Identity (James Mangold - 2003)

[mezhia]

Donc je l'ai pas oublié depuis, en plus j'aime beaucoup ce petit "poême

Poëme qui, s'il s'avérait être une berceuse, serait plutôt très bien vu pour le twist final

[M_RiK]

Poëme qui, s'il s'avérait être une berceuse, serait plutôt très bien vu pour le twist final

Indeed... Merci Mezhia !

[Ben Castellano]

Ouh là là que c'est mauvais... Le Mangold qui avait encore une certaine sensibilité dans "Copland" et "Girl interrupted" confirme après "Kate and Leopold" qu'il est venu grossir les rangs des épais faiseurs hollywoodiens. "Identity" propose une intrigue "Dix petit Nègre" tellement minable et éventé qu'elle s'enrobe d'un concept psy qui aurait pu être passionnant mais qui ne s'avère souffler que le vent de la grosse roublardise. Pendant ce temps le réalisateur fait déferler ses trombes de flottes et gronder ses orages à une allure frénétique dans un style visuel particulièrement mou. Bref Mangold est pret pour "Destination Finale 3". Reste Cusack impérial, mais un film ou Liotta est expressément autorisé à beugler en roue libre tient du danger public.

[F-des-Bois]

Revu hier. Huuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuum. J'aime beaucoup. Quelle belle brochette d'acteurs tout de même. Mais ils sont tous bon j'ai aucune préférence. non, AUCUNE.

[MJ]

Ah non, Mister Freeze restera toujours fidèle à sa femme. (Même si l'inverse est déjà moins sûr. )

[nobody smith]

Je n’étais pas très confiant pour le revoir une seconde fois, Identity étant le genre de film qui marque surtout par l’effet de surprise provoqué (même si le fameux twist peut se prédire au moins partiellement lors de la première vision). J’avais déjà eu un triste exemple il y a quelques jours avec Stay qui devient difficilement regardable avec intérêt malgré les innombrables efforts de Forster et Benioff. De manière étonnante, j’ai trouvé que le long-métrage de James Mangold fonctionne encore plutôt bien à la revoyure. Son certain savoir-faire constitue en grande partie la clé de survie du film. Le brouillage des cartes qu’il orchestre marche et surtout captive parce qu’il s’avère somme tout très simple. Mangold construit celle-ci en jouant sur la grammaire cinématographique, piégeant nos habitudes en terme de montage et de découpage. Le film devient certes plus problématique dans son dernier acte en offrant la signification de l’histoire. C’est un peu le contrecoup d’un milieu haletant justement parce qu’il offre un champ des possibilités infini. Du coup, imposer une solution aussi pertinente soit-elle entraîne un sentiment de frustration d’autant plus que l’exécution n’est pas toujours heureuse. Si il y a un côté vertigineux dans la manipulation mise en oeuvre, celle-ci ne paraît pas si poussée que ça l’aspect psychanalytique désiré. Il y a des idées pertinentes (notamment le montage cut de la conclusion alimentant la perception qu’il faut se faire des évènements) mais le décryptage ne me semble pas forcément aller très loin, notamment sur la fonctionnalité de l’intégralité des personnages dans l’intrigue (même si c’est tout à l’honneur de Mangold et son scénariste de ne pas avoir conçu une explication exhaustive par A+B). Hormis ce point, le film passe donc haut la main l’épreuve du revisionnage (et c'est largement meilleur que ce que nous sortira Mangold par la suite).

[Ikebukuro]

Je viens de voir le film; excellent, twist sur twist à la fin, excellents acteurs... ce n'est pas Usual Suspects mais quand même, en matière de Whodunit on passe un très bon moment.

C'est moi ou dans ce film John Cusak est le sosie de Kevin Spacey?

[Jeremy Fox]

C'est moi ou dans ce film John Cusak est le sosie de Kevin Spacey?

C'est toi.

[Rick Blaine]

[odelay]

C'est moi ou dans ce film John Cusak est le sosie de Kevin Spacey?

C'est toi.

je confirme.

C'est toi.

[El Dadal]

Pauvre John Cusack, le Tahar Rahim de 2020.

[Ikebukuro]

C'est toi.

je confirme.

C'est toi.

Bon ben... je ne suis pas convaincu par ce que vous dites
Je reste sur ma première et FORTE première impression : ils se ressemblent BEAUCOUP

[Flol]

Pauvre John Cusack, le Tahar Rahim de 2020.

Impossible : avec sa casquette vissée sur la tête en permanence pour camoufler sa calvitie chelou, et sa vapoteuse, il ne ressemble à personne d'autre (même plus à sa sœur Joan).

[Alexandre Angel]

C'est moi où Michael Madsen est le sosie de Marine Le Pen ?

Spoiler (cliquez pour afficher)

[odelay]

C'est moi où Michael Madsen est le sosie de Marine Le Pen ?

Spoiler (cliquez pour afficher)

Alors là je suis plus d’accord.