Dog Days (Ulrich Seidl - 2002)
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Dog Days (Ulrich Seidl - 2002)
Il vient de sortir en DVD après être passé assez inaperçu en salles ( c'est aussi le problème des films qui ne passent qu'à Paris et que personne en Province ne pourra voir).
Quelqu'un l'a vu ?
Re: C'est quoi ce film : Dog Days
Je l'ai vu et je ne sais pas trop quoi en penser...Jordan White a écrit :Il vient de sortir en DVD après être passé assez inaperçu en salles ( c'est aussi le problème des films qui ne passent qu'à Paris et que personne en Province ne pourra voir).
Quelqu'un l'a vu ?
Mais ça vaut assurément le coup d'oeil!
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Re: C'est quoi ce film : Dog Days
Mais encore ?Bill Harford a écrit :Je l'ai vu et je ne sais pas trop quoi en penser...Jordan White a écrit :Il vient de sortir en DVD après être passé assez inaperçu en salles ( c'est aussi le problème des films qui ne passent qu'à Paris et que personne en Province ne pourra voir).
Quelqu'un l'a vu ?
Mais ça vaut assurément le coup d'oeil!
Re: C'est quoi ce film : Dog Days
Disons que c'est une galerie de personnages assez pathétiques, et le tout flirte avec la complaisance malsaine... Seidl filme ses acteurs dans des positions dégradantes... C'est assez spécial, mais il y a une vraie force.Jordan White a écrit : Mais encore ?
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Re: C'est quoi ce film : Dog Days
c'est vrai ...elle est bien trop courte la serviette de bainBill Harford a écrit :Disons que c'est une galerie de personnages assez pathétiques, et le tout flirte avec la complaisance malsaine... Seidl filme ses acteurs dans des positions dégradantes... C'est assez spécial, mais il y a une vraie force.Jordan White a écrit : Mais encore ?
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DOG DAYS (Seidl) 2002
L’enfer, c’est les autres à ce qu’il parait. Et cet adage traduit bien le film de Seidl montrant ses contemporains incapables de se supporter. Tous les personnages de ce film prennent leurs distances avec leurs voisins, chacuns se sentant en sécurité qu’à l’intérieur de leur véhicule ou leur foyer, pour ce protéger des intrusions extérieurs, comme cette auto-stopeuse un peu folle et gaver de publicité, qui pousse ceux qui la prenne à bout de nerf, notamment en leur rappelant des vérités blessantes, ou de ces voisins passant leur temps à se disputer.
Le seul défaut finalement de ce film est la rancœur souvent trop visible du réalisateur. Mais si il est souvent destabilisant (et parfois complaisant), ce film dégage comme le dit Bob Harris une vrai force. A voir
L’enfer, c’est les autres à ce qu’il parait. Et cet adage traduit bien le film de Seidl montrant ses contemporains incapables de se supporter. Tous les personnages de ce film prennent leurs distances avec leurs voisins, chacuns se sentant en sécurité qu’à l’intérieur de leur véhicule ou leur foyer, pour ce protéger des intrusions extérieurs, comme cette auto-stopeuse un peu folle et gaver de publicité, qui pousse ceux qui la prenne à bout de nerf, notamment en leur rappelant des vérités blessantes, ou de ces voisins passant leur temps à se disputer.
Le seul défaut finalement de ce film est la rancœur souvent trop visible du réalisateur. Mais si il est souvent destabilisant (et parfois complaisant), ce film dégage comme le dit Bob Harris une vrai force. A voir