Madeleine Stowe
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- ewo
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Madeleine Stowe
En quête de sensations, plus jeune, j'ai découvert un film qui m'a bouleversé. Violent dans sa poésie, poétique dans sa violence. Magnifié par un final inoubliable et taiseux en bordure de falaise, qui encore aujourd'hui fait frissonner tout mon corps chaque fois que je le revois.
Cora Munro*, effluve de charme d'un fragile destin au coeur de cette oeuvre forte aux enjeux sanguinolents et enflammés (dans tous les sens du terme), accompagne depuis quelques unes de mes pensées les plus vagabondes. Perdues, puis retrouvées, au fil des ans.
C'est l'histoire d'une aventure émotionnelle. Intense, bien que reposant essentiellement sur deux oeuvres, plus une troisième dont le souvenir est moins révélateur. Peut-être à tort.
La deuxième, c'est celle dans laquelle Kathryn Railly** rencontre James Cole. Il y est question d'une armée, là encore. D'un projectile d'une autre époque qui fera la lumière sur un doute ténébreux, et donc d'une relation anachronique à la tragédie inéluctable.
Enfin, plus tard et dans le désordre, j'ai vu Sherri Shepard*** au croisement de vies chamboulées par les perturbations d'une existence déchaînée, parfois - mouvementée, toujours - imprévisible, souvent - calme, trop rarement à mon goût.
Et de trois.
Seulement trois.
Elle incarne tantôt la douceur de caractère, sans grossir le trait outrageusement, tantôt la force tranquille avec justesse. Elle est l'incarnation de la délicatesse tout en se dévoilant quelques fois endurcie. Elle est source de joie lorsqu'elle sourit. Naturelle par ses gestes, gracieuse par son regard. Sa présence est chaleureuse, attendrissante. Une dame qui fait rêver, mais aussi oublier. Que la vie est une perpétuelle guerre pour la paix et la vérité, et que le cinéma est aussi là pour nous faire déserter, temporairement, par le biais de ses artifices.
Ses offrandes devant l'objectif sont tel du combustible spirituel pour nos âmes en feu.
En trois "petites" Madeleines (mes amitiés, cher Luc Lagier), la grande Madame Stowe méritait bien en ces lieux un topic lui étant dédié.
Qui sera à n'en point douter, agrémenté de connaissances et de réflexions toutes personnelles sur ses autres rôles encore (trop) méconnus de ma personne.
--------------------------------------------------
*THE LAST OF THE MOHICANS
**12 MONKEYS
***SHORT CUTS
Cora Munro*, effluve de charme d'un fragile destin au coeur de cette oeuvre forte aux enjeux sanguinolents et enflammés (dans tous les sens du terme), accompagne depuis quelques unes de mes pensées les plus vagabondes. Perdues, puis retrouvées, au fil des ans.
C'est l'histoire d'une aventure émotionnelle. Intense, bien que reposant essentiellement sur deux oeuvres, plus une troisième dont le souvenir est moins révélateur. Peut-être à tort.
La deuxième, c'est celle dans laquelle Kathryn Railly** rencontre James Cole. Il y est question d'une armée, là encore. D'un projectile d'une autre époque qui fera la lumière sur un doute ténébreux, et donc d'une relation anachronique à la tragédie inéluctable.
Enfin, plus tard et dans le désordre, j'ai vu Sherri Shepard*** au croisement de vies chamboulées par les perturbations d'une existence déchaînée, parfois - mouvementée, toujours - imprévisible, souvent - calme, trop rarement à mon goût.
Et de trois.
Seulement trois.
Elle incarne tantôt la douceur de caractère, sans grossir le trait outrageusement, tantôt la force tranquille avec justesse. Elle est l'incarnation de la délicatesse tout en se dévoilant quelques fois endurcie. Elle est source de joie lorsqu'elle sourit. Naturelle par ses gestes, gracieuse par son regard. Sa présence est chaleureuse, attendrissante. Une dame qui fait rêver, mais aussi oublier. Que la vie est une perpétuelle guerre pour la paix et la vérité, et que le cinéma est aussi là pour nous faire déserter, temporairement, par le biais de ses artifices.
Ses offrandes devant l'objectif sont tel du combustible spirituel pour nos âmes en feu.
En trois "petites" Madeleines (mes amitiés, cher Luc Lagier), la grande Madame Stowe méritait bien en ces lieux un topic lui étant dédié.
Qui sera à n'en point douter, agrémenté de connaissances et de réflexions toutes personnelles sur ses autres rôles encore (trop) méconnus de ma personne.
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Re: Madeleine Stowe
Ah Madeleine Stowe
J'ai découvert cette magnifique brunette dans le très sympathique Etroite surveillance / Stakeout de John Badham, où elle faisait tourner la tête à un Richard Dreyfuss en flic qui la surveille et qui en tombe amoureux.
Puis au cinéma dans l'excellent Revenge de Tony Scott où Kevin Costner tombe amoureux d'elle qui est l'épouse de son ami mafieux interprété par le grand Anthony Quinn.
Puis encore au cinéma dans l'efficace Obsession fatale / Unlawful entry de Jonathan Kaplan, en épouse de Kurt Russell et harcelée par le flic psychopathe interprété par le regretté Ray Liotta (où Madeleine y dévoile ses charmes troublants).
Evidemment, comme tu le dis ewo, dans Le dernier des Mohicans de Michael Mann, où elle est sublime, de même que dans L'armée des 12 singes / Twelve monkeys de Terry Gilliam et en second rôle intéressant dans le génial Short cuts de Robert Altman.
J'ai également trouvé Madeleine Stowe très convaincante dans le beau Blink de Michael Apted, où elle retrouve le Aidan Quinn de Stakeout, mais cette fois-ci en "gentil" flic, et dans le troublant Lune rouge du directeur photographie John Bailey, néo-noir dans lequel elle est resplendissante en femme fatale face à Ed Harris.
Madeleine Stowe est également très bien dans la suite de Chinatown, The two Jakes de Jack Nicholson.
Son plus grand rôle demeure sans doute dans l'impressionnant huit-clos Closet land de Radha Bharadwaj, face à Alan Rickman. Je n'ai pas vu ce film depuis très longtemps, et il demeure malheureusement quasi-invisible en France, mais j'en ai un souvenir tenace. Il serait temps qu'un éditeur français se penche sur cette pépite oubliée pour l'éditer en blu-ray. Madeleine Stowe y est magnifique en prisonnière harcelée par son interrogateur joué par Rickman qui cherche à lui faire avouer sa culpabilité.
J'ai découvert cette magnifique brunette dans le très sympathique Etroite surveillance / Stakeout de John Badham, où elle faisait tourner la tête à un Richard Dreyfuss en flic qui la surveille et qui en tombe amoureux.
Puis au cinéma dans l'excellent Revenge de Tony Scott où Kevin Costner tombe amoureux d'elle qui est l'épouse de son ami mafieux interprété par le grand Anthony Quinn.
Puis encore au cinéma dans l'efficace Obsession fatale / Unlawful entry de Jonathan Kaplan, en épouse de Kurt Russell et harcelée par le flic psychopathe interprété par le regretté Ray Liotta (où Madeleine y dévoile ses charmes troublants).
Evidemment, comme tu le dis ewo, dans Le dernier des Mohicans de Michael Mann, où elle est sublime, de même que dans L'armée des 12 singes / Twelve monkeys de Terry Gilliam et en second rôle intéressant dans le génial Short cuts de Robert Altman.
J'ai également trouvé Madeleine Stowe très convaincante dans le beau Blink de Michael Apted, où elle retrouve le Aidan Quinn de Stakeout, mais cette fois-ci en "gentil" flic, et dans le troublant Lune rouge du directeur photographie John Bailey, néo-noir dans lequel elle est resplendissante en femme fatale face à Ed Harris.
Madeleine Stowe est également très bien dans la suite de Chinatown, The two Jakes de Jack Nicholson.
Son plus grand rôle demeure sans doute dans l'impressionnant huit-clos Closet land de Radha Bharadwaj, face à Alan Rickman. Je n'ai pas vu ce film depuis très longtemps, et il demeure malheureusement quasi-invisible en France, mais j'en ai un souvenir tenace. Il serait temps qu'un éditeur français se penche sur cette pépite oubliée pour l'éditer en blu-ray. Madeleine Stowe y est magnifique en prisonnière harcelée par son interrogateur joué par Rickman qui cherche à lui faire avouer sa culpabilité.
Dernière modification par locktal le 25 juin 22, 20:54, modifié 4 fois.
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Re: Madeleine Stowe
Meilleur strabisme de l'histoire du cinéma.
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Re: Madeleine Stowe
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Madeleine Stowe
J'ai vérifié la définition du mot strabisme dans un dictionnaire (la langue française évolue tellement vite), c'est un peu vache quand même de le coller à Madeleine Stowe...
Dans Le Dernier des Mohicans, ce n'est pas son regard qui me hante mais un autre, qui se pose avec indifférence sur une main tachée de sang avant le grand plongeon.
Cette comédienne se nomme Jodhi May, et Michael Mann est vraiment un directeur d'acteurs/trices puissant parce je ne l'ai jamais revue dans quoi que ce soit de mémorable ensuite.
La bonne nouvelle, c'est que Le Dernier des Mohicans repasse à la télé ce dimanche soir
La moins bonne nouvelle, c'est qu'il passe sur RTL9, donc je ne peux pas garantir dans quel format il sera diffusé entre deux pages de publicité
Allez, on se remet un petit peu de strabisme :
(vous êtes vaches, vous avez le topic Léa Seydoux pour ça...)
En dehors des trois films cités par ewo en introduction (et encore, souvenir trop lointain de Short Cuts éclipsé par la découverte depuis d'autres Altman qui me marquent davantage), la carrière de Madeleine Stowe ne m'inspire pas grand chose, désolé. Entre Revenge, Blink, Lune Rouge ou Nous étions soldats, son retrait prématuré des écrans pour se consacrer à sa famille n'aura pas laissé un vide inconsolable, il me semble... Sans doute faute de grands rôles, on dira (ce qui n'enlève rien à ses qualités d'actrice, attention, hein, me faisez pas dire ce que j'ai pas dit...).
Mais je ne serai pas définitif (retenter Étroite Surveillance à l'occasion, on ne sait jamais), et ce topic m'aura au moins donné sérieusement envie de revenir vers Short Cuts.
Dans Le Dernier des Mohicans, ce n'est pas son regard qui me hante mais un autre, qui se pose avec indifférence sur une main tachée de sang avant le grand plongeon.
Cette comédienne se nomme Jodhi May, et Michael Mann est vraiment un directeur d'acteurs/trices puissant parce je ne l'ai jamais revue dans quoi que ce soit de mémorable ensuite.
La bonne nouvelle, c'est que Le Dernier des Mohicans repasse à la télé ce dimanche soir
La moins bonne nouvelle, c'est qu'il passe sur RTL9, donc je ne peux pas garantir dans quel format il sera diffusé entre deux pages de publicité
Allez, on se remet un petit peu de strabisme :
(vous êtes vaches, vous avez le topic Léa Seydoux pour ça...)
En dehors des trois films cités par ewo en introduction (et encore, souvenir trop lointain de Short Cuts éclipsé par la découverte depuis d'autres Altman qui me marquent davantage), la carrière de Madeleine Stowe ne m'inspire pas grand chose, désolé. Entre Revenge, Blink, Lune Rouge ou Nous étions soldats, son retrait prématuré des écrans pour se consacrer à sa famille n'aura pas laissé un vide inconsolable, il me semble... Sans doute faute de grands rôles, on dira (ce qui n'enlève rien à ses qualités d'actrice, attention, hein, me faisez pas dire ce que j'ai pas dit...).
Mais je ne serai pas définitif (retenter Étroite Surveillance à l'occasion, on ne sait jamais), et ce topic m'aura au moins donné sérieusement envie de revenir vers Short Cuts.
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Re: Madeleine Stowe
Idem... fan d'elle jusqu'à Le Déshonneur d'Elizabeth Campbell (1999).
Après, elle s'est fait charcuter le visage (Nous étions soldats ; horrible !)
et... décristallisation ! (comme ce plan de Les Apprentis de Salvadori... ou une vitrine
s'effondre derrière Guillaume Depardieu).
Bref : étoile filante des années 90 (puis "krabaouum !").
Dernière modification par Commissaire Juve le 26 juin 22, 13:36, modifié 1 fois.
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Re: Madeleine Stowe
Pour un grand rôle de Madeleine Stowe, je te conseille tout de même de tenter Closet land, qui date de 1991. Souvenir lointain mais tenace, avec une interprétation remarquable de Madeleine Stowe et d'Alan Rickman et un décor très impressionnant. Tavernier et Coursodon disent d'ailleurs le plus grand bien de ce film dans 50 ans de cinéma américain.tchi-tcha a écrit : ↑26 juin 22, 05:08 Sans doute faute de grands rôles, on dira (ce qui n'enlève rien à ses qualités d'actrice, attention, hein, me faisez pas dire ce que j'ai pas dit...).
Mais je ne serai pas définitif (retenter Étroite Surveillance à l'occasion, on ne sait jamais), et ce topic m'aura au moins donné sérieusement envie de revenir vers Short Cuts.
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Re: Madeleine Stowe
effectivement malgré le talent et la beauté de Madeleine Stowe c'est la scène/image qui reste en tête..
J'ai un très bon souvenir de "Warriors", "Flashbacks of a fool" c'est pas mal aussi, et je suis curieux de la voir dans l'adaptation tv du "Tour d'écrou", de "Sister my sister", "Chez les heureux du monde" et "La ronde de nuit" qui ont plutôt bonne réputation.
https://www.imdb.com/name/nm0562003/?ref_=nv_sr_srsg_0
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Re: Madeleine Stowe
Et c'est aussi un prix d'interprétation à Cannes pour ses débuts, dans A world apart de Chris Menges, film dont je garde un très bon souvenir. On la reverra d'ailleurs chez Menges dans l'attachant Second best avec William et John Hurt. Mais il vrai que, pour moi aussi, elle reste l'actrice de cette séquence fabuleuse chez Mann.
Quant à Stowe, gros béguin pour elle à la découverte conjointe de Stakeout et la très honnête mini-série Blood & Orchids de Jerry Thorpe. Et un quasi sans faute jusqu'au Terry Gilliam (pas vu Closet land, mais je me rappelle également de la notule de Tavernier et Coursodon). Parmi ce qui n'a pas été encore cité, je déconseille la médiocre romcom Worth winning, j'admets un petit faible pour le boiteux Bad Girls, la faute à Jerry, et l'on flirte avec le souvenir zéro du côté de The Proposition (faudrait que je consulte mes cahiers pour celui-ci).
Quant à Stowe, gros béguin pour elle à la découverte conjointe de Stakeout et la très honnête mini-série Blood & Orchids de Jerry Thorpe. Et un quasi sans faute jusqu'au Terry Gilliam (pas vu Closet land, mais je me rappelle également de la notule de Tavernier et Coursodon). Parmi ce qui n'a pas été encore cité, je déconseille la médiocre romcom Worth winning, j'admets un petit faible pour le boiteux Bad Girls, la faute à Jerry, et l'on flirte avec le souvenir zéro du côté de The Proposition (faudrait que je consulte mes cahiers pour celui-ci).
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Re: Madeleine Stowe
Closet Land, je note - pas de gif sous la main.
Cette femme est craquante quand elle joue la colère. Et quels beaux grands yeux noirs ! Ils le disputent à ceux de Mary Elizabeth Mastrantonio je trouve.
Cette femme est craquante quand elle joue la colère. Et quels beaux grands yeux noirs ! Ils le disputent à ceux de Mary Elizabeth Mastrantonio je trouve.
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Re: Madeleine Stowe
décidément les classikiens ont été marqués par cette chronique car elle m'avait également donné envie de voir ce film...que je n'ai toujours pas vu!!locktal a écrit : ↑26 juin 22, 09:16Pour un grand rôle de Madeleine Stowe, je te conseille tout de même de tenter Closet land, qui date de 1991. Souvenir lointain mais tenace, avec une interprétation remarquable de Madeleine Stowe et d'Alan Rickman et un décor très impressionnant. Tavernier et Coursodon disent d'ailleurs le plus grand bien de ce film dans 50 ans de cinéma américain.
pas de blu ray/dvd français j'imagine?
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- Howard Hughes
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Re: Madeleine Stowe
Seulement un DVD espagnol en VO.
Assez dur à trouver maintenant à un prix correct et en bon état, j'ai l'impression.
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Re: Madeleine Stowe
Encore un rôle pervers pour le grand Alan Rickman. Étonnant qu’il n’ai jamais joué un méchant dans James Bond.
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Re: Madeleine Stowe
J'avais une copine au lycée qui était son sosie tout craché. Donc oui, elle était plutôt très jolie.
Sinon, j'avoue que ce n'est pas une actrice qui m'a véritablement marqué, même si elle est très bien chez Mann et Gilliam (et il faudrait que je vérifie si j'ai vu Stakeout et Unlawful Entry).
Et je la confonds régulièrement avec Mary Elizabeth Mastrantonio (avec qui elle partage un peu le même type de trajectoire de carrière, d'ailleurs).
Sinon, j'avoue que ce n'est pas une actrice qui m'a véritablement marqué, même si elle est très bien chez Mann et Gilliam (et il faudrait que je vérifie si j'ai vu Stakeout et Unlawful Entry).
Et je la confonds régulièrement avec Mary Elizabeth Mastrantonio (avec qui elle partage un peu le même type de trajectoire de carrière, d'ailleurs).
Pourtant pas son plus grand score...