humour ravageur. On étale moins les dialogues épiques d'un Pulp Fiction, c'est plus un non-dit, une sorte de subtilité, de classe toute naturelle dans les dialogues, c'est cette aspect "déconnecté du réel", c'est aspect purement cinémathographique qui me plaît. Certes c'est un peu le style Tarantino ("c'est du cinéma"), mais je le trouve encore plus maruqé dans ce film-ci (presque encore plus poussé dans Kill Bill, Jackie Brown c'est un film ou tous les dialogues ressemblent à celui qu'à The Bride avec Vernita Green).
C'est aussi, ça à été dit, le film le plus touchant et à la patte bizzarement sincère. Robert Forster et Pam Grier sont parfaits et leur relation est encore une représentation de cet aspect filmique. C'est reglé comme du papier à musique, ça me ferait même pensé à un ballet.
C'est aussi, ça à été dit, le film le plus touchant et à la patte bizzarement sincère. Robert Forster et Pam Grier sont parfaits et leur relation est encore une représentation de cet aspect filmique. C'est reglé comme du papier à musique, ça me ferait même pensé à un ballet.
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ces dialogues sont vraiment trop "marqué" dans cette scène de Kill Bill. Le jeu forcé des actrices, les "Bitch"...je décroche.Johnny Doe a écrit :, mais je le trouve encore plus maruqé dans ce film-ci (presque encore plus poussé dans Kill Bill, Jackie Brown c'est un film ou tous les dialogues ressemblent à celui qu'à The Bride avec Vernita Green).
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mais on s'en fout.Tuck pendleton a écrit :ces dialogues sont vraiment trop "marqué" dans cette scène de Kill Bill. Le jeu forcé des actrices, les "Bitch"...je décroche.Johnny Doe a écrit :, mais je le trouve encore plus maruqé dans ce film-ci (presque encore plus poussé dans Kill Bill, Jackie Brown c'est un film ou tous les dialogues ressemblent à celui qu'à The Bride avec Vernita Green).
Ce que je voulais dire c'est que dans ce dialogue c'est tellement calculé et peut naturel d'un certaine manière. Renvoyage de balle parfaitement écrit et régler, c'est ce que je ressent pour Jackie.
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Il faudrait que je le revois, mais comme la plupart des avis précédents, un film tout à fait enthousiasmant, avec de belles séquences, dont celle de l'échange, et puis ce regard sur ces personnages, à la fois tendre et honnête, amoureux diront certains, je pense qu'on peut dire cela comme ça en effet.
SPOILER:
La mort de De Niro me paraît assez proche de Reservoir Dogs dans l'esprit non ?
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je ne ressens pas trop ça..et puis comme le personnage de Jackson, seul à pratiquer ce genre d'échange, est ridiculisé par sa "petite surfeuse" j'accroche beaucoup plus.Johnny Doe a écrit :Tuck pendleton a écrit :
ces dialogues sont vraiment trop "marqué" dans cette scène de Kill Bill. Le jeu forcé des actrices, les "Bitch"...je décroche.Je le referais plusJohnny Doe a écrit : mais on s'en fout.
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Johnny Doe a écrit : Ce que je voulais dire c'est que dans ce dialogue c'est tellement calculé et peut naturel d'un certaine manière. Renvoyage de balle parfaitement écrit et régler, c'est ce que je ressent pour Jackie.