Si justement, c'est celle dont je me rappelle le plus ; ils l'avaient descendu en flamme avec des 0 à l'appui dans leurs colonnes de notes.odelay a écrit : Pour La vie et rien d'autre , je me rappelle que l'affiche disant "UN MONUMENT!" les avait fait fuir, donc du coup il n'y avait pas eu de critique .
Bertrand Tavernier (1941-2021)
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Re: Bertrand Tavernier
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Re: Bertrand Tavernier
Daddy nostalgie (1990)
Dans une filmographie sans faute (à cet instant de découverte de sa filmo), on a "enfin" droit à son moins bon opus.
Je ne dirais pas que c'est mauvais car il y a Dirk Bogarde, qui plus est dans son dernier film. C'est un documentaire sur le crépuscule d'un acteur, que je ne connais pas très bien (excepté dans Pour l'exemple, où il était très bien), où il se montre à la fois magnifique et digne en père atteint d'une maladie incurable. Et j'ai été assez touché de voir, dans un cameo, Louis Ducreux (qui mourra peu de temps après), où celui-ci adresse un sourire enjoué à Jane Birkin dans un simple croisement de métro.
Mais pour le reste, la lenteur de l'histoire a été assez redoutable, sans compter qu'au fond, il ne se passe pas grand chose (à part une scène entre Bogarde et Birkin à la terrasse d'un café que je trouve très réussie), et ça m'a vraiment refroidi. Dommage, car il y aurait vraiment eu à faire un très beau film sur la nostalgie, sur les regrets.
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Re: Bertrand Tavernier
Jeremy Fox a écrit :Si justement, c'est celle dont je me rappelle le plus ; ils l'avaient descendu en flamme avec des 0 à l'appui dans leurs colonnes de notes.odelay a écrit : Pour La vie et rien d'autre , je me rappelle que l'affiche disant "UN MONUMENT!" les avait fait fuir, donc du coup il n'y avait pas eu de critique .
ok, je ne m'en souvenais plus. Ils avaient dû le taxer d'académisme (bien appuyé en plus par l'affiche).
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Re: Bertrand Tavernier
L-627 (1992)
La représentation de ces flics de la brigade a quelque chose de superbe et poignante à la fois (on les suit constamment, aussi bien dans leurs filatures que dans leurs vies personnelles comme le personne de Lulu), avec une mise en scène au cordeau qui évite constamment les clichés sur le cinéma policier. On a d'ailleurs plusieurs fois l'impression de voir un documentaire. Et les acteur, quasiment tous inconnus à l'époque, sont formidables de justesse (surtout Charlotte Kady, qui n'a peut-être pas eu la carrière que sa performance laissait présager), avec de vrais coup de sang très crédibles (on les voit vraiment se faire mal et galérer comme on le voit jamais au cinéma quand ils veulent passer les menottes à des types plaqués au sol).
Je regrette juste un début un peu trop mou, pour ensuite devenir de plus en plus passionnant.
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Re: Bertrand Tavernier
Le juge et l'assassin (Bertrand Tavernier, 1976) :
http://alligatographe.blogspot.com/2010 ... assin.html
_______________
Revoyure intrigante pour moi car elle fait émerger des sentiments ou des sensations différents du précédent visionnage qui date de plus de 5 ans. D'un point de vue général, je dirais que l'enthousiasme est moins intense. J'adorais ce film, le "classais" (quel vilain mot pour un film!) parmi mes favoris de Tavernier. Je persiste à voir dans cette confrontation de deux malades mentaux un duo magnifique d'acteurs, Noiret et Galabru, ce dernier dont la filmographie ménage forcément une pétaradante surprise qui explique sans nul doute son césar du meilleur acteur. Je crois cependant que ces précédents visionnages restaient marqués par cette étonnante prestation, si haut en couleur, si inaccoûtumée qu'elle parait dépasser aisément l'entendement et prend des accents d'exploit. Si je la trouve aujourd'hui très maitrisée, voire riche par moments, difficile et pourtant réussie j'ai du mal à y voir un prodige, un miracle d'acteur. Peut-être que d'autres performances dramatiques, je pense à celle d'Uranus par exemple, sont venues débarrasser notre vision du comédien Galabru de ses oripeaux de saltimbanque courant le cachet comme migraineux après aspirine, de besogneux capable du pire, oubliant le meilleur. Maintenant que l'on sait ce dont il est capable, l'incarnation de cet illuminé ne parait plus aussi folle, mais juste aussi bonne qu'elle devait l'être.
Désormais moins aveuglé par cette participation sans doute ai-je été plus à même d'apprécier le travail visuel apporté par l'immense chef-opérateur Pierre-William Glenn que ce soit lors des extérieurs qui magnifient les reliefs ardéchois notamment, ou bien encore dans les intérieurs clairs-obscurs. Le superbe parti-pris très chromatique donne au film une teinte particulière, savoureuse que le cinémascope rend encore plus prégnante. Ces dispositions esthétiques m'avaient échappé ou du moins n'avaient pas été lues telles qu'elles le méritent, me semble-t-il.
De même la performance d'Isabelle Huppert est en tout point bluffante. Si jeune, et déjà si parfaite, d'une justesse incroyable. Jean-Claude Brialy par contre me semble accentuer un peu trop sur ses intonations. Ce qui colle idéalement au personnage de Galabru sonne parfois faux dans la bouche de celui, si calme, de Brialy. Mais là, j'avoue que je tatillonne avec effronterie.
Venons-en plutôt à l'axe central du film : la lamentable hypocrisie qui sépare le fou, le tueur en série, qui se cache derrière l'anarchie, la lutte des classes, la souffrance physique ou le mysticisme afin d'excuser et de légitimer son incapacité à réfreiner ses instincts mortifères et puis, le juge, le notable, le bourgeois qui malmène la justice et le droit, sans l'ombre d'une hésitation ni le moindre scrupule, qui manipule son coupable désigné, qui va jusqu'à violer celle qu'il entretient, un lache qui fuit ses peurs, de la maladie, de la mort, de l'autre en général, infoutu de se déssaisir du jupon maternel. Aussi enrage-t-il et fait payer au vagabond le fait que lui ne se retient pas. Galabru est le monstre que Noiret cache difficilement au tréfond de lui-même.
Le scénario d'Aurenche, Bost et Tavernier montre bien la confusion qui règne dès lors qu'on s'attache à définir la folie, à expliquer le crime. Qui est le plus fou, le plus criminel? Surtout, il pose la question suivante : comment fait-on pour juger de la part de folie dans un crime?
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Revoyure intrigante pour moi car elle fait émerger des sentiments ou des sensations différents du précédent visionnage qui date de plus de 5 ans. D'un point de vue général, je dirais que l'enthousiasme est moins intense. J'adorais ce film, le "classais" (quel vilain mot pour un film!) parmi mes favoris de Tavernier. Je persiste à voir dans cette confrontation de deux malades mentaux un duo magnifique d'acteurs, Noiret et Galabru, ce dernier dont la filmographie ménage forcément une pétaradante surprise qui explique sans nul doute son césar du meilleur acteur. Je crois cependant que ces précédents visionnages restaient marqués par cette étonnante prestation, si haut en couleur, si inaccoûtumée qu'elle parait dépasser aisément l'entendement et prend des accents d'exploit. Si je la trouve aujourd'hui très maitrisée, voire riche par moments, difficile et pourtant réussie j'ai du mal à y voir un prodige, un miracle d'acteur. Peut-être que d'autres performances dramatiques, je pense à celle d'Uranus par exemple, sont venues débarrasser notre vision du comédien Galabru de ses oripeaux de saltimbanque courant le cachet comme migraineux après aspirine, de besogneux capable du pire, oubliant le meilleur. Maintenant que l'on sait ce dont il est capable, l'incarnation de cet illuminé ne parait plus aussi folle, mais juste aussi bonne qu'elle devait l'être.
Désormais moins aveuglé par cette participation sans doute ai-je été plus à même d'apprécier le travail visuel apporté par l'immense chef-opérateur Pierre-William Glenn que ce soit lors des extérieurs qui magnifient les reliefs ardéchois notamment, ou bien encore dans les intérieurs clairs-obscurs. Le superbe parti-pris très chromatique donne au film une teinte particulière, savoureuse que le cinémascope rend encore plus prégnante. Ces dispositions esthétiques m'avaient échappé ou du moins n'avaient pas été lues telles qu'elles le méritent, me semble-t-il.
De même la performance d'Isabelle Huppert est en tout point bluffante. Si jeune, et déjà si parfaite, d'une justesse incroyable. Jean-Claude Brialy par contre me semble accentuer un peu trop sur ses intonations. Ce qui colle idéalement au personnage de Galabru sonne parfois faux dans la bouche de celui, si calme, de Brialy. Mais là, j'avoue que je tatillonne avec effronterie.
Venons-en plutôt à l'axe central du film : la lamentable hypocrisie qui sépare le fou, le tueur en série, qui se cache derrière l'anarchie, la lutte des classes, la souffrance physique ou le mysticisme afin d'excuser et de légitimer son incapacité à réfreiner ses instincts mortifères et puis, le juge, le notable, le bourgeois qui malmène la justice et le droit, sans l'ombre d'une hésitation ni le moindre scrupule, qui manipule son coupable désigné, qui va jusqu'à violer celle qu'il entretient, un lache qui fuit ses peurs, de la maladie, de la mort, de l'autre en général, infoutu de se déssaisir du jupon maternel. Aussi enrage-t-il et fait payer au vagabond le fait que lui ne se retient pas. Galabru est le monstre que Noiret cache difficilement au tréfond de lui-même.
Le scénario d'Aurenche, Bost et Tavernier montre bien la confusion qui règne dès lors qu'on s'attache à définir la folie, à expliquer le crime. Qui est le plus fou, le plus criminel? Surtout, il pose la question suivante : comment fait-on pour juger de la part de folie dans un crime?
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Re: Bertrand Tavernier
Capitaine Conan (1996)
Quasiment centré sur deux acteurs portés disparus aujourd'hui (Philippe Torreton et Samuel Le Bihan) mais qui nous prouvaient leur réel potentiel dans ce film, c'est une belle réussite sur un "guerrier", un homme qui ne vivait que pour le combat, à en juger sa folie lors des champs de bataille.
Contrairement à La vie et rien d'autre, on voit cette fois la guerre de manière frontale, mais de façon plus discrète qu'autre chose (vu que c'était la fin de la 1ere guerre mondiale, ceci expliquant peut-être cela). Et il y a quelque chose de très ironique dans le sens où ils continuent la guerre contre les Bolcheviks alors que l'armistice a déjà été signée.
Mais, comme je le disais, le film est plutôt concentré sur deux personnages assez antagonistes, mais néanmoins amis, et c'est ce qui fait à mon sens la réussite du film, avec entre autre la galerie d'acteurs parfaitement justes (Bernard Le Coq, François Berléand et Claude Rich).
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Re: Bertrand Tavernier
Un film étonnant : Torreton y livre une performance exceptionnelle...et surtout...Le Bihan y est bon !
Comme quoi, Tavernier est décidément un immense directeur d'acteurs.
Sinon, j'avais adoré ce film que j'avais vu et étudié lors de ma 1ère L en 1997. J'en avais même fait une dissertation axée sur l'aspect romantique du film et son héros, et je m'en étais tiré avec une excellente note.
Comme quoi, Tavernier est décidément un immense directeur d'acteurs.
Sinon, j'avais adoré ce film que j'avais vu et étudié lors de ma 1ère L en 1997. J'en avais même fait une dissertation axée sur l'aspect romantique du film et son héros, et je m'en étais tiré avec une excellente note.
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Re: Bertrand Tavernier
J'adore ce film qui n'hésite pas à montrer des guerriers Français. J'en retiens les dialogues savoureux pleins de gouaille et outre les deux très bonnes performances des acteurs principaux, Torreton et Le Bihan, j’ai été enthousiasmé par Bernard Le Coq et Claude Rich, respectivement tout en droiture pour l’un et flagornerie pour l’autre.
Quant à cette histoire de militaires qui ne rentrent pas chez eux lorsque la guerre est terminée, mais continuent à lutter contre « les rouges » cette fois, elle fait écho chez moi à un autre film dans lequel un corps francs constitué de forces disparates de toutes nationalités fait face à l’avancée des communistes. Je veux parler de « Le coup de grâce » de Volker Schlondörff.
Dans son livre Amis Américains, Tavernier parle de Sclondörff avec qui il usait ses pantalons sur les sièges de la cinémathèque. Il en est peut être resté une trace comune commune pour l’absurde avec ce goût pour raconter l’histoire de types qui à la fin de la guerre, continuent à faire la guerre.
Dernier Grand film de guerre Français ! ! !
Quant à cette histoire de militaires qui ne rentrent pas chez eux lorsque la guerre est terminée, mais continuent à lutter contre « les rouges » cette fois, elle fait écho chez moi à un autre film dans lequel un corps francs constitué de forces disparates de toutes nationalités fait face à l’avancée des communistes. Je veux parler de « Le coup de grâce » de Volker Schlondörff.
Dans son livre Amis Américains, Tavernier parle de Sclondörff avec qui il usait ses pantalons sur les sièges de la cinémathèque. Il en est peut être resté une trace comune commune pour l’absurde avec ce goût pour raconter l’histoire de types qui à la fin de la guerre, continuent à faire la guerre.
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- Boubakar
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Re: Bertrand Tavernier
Ça commence aujourd'hui (1998)
Dire que le film m'a ému est un euphémisme tant il se révèle à la fois cruellement juste et très émouvant à la fois (deux-trois scènes ont de quoi faire arracher une petite larme, dont celle où l'on apprend qu'un petit garçon est battu, mais ce dernier semble vouloir se taire). Loin du misérabilisme et du côté démago qu'un tel sujet pourrait donner, Tavernier observe ces gens se battre pour, littéralement, leur survie. Et on voit tout ça à travers les yeux de Philippe Torreton, formidable, qui essaie de se "démultiplier" pour subvenir aux besoins de ces enfants en étant à la fois assistant social et professeur.
Même si celui-ci semble vouloir soulever des montagnes par son envie de se battre, il est à la fois ramené à la réalité par la mairie (qui va jusqu'à couper les vivres d'enfants, au nom de l'argent), et par les préoccupations des parents (comme cette femme qui se bat pour payer ses factures d'électricité, qui se met à craquer devant les charges, ce qui donne lieu à une scène déchirante), pour le bien-être de ses petits écoliers.
A part un petit creux au dernier tiers,
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- Machino
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Re: Bertrand Tavernier
+1Boubakar a écrit :
Ça commence aujourd'hui (1998)
Mon préféré avec Un dimanche à la campagne.
- Boubakar
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Re: Bertrand Tavernier
En attendant de voir Laissez-passer, voilà mon classement des films de Tavernier :
1 - Un dimanche à la campagne
2 - Ça commence aujourd'hui
3 - Holy Lola
4 - L'appât
5 - L-627
6 - Coup de torchon
7 - L'horloger de St Paul
8 - Des enfants gâtés
9 - Une semaine de vacances
10 - Le juge et l'assassin
11 - Dans la brume électrique
12 - La vie et rien d'autre
13 - Que la fête commence
14 - Autour de minuit
15 - La mort en direct
16 - Daddy Nostalgie
1 - Un dimanche à la campagne
2 - Ça commence aujourd'hui
3 - Holy Lola
4 - L'appât
5 - L-627
6 - Coup de torchon
7 - L'horloger de St Paul
8 - Des enfants gâtés
9 - Une semaine de vacances
10 - Le juge et l'assassin
11 - Dans la brume électrique
12 - La vie et rien d'autre
13 - Que la fête commence
14 - Autour de minuit
15 - La mort en direct
16 - Daddy Nostalgie
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Re: Bertrand Tavernier
Allez tiens, moi aussi (sans ordre à l'intérieur des catégories)
Je suradore
Un Dimanche à la campagne
J'adore
Ca commence aujourd'hui
Que la fête commence
Coup de torchon
J'aime beaucoup
La vie et rien d'autre
L627
Capitaine Conan
Laissez-passer
L'horloger de Saint Paul
Le Juge et l'assassin
Des enfants gâtés
Une semaine de vacances
Holy Lola
De l'autre côté du périph
J'aime bien
L'appât
La fille de D'Artagnan
Daddy Nostalgie
Autour de minuit
Mississippi Blues
Je n'aime pas
Dans la brume électrique
La Passion Béatrice
La mort en direct
Je suradore
Un Dimanche à la campagne
J'adore
Ca commence aujourd'hui
Que la fête commence
Coup de torchon
J'aime beaucoup
La vie et rien d'autre
L627
Capitaine Conan
Laissez-passer
L'horloger de Saint Paul
Le Juge et l'assassin
Des enfants gâtés
Une semaine de vacances
Holy Lola
De l'autre côté du périph
J'aime bien
L'appât
La fille de D'Artagnan
Daddy Nostalgie
Autour de minuit
Mississippi Blues
Je n'aime pas
Dans la brume électrique
La Passion Béatrice
La mort en direct
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Re: Bertrand Tavernier
Je place l'info ici car je pense qu'elle aura ainsi la plus grande couverture :
La fabrique de l'Histoire sur France-culture débute une série de 4 émissions traitant du rapport du cinéma à l'histoire.
Le site de l'émission : http://www.franceculture.com/emission-l ... toire.html
Le programme :
1) Entretien avec Bertrand Tavernier
2) Entretien avec Patrice Chéreau
3) Entretien avec Margarethe von Trotta
4) Marc Ferro : le cinéma comme source et agent de l'histoire.
Le premier entretien est déjà en ligne (où l'on reparle d'Alexandre Dumas )
La fabrique de l'Histoire sur France-culture débute une série de 4 émissions traitant du rapport du cinéma à l'histoire.
Le site de l'émission : http://www.franceculture.com/emission-l ... toire.html
Le programme :
1) Entretien avec Bertrand Tavernier
2) Entretien avec Patrice Chéreau
3) Entretien avec Margarethe von Trotta
4) Marc Ferro : le cinéma comme source et agent de l'histoire.
Le premier entretien est déjà en ligne (où l'on reparle d'Alexandre Dumas )
Souhaits : Alphabétiques - Par éditeurs
- « Il y aura toujours de la souffrance humaine… mais pour moi, il est impossible de continuer avec cette richesse et cette pauvreté ». - Louis ‘Studs’ Terkel (1912-2008) -
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Re: Bertrand Tavernier
L627 ce soir à 20h35 sur France 4.
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Re: Bertrand Tavernier
Et demain soir, à 20h40 sur Cinecinema Star : Round Midnight (qui sera une découverte pour moi).