J'apprcéie pas mal ce foilm égalemnt qui sort des sentiers battus. Et puis il y a Elizabeth Shue. Je n'ai pas vraiment d'avis sur Soderbergh, il m'indiffère pas mal (je précise que j'ai vu tous ses films). J'adore L'Anglais mais n'aime pas pas mal de ses films. J'ai du mal à le considérer comme un cinéaste à part entière et encore moins comme un auteur ce qui fait que je vois ces films sans forcément penser à qui est derrière la caméra.Roy Neary a écrit :Je conseille la vision de A fleur de peau (dont personne n'a encore parlé), un thriller malin à la narration éclatée qui joue sur les codes du polar.
Steven Soderbergh
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C'était juste pour ne pas vexer les amateurs du bonhomme. Le film m'a semblé ridicule de bout en bout : les filtres bleus (si je me souviens bien), la "narration éclatée" comme seul nerf scénaristique (le dispositif est quand même très léger et trop mécanique pour avoir du sens), la pauvreté visuelle de l'ensemble. J'y ai vu à l'époque le devoir laborieux d'un étudiant en cinéma, sans personnalité ni imagination. Où as-tu vu qu'il jouait sur les codes du polar (je ne m'en souviens pas assez pour comprendre ce que tu entends par là) ?Roy Neary a écrit :Je conseille la vision de A fleur de peau (dont personne n'a encore parlé), un thriller malin à la narration éclatée qui joue sur les codes du polar.
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Pour moi on part d'un sujet dont on connait déjà tout, et qui a tout pour être parfaitement chiant. Mais le film est brillamment écrit (dans un film qui s'annonce si bavards, les dialogues sont très bons), réalisé avec nervosité, et porté par l'excellence de son interprétation. Pour moi une côte parfaitement méritée.ratatouille a écrit :J'aimerais qu'on m'explique une bonne fois pour toutes les raisons pour lesquelles Erin Brockovitch est considéré comme un "grand film" par un certain consensus.
Je me suis énormément ennuyé à la vision de ce film, mais je me disais à chaque fois : "oh eh !! Réveille-toi !! Il paraît que c'est un excellent film alors réveille-toi et suis un peu !?".
Bah non même pas...du vide, du vide...
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Voila, tout est dit, mon Soderbergh préféréPancake a écrit :Pour moi on part d'un sujet dont on connait déjà tout, et qui a tout pour être parfaitement chiant. Mais le film est brillamment écrit (dans un film qui s'annonce si bavards, les dialogues sont très bons), réalisé avec nervosité, et porté par l'excellence de son interprétation. Pour moi une côte parfaitement méritée.ratatouille a écrit :J'aimerais qu'on m'explique une bonne fois pour toutes les raisons pour lesquelles Erin Brockovitch est considéré comme un "grand film" par un certain consensus.
Je me suis énormément ennuyé à la vision de ce film, mais je me disais à chaque fois : "oh eh !! Réveille-toi !! Il paraît que c'est un excellent film alors réveille-toi et suis un peu !?".
Bah non même pas...du vide, du vide...
Bill Harford a écrit :Ce serait pas un peu prétentieux d'affirmer comme ça qu'il est surestimé?ratatouille a écrit : "Steven Soderbergh est un des cinéastes américains en activité les plus surestimés...voire même LE plus surestimé."
Tu as bien vu tous ses films?
moi je les ai tous vu,et je suis entiérement d'accord avec Ratatouille.
un réalisateur plus que surestimé,qui beneficie d'une mansuétude incroyable de la part de la presse...ca laisse pantois!
PS:je précise quand meme que je trouve moi aussi A fleur de peau fort sympathique
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Re: Steven Soderbergh: vous aimez/n'aimez pas?
Rien vu de la "première carrière" de Steven...il y a des choses comme ça. Pour ce que j'ai vu:
Hors d'atteinte 4/6
L'Anglais 3/6
Erin Brockovich 5/6
Traffic 4/6
Ocean's Eleven 4/6
Full Frontal 1/6
Solaris 5/6
Hors d'atteinte 4/6
L'Anglais 3/6
Erin Brockovich 5/6
Traffic 4/6
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Ca laisse pas "pantois"...d'une il est pas portée aux nues à la folie, de deux il a un certain talent qui l'éloigne du tâcheron rance. Alors qu'il soit bien considéré...on peut ne pas être d'accord mais ça n'est pas une aberration, c'est pas Jan de Bont quoi.NUTELLA a écrit :moi je les ai tous vu,et je suis entiérement d'accord avec Ratatouille.un réalisateur plus que surestimé,qui beneficie d'une mansuétude incroyable de la part de la presse...ca laisse pantois!
voyeeez
Pancake a écrit :Ca laisse pas "pantois"...d'une il est pas portée aux nues à la folie, de deux il a un certain talent qui l'éloigne du tâcheron rance. Alors qu'il soit bien considéré...on peut ne pas être d'accord mais ça n'est pas une aberration, c'est pas Jan de Bont quoi.NUTELLA a écrit :moi je les ai tous vu,et je suis entiérement d'accord avec Ratatouille.un réalisateur plus que surestimé,qui beneficie d'une mansuétude incroyable de la part de la presse...ca laisse pantois!
voyeeez
si,il est porté aux nues,c'est le chouchou de la presse cinematographique,son coté disponible,sociale,matiné d'intello, surement
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En fait, le Sodertruc, je l'imagine bien dans quelques années, oublié, connu seulement par quelques générations de cinéphiles, les datant comme un prénom....Pas une critique, ça, ça pendouille au nez de Jarmuch, que j'aime bien par ailleurs. Bref, sans vouloir donner d'avis définitif sur la stature du monsieur, son rôle de porte étendard d'un certain type de qualité made-in-hollyvoud me parait un peu absurde, comme si des critiques avaient une case vide, qu'il fallait emplir d'un nom (comme il y a quelques temps les "Cahiers" brandissaient le Shyamalan à qui mieux mieux-j'ignore si c'est toujours le cas).
Bref, un réalisateur pour débat faussés, et pour posture facile, dans la discussion s'entend.
Quant aux films, moi, à part sa palme et son anglais, je passe, (surtout "grosse bouche et joli coeur au casino"), sans vraiment savoir si m'insuportent une série de signaux cinématographiques qui chatouillent mes allergies, comme ils provoquent chez d'autres l'extase du regard (oh, une star, rahhh, le beau filtre, etc...), et pourquoi pas, ou si tout simplement, ben, c'est pas bien du tout...
Puis, j'aime assez, un réalisateur dont certains films ébralent mes convictions, et me poussent à tenter de démêler ce qu'il y a de snobismes dans nos amours....
Bref, un réalisateur pour débat faussés, et pour posture facile, dans la discussion s'entend.
Quant aux films, moi, à part sa palme et son anglais, je passe, (surtout "grosse bouche et joli coeur au casino"), sans vraiment savoir si m'insuportent une série de signaux cinématographiques qui chatouillent mes allergies, comme ils provoquent chez d'autres l'extase du regard (oh, une star, rahhh, le beau filtre, etc...), et pourquoi pas, ou si tout simplement, ben, c'est pas bien du tout...
Puis, j'aime assez, un réalisateur dont certains films ébralent mes convictions, et me poussent à tenter de démêler ce qu'il y a de snobismes dans nos amours....
- Beule
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Bête noire absolue.
Au départ, je n'ai pas compris que son Sexe Mensonge et vidéo puisse obtenir la palme à Cannes: une pochade vaguement arty, reposant sur un gimmick stylistique, ça reste léger. Mais au moins la superficialité du film m'était sympathique.
Depuis c'est pire: ses partis pris esthétiques ou narratifs étirés et réitérés jusqu'à l'overdose, qui ne me semblent justifiés par aucun point de vue m'horripilent. Je ne peux donc m'empêcher d'y voir le type même du tâcheron moderne: La substance même de son cinéma m'échappe, et parfois j'ai l'impression qu'elle lui échappe aussi. Je me trompe certainement. Quoi qu'il en soit j'éprouve rarement une sensation de vacuité aussi prégnante que face aux divertissements de Soderbergh. Pour moi il est au cinéma ce que la musique d'ambiance ou de supermarché est à la l'art musical: un ersatz sans goût.
Alors Roy, carré le style de Soderbergh je veux bien (je n'ai pas vu L'Anglais), mais j'avoue que je ne comprends pas bien . Chichiteux, ça oui, sans problème...
Au départ, je n'ai pas compris que son Sexe Mensonge et vidéo puisse obtenir la palme à Cannes: une pochade vaguement arty, reposant sur un gimmick stylistique, ça reste léger. Mais au moins la superficialité du film m'était sympathique.
Depuis c'est pire: ses partis pris esthétiques ou narratifs étirés et réitérés jusqu'à l'overdose, qui ne me semblent justifiés par aucun point de vue m'horripilent. Je ne peux donc m'empêcher d'y voir le type même du tâcheron moderne: La substance même de son cinéma m'échappe, et parfois j'ai l'impression qu'elle lui échappe aussi. Je me trompe certainement. Quoi qu'il en soit j'éprouve rarement une sensation de vacuité aussi prégnante que face aux divertissements de Soderbergh. Pour moi il est au cinéma ce que la musique d'ambiance ou de supermarché est à la l'art musical: un ersatz sans goût.
Alors Roy, carré le style de Soderbergh je veux bien (je n'ai pas vu L'Anglais), mais j'avoue que je ne comprends pas bien . Chichiteux, ça oui, sans problème...
- Billy Budd
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Pourquoi Erin Brokovitch est un bon film ? Imaginez trente secondes un film mis en scène par un réalisateur lambda, avec Julia Roberts qui tombe amoureuse, qui fait un procès à une grande compagnie pour défendre des cancéreux ........ Vous avez tous les poncifs auxquels échappe, à 99 % du temps, le film de Soderbergh
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C'est fou, ça... On dirait que tu cherches à te différencier de la critique française pour te faire un avis sur un cinéaste. Le poseur, c'est toi.Ronan a écrit :En fait, le Sodertruc, je l'imagine bien dans quelques années, oublié, connu seulement par quelques générations de cinéphiles, les datant comme un prénom....Pas une critique, ça, ça pendouille au nez de Jarmuch, que j'aime bien par ailleurs. Bref, sans vouloir donner d'avis définitif sur la stature du monsieur, son rôle de porte étendard d'un certain type de qualité made-in-hollyvoud me parait un peu absurde, comme si des critiques avaient une case vide, qu'il fallait emplir d'un nom (comme il y a quelques temps les "Cahiers" brandissaient le Shyamalan à qui mieux mieux-j'ignore si c'est toujours le cas)