Et vous, qu'allez-vous regarder ce soir ?

[patrouilleur loubard]

Ce soir, ce sera Police Fédérale Los Angeles.

Friedkin à son meilleur àmha.

pat'

[Alexandre Angel]

Friedkin à son meilleur àmha.

Pat', c'est quoi àmha ?

[Jack Carter]

à mon humble avis

[Alexandre Angel]

amr

[Watkinssien]

Rha, arrête, ce kif ! J'en chiale. Je vais bien dormir ce soir.
Allez je me repasse la séquence de l'opéra !

Cela me fait penser à un certain vlogueur et son adoration envers Lucy!

[Invité1]

Hier soir, ce fut une soirée exclusivement consacrée à James Bond avec, tout d'abord, Quantum Of Solace, suite directe de Casino Royale (qui reste assurément, jusqu'ici, mon Bond préféré -bien que je n'ai jamais vu ceux avec T. Dalton et ceux avec P. Brosnan-).

Si Casino Royale rebootait la série avec autant de hargne que d'élégance, Quantum Of Solace tente un incroyable pari en réinventant le mythique personnage créé par Ian Fleming. Et ça fonctionne jusqu'à une certaine mesure…
Tout d'abord, la chanson du générique composée par Jack White ne ressemble à aucune autre de la saga, tandis que l'action reste de mise sur la quasi-totalité du métrage qui ne dépasse pas, fait rarissime, les 1h46. Tout va très vite, c'est nerveux, ça pète de partout et Bond est une véritable machine à tuer (bien que la fin révèle le contraire, ce qui reste un sacré pied de nez scénaristique).
Marc Forster semble s'amuser comme un petit fou avec le personnage et les règles établies depuis des lustres en fichant un grand coup de pied dans la fourmilière pour expérimenter des choses et dénaturer l'ensemble. Une forme artistique que les puristes de la saga ne semblent pas du tout avoir apprécié. Ce qui est bien dommage car la carrure bodybuildé de Craig est parfaite pour cette métamorphose dispensée des pitreries d'antan.
6.5/10



Après un bon petit repas, j'ai continué avec Skyfall, confié à Sam Mendes, qui revient aux origines du personnage, avec les très (trop ?) habituelles petites notes d'humour qui vont avec. James Bond redevient ainsi l'agent secret tel qu'on l'a toujours connu, sûrement pour le plus grand bonheur des fans. Les 2h30 de métrages sont assurés avec une redoutable efficacité et Mendes fait le job à l'instar de tout le casting. Bon, il faut tout de même avouer (du moins, à mes yeux) que nous sommes néanmoins ici à mille lieues de la qualité de Casino Royale qui avait amorcé cette nouvelle saga.
6/10



J'ai achevé ma soirée avec Spectre, toujours signé par Mendes et avant-dernier film de la série incarnée par Craig. À l'instar de Quantum Of Solace, c'est une suite directe de l'épisode précédent et le légendaire Blofeld fait enfin son apparition sous les traits de l'inévitable Christoph Waltz. Comme pour Skyfall, on reste en terrain connu avec l'impression d'avoir déjà vu tout ça plus de 100 fois. Du grand spectacle académique et routinier. Rien de plus à mon goût.
6/10



Ce soir, ce sera certainement la découverte de Mourir Peut Attendre, dernier Bond en date...

[Courleciel]

Ce soir suite du cycle British noirs avec deux films

et

[The Eye Of Doom]

Peut etre la fin de Docteur Jekyll et Sister Hyde….

[shubby]

As Tears go by, indeed

Donc revu. Marrant parce que si vous voulez entendre "Take my breath away" au ciné en ce moment, ça ne sera pas dans Top Gun Maverick, mais dans As Tears go by. Je ne me souvenais plus de cette version cantopop qui déboule en plein milieu. Ca m'a un peu sorti du film, mais c'était frais et agréable. Illustrant Andy Lau avé les Ray-bans - lui-même imitant Tom Cruise donc.

Le film reste sympa. Je l'avais découvert il y a fort longtemps. La jolie copie que voilà rend justice aux obscurs et à Maggie (qui sourit un peu parfois, c'est beau, merci). Quant à Andy, un gang se charge de son sort à ma place (merci aussi).

On voit bien que WKW fait le job sur la partie polar, même très bien ça et là, mais que son inspiration décolle à donf dans les mélos. Ils sont peu à glorifier à ce point tous ces petits riens qui font tout. Quand il te filme Maggie Cheung en train d'envoyer un avion en papier, il te pond un tableau. Des mecs s'entretuent, le monde est fou et Maggie, elle, envoie des avions en papier. Et WKW pause là-dessus. Bon, ok, c'était pour illustrer une transition avion / avion, mais n'empêche, j'ai scotché sur ce court plan magnifique. Je le veux en poster.

Côté polar, je subodore que les deux passages où les antagonistes se menacent à coup de flingue dans le calbut figurent ce que que WKW pense des films de triade. De là à subodorer dans le calbut, n'exagérons rien.

Très content d'avoir revu Jackie Cheung sinon. Bizarre, cette fois-ci il m'a fait penser au Richard Anconina de Tchao Pantin.

[manuma]

A!one de John Hyams au programme de la soirée.

[Torrente]

Moi aussi.
Je sens que je vais passer un sale Dimanche : Quantum of solace, The unbelievable truth, J'irai au paradis car l'enfer est ici et Fred, tous dézinguer le même jour... je risque de ne pas m'en remettre.

Soit rassuré, j’ai passé une excellente soirée devant Fred, même si ça m’a fait bizarre de revoir Lindon 25 ans plus jeune, il est presque trop lisse pour le rôle.
Puis j’ai enchaîné avec J’irai au paradis car l’enfer est ici. Dans mon souvenir, c’était un grand film porté par une bande d’acteurs tous excellents et bénéficiant d’une photo superbe. Après révision, je confirme mon avis. J’étais conquis dès la scène d’introduction sans paroles. Et je suis triste quand je vois ce que réalise aujourd’hui Durringer (son dernier film avec Didier Bourdon et Pef est en salles en ce moment).

Wouah frérot, comment tu fais plaisir !!!

Cela me fait penser à un certain vlogueur et son adoration envers Lucy!

Ça, c'est très maychant

Heureusement que tu aimes bien The green knight.

2 places derrière The northman dans le classement 2022, soi dit en passant, je dis ça, je dis rien. (je savais que ça allait arriver dans quelques mises à jour, que c'était une question de temps mais même en m'y attendant, ça fout un coup)



Sinon, je ne sais toujours pas quel film je vais regarder dans 5 minutes. C'est affreux. Mais j'en ai gros, alors je dis graisse©...
J'ai vu des gens toute la journée, j'ai entendu des mots barbares, appris l'existence de nouveaux courants de pensée... wokisme, déconstruction... des amies d'amies qui disaient qu'elles ne supportaient pas qu'on leur tienne la porte... d'autres qui parlaient de la fin du monde à court terme, de la guerre en Ukraine, de ses répercussions dans les 3 années à venir, des famines et des révolutions sanglantes qui se profilent, du dérèglement climatique...
C'est bien de bosser seul chez soi parce que là, j'ai un peu mal à la tête Je plains mes amies et amis en entreprise.

Donc, je vais tenter un truc bête et léger, comme j'aime bien ça en général et si, en plus, ça peut être monté par une machine à laver, ce serait encore mieux. Ce serait de mon niveau.

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[AtCloseRange]

Soit rassuré, j’ai passé une excellente soirée devant Fred, même si ça m’a fait bizarre de revoir Lindon 25 ans plus jeune, il est presque trop lisse pour le rôle.
Puis j’ai enchaîné avec J’irai au paradis car l’enfer est ici. Dans mon souvenir, c’était un grand film porté par une bande d’acteurs tous excellents et bénéficiant d’une photo superbe. Après révision, je confirme mon avis. J’étais conquis dès la scène d’introduction sans paroles. Et je suis triste quand je vois ce que réalise aujourd’hui Durringer (son dernier film avec Didier Bourdon et Pef est en salles en ce moment).

Wouah frérot, comment tu fais plaisir !!!

Les fans de Claire Keim sont dans la place!

[Invité1]

Hier, dans l'après-midi, j'ai achevé la saga Bond incarné par Craig. 2h43 de ''je t'aime... moi non plus" avec missiles et doudou à la clé.Tout ça pour ça ?...
5.5/10



En fin d'aprèm', Torrente m'avait motivée à découvrir Fiend Without a Face (Monstres Invisibles en VF), qui est exactement ce qu'il en a dit. Une petite zéderie sans grand intérêt durant la 1ère heure et une soudaine et inattendue série B en avance sur son époque lors des 10 dernières minutes qui sauvent littéralement le film d'un désastre annoncé.
5.5/10



Puis hier soir, ce fut la découverte de Eye of the Cat (Les Griffes de la Peur en VF), réalisé en 1969 par David Lowell Rich, auteur de certains épisodes de The Twilight Zone et Outer Limits. Thriller animalier influencé par le triomphe commercial des Oiseaux de Sir Hitchcock, le scénario fut d'ailleurs rédigé par Joseph Stefano, heureux responsable du script de Psychose. Un suspens haletant tournant autour d'un couple d'escrocs qui souhaite mettre la main sur l'héritage d'une femme impotente... mais où rien ne se passe comme prévu.
6/10



Ce soir, je ne sais pas encore. J'hésite entre reprendre mon cycle Bava avec La Planète des Vampires ou aborder le cinéma de Brisseau avec Un Jeu Brutal. Ça dépendra de mon mood sur le moment...

[TheGentlemanBat]

Un peu hésitant aussi sur le programme de la soirée. En tous cas de la 1ère partie car je compte me revoir Border qui passe sur Arte à 23H20 (pourvu que je tienne le coup !).

[Alibabass]

Idem je vais revoir Border, le film melange tellement de chose qu'on n'a pas l'habitude de mettre en perspective qu'il en devient attachant. La planete des vampires c'est dans le fond Alien avant l'heure, pour une forme tres pop et no money. C'est pas kitch mais pop. J'ai en tete un film avec maaarcelo qui est aussi tres pop mais qui se passe sur terre ... enfin juste pour dire que l'Italie post 68 au cinema ose tellement dans l'artisanat que c'etait respectueux et ambitieux des genres et des recits et tout cela au service du cinema du mauvais genre. chapeau