Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2021)
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Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2021)
Quasiment aucun retours sur ce forum, à croire que vous vous êtes laissés influencer par son bide aux USA...
Après La Forme de L'eau, hommage visuellement splendide mais peu touchant aux films de monstres, Del Toro s'attaque ici au film noir, avec cette deuxième adaptation du roman de Lindsay Gresham,après celle d'Edmund Goulding(1947),que je n'ai pas vue.
1939.Midwest.Stanton "Stan" Carlisle(Bradley Cooper), prend la route après avoir brûler sa maison et y avoir auparavant enterrer un corps. Le corps est sûrement un proche mais pourquoi l'enterrer dans la maison et la brûler ? Cette très belle intro pose le personnage de Stan, un homme ambigu, au passé douteux et prêt à tout.
Un vrai film noir, qui reprend tous les codes connus, avec sa femme fatale (Cate Blanchett), ses crimes, son monde corrompu(Ezra Grindle), ses flash backs et sa fatalité. Un simple film noir ? Non, sa réussite vient de son amalgame avec les obsessions de Del Toro, sa passion pour les monstres(bel hommage au Freaks de Browning), pour les contes(Ezra Grindle n'est rien d'autre que le Ebenezer Scrooge de Dickens), le merveilleux(ici, la télépathie) et une cinématographie et production absolument splendide.
Ça sera d'ailleurs mon seul reproche, cette production clinquante et ce casting indécent (Bradley Cooper, Cate Blanchett, Toni Collette, Willem Dafoe, Richard Jenkins, Rooney Mara, Ron Perlman, Mary Steenburgen,David Strathairn ) nuisent clairement à l'âpreté et à la férocité du propos. La bande originale insipide de Nathan Johnson est l'autre point faible du film.
Ce serait déjà largement satisfaisant mais Del Toro et son scénariste Kim Morgan ont le bon goût de dresser en plus un tableau social particulièrement sombre des Usa , avec sa société aux classes cloisonnées,où toute ascension durable est impossible , mais unies dans le même appétit insatiable du gain et où tu es toujours le pauvre de quelqu'un...
Stan l'apprendra d'ailleurs à ses dépens, dans une conclusion d'une cinglante ironie, épilogue parfait de ce conte (im)moral.
7/10
Après La Forme de L'eau, hommage visuellement splendide mais peu touchant aux films de monstres, Del Toro s'attaque ici au film noir, avec cette deuxième adaptation du roman de Lindsay Gresham,après celle d'Edmund Goulding(1947),que je n'ai pas vue.
1939.Midwest.Stanton "Stan" Carlisle(Bradley Cooper), prend la route après avoir brûler sa maison et y avoir auparavant enterrer un corps. Le corps est sûrement un proche mais pourquoi l'enterrer dans la maison et la brûler ? Cette très belle intro pose le personnage de Stan, un homme ambigu, au passé douteux et prêt à tout.
Un vrai film noir, qui reprend tous les codes connus, avec sa femme fatale (Cate Blanchett), ses crimes, son monde corrompu(Ezra Grindle), ses flash backs et sa fatalité. Un simple film noir ? Non, sa réussite vient de son amalgame avec les obsessions de Del Toro, sa passion pour les monstres(bel hommage au Freaks de Browning), pour les contes(Ezra Grindle n'est rien d'autre que le Ebenezer Scrooge de Dickens), le merveilleux(ici, la télépathie) et une cinématographie et production absolument splendide.
Ça sera d'ailleurs mon seul reproche, cette production clinquante et ce casting indécent (Bradley Cooper, Cate Blanchett, Toni Collette, Willem Dafoe, Richard Jenkins, Rooney Mara, Ron Perlman, Mary Steenburgen,David Strathairn ) nuisent clairement à l'âpreté et à la férocité du propos. La bande originale insipide de Nathan Johnson est l'autre point faible du film.
Ce serait déjà largement satisfaisant mais Del Toro et son scénariste Kim Morgan ont le bon goût de dresser en plus un tableau social particulièrement sombre des Usa , avec sa société aux classes cloisonnées,où toute ascension durable est impossible , mais unies dans le même appétit insatiable du gain et où tu es toujours le pauvre de quelqu'un...
Stan l'apprendra d'ailleurs à ses dépens, dans une conclusion d'une cinglante ironie, épilogue parfait de ce conte (im)moral.
7/10
Dernière modification par batfunk le 25 janv. 22, 17:07, modifié 1 fois.
- harry
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
Ou peu être que y'a un effet de lassitude. Je sais que moi, a chaque nouveau deltoro on me promet monts et merveilles et a chaque fois ca me laisse avec un gros "Mwe... "
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
Comme pour West side story, je finirais par le voir si les bonnes notes continuent d’affluer.
Dernière modification par Supfiction le 25 janv. 22, 16:28, modifié 1 fois.
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
Je vote Coleen Gray.Supfiction a écrit : ↑25 janv. 22, 16:07 Comme pour West side story, je finirai par le voir si les bonnes notes continuent d’affluer.
Meilleur topic de l'univers
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
En tout cas, je n'ai pas vu passer les 2h31, malgré une pizza 4 saisons et une Moretti(la bière, pas le cinéaste) ingurgitées avant la séance
Mon Del Toro préféré, avec Pacific Rim et Hellboy (pas vu Chronos ni L'échine du diable)
Ps:apparemment, il y a une séance Noir et Blanc pour, Nightmare Alley...
https://www.allocine.fr/seance/film-300 ... 15756/d-1/
Mon Del Toro préféré, avec Pacific Rim et Hellboy (pas vu Chronos ni L'échine du diable)
Ps:apparemment, il y a une séance Noir et Blanc pour, Nightmare Alley...
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
J'adore Rooney Mara, c'est totalement ma came...mais j'avoue qu'en découvrant Nightmare Alley (l'original), j'avais totalement halluciné sur Coleen Gray.
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
Impatient de voir la version d'E.Goulding. Pour le regard que va en faire Guillermo Del Toro, comme il va rester au moins 1 mois au ciné, je ne suis pas pressé.
- tchi-tcha
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
Bah et le classement des sorties 2022, il sent le pâté de lapin ou quoi ? On n'y cause pas que du dernier PTA ou du requel de Scream
La preuve :
tchi-tcha a écrit : ↑22 janv. 22, 03:10 Nightmare Alley (Del Toro) 7,5/10
(Plutôt une nouvelle adaptation qu'un remake. Le réalisateur prend son temps pour basculer de la chronique au film noir - pas forcément la partie la mieux maitrisée dans son accélération finale. Toujours la même ménagerie et les mêmes petites horlogeries, mais la bonne nouvelle c'est que Del Toro se renouvelle enfin un peu. Son oscarisé Shape of Water m'avait laissé un goût de redite et de déception, ça fait plaisir de le retrouver en bonne forme (de l'eau?). J'avais des doutes concernant Bradley Cooper, j'avais tort. Par contre, quelle drôle d'idée de le sortir aux Etats-Unis en même temps que Spider-Man No Way Home. Et si les critiques pouvaient arrêter de citer Freaks à chaque fois qu'il y a un nain et un cirque dans un film...)
tchi-tcha a écrit : ↑23 janv. 22, 21:15Je n'étais pas allé jusque là de peur de réveiller le Del Toro bashing (le cinéaste le plus surestimé depuis l'invention de l'eau chaude)... mais je ne suis pas loin de penser très fort la même chose.Watkinssien a écrit : ↑23 janv. 22, 20:24 Nightmare Alley = 8/10!!
...l'un des tous meilleurs films de del Toro...
Le jeu de mot sur le plaisir de retrouver Del Toro en bonne forme ("de l'eau") n'est pas ce que j'ai fait de mieux. Nightmare Alley par contre est assurément ce que le mexicain a fait de mieux depuis un bon moment. Et ça fait vraiment plaisir de le retrouver en pleine forme...zemat a écrit : ↑24 janv. 22, 10:41 NIGHTMARE ALLEY : 7,5/10
Le scénario m’a vraiment passionné (je n'ai découvert qu'après que c'était une nouvelle adaptation), la mise en scène est brillante sans être tape à l’œil, le casting est impressionnant, très belle réussite !
Attention, le spoiler en est vraiment un :
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(...de l'eau, HA HA HA )
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
C'est clairement un de ses plus beaux films.
Visuellement somptueux et surtout porté par un désenchantement, voire même un caractère dépressif très marqué qui rend l'expérience captivante et envoûtante.
del Toro semble s'identifier à ce protagoniste qui s'interroge sur ses valeurs de création, quitte à s'y perdre, en tentant de comprendre le monde qui l'entoure en le manipulant tout en se faisant influencer en même temps.
Superbe interprétation de tous les acteurs, qui parviennent à incarner magistralement les nuances de leurs personnages respectifs.
Visuellement somptueux et surtout porté par un désenchantement, voire même un caractère dépressif très marqué qui rend l'expérience captivante et envoûtante.
del Toro semble s'identifier à ce protagoniste qui s'interroge sur ses valeurs de création, quitte à s'y perdre, en tentant de comprendre le monde qui l'entoure en le manipulant tout en se faisant influencer en même temps.
Superbe interprétation de tous les acteurs, qui parviennent à incarner magistralement les nuances de leurs personnages respectifs.
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
Je ne veux pas le rater. Pour une fois qu'une bande-annonce de Del Toro m'emballe à ce point.
Visionnage prévu Jeudi ou Vendredi. J'ai même plus envie de le voir que "Licorice" (trop "évident" pour moi et presque trop sûr de l'aimer, il attendra un moment plus propice pour le découvrir - il fait trop froid ; j'ai la sensation que c'est un film de Printemps plutôt).
Visionnage prévu Jeudi ou Vendredi. J'ai même plus envie de le voir que "Licorice" (trop "évident" pour moi et presque trop sûr de l'aimer, il attendra un moment plus propice pour le découvrir - il fait trop froid ; j'ai la sensation que c'est un film de Printemps plutôt).
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
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Rien que le titre est magnifique
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- Flol
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
Décidément, je n'y arrive pas avec del Toro.
Une nouvelle fois, c'est une splendeur de tous les instants d'un point de vue formel. Mais j'ai un peu le sentiment que, s'agissant de del Toro, ça ne devrait même plus être mentionné ni pris en compte dès qu'on parle d'un de ses films, c'en est même devenu une lapalissade, comme de dire qu'un Pixar est techniquement bien fait.
Mais une nouvelle fois, j'ai eu toutes les peines du monde à me passionner pour ce qu'il raconte.
Il y avait pourtant de quoi faire en tant que cinéaste, à s'intéresser au monde des forains et des bonimenteurs où la manipulation est reine.
Mais non, del Toro se contente de faire dans l'illustratif et peine à donner corps à son récit. Et ce malgré son casting 4 étoiles, dont un Bradley Cooper qui se donne beaucoup de mal pour paraître torturé et une Cate Blanchett qui en fait un peu trop avec sa voix grave pour se donner un air vénéneux et mystérieux.
Heureusement que sur les 2h30 (clairement trop), la dernière demi-heure s'excite un peu et nous plonge pleinement dans l'aspect tragique de cette histoire, jusqu'à une conclusion joliment ironique - même si on la sentait déjà venir lors d'une longue scène explicative en milieu de film avec le perso de Willem Dafoe.
Alors je me répète, mais j'adorerais aimer ses films, y voir (comme certains) du beau cinéma total qui emporte tout sur son passage. Sauf qu'il y manque à chaque fois quelque chose pour que je me sente véritablement impliqué.
En gros del Toro, j'aime ses intentions, j'aime le bonhomme, j'aime son univers (on a les mêmes références), mais je préférerais boire des pintes avec lui plutôt que de me refaire sa filmo en intégralité.
Et pendant ce temps-là, quelle surprise (non) : Capture Mag a adoré.
Je n'ai vraiment pas vu le même film qu'eux. À les écouter, j'ai l'impression qu'il faut connaître del Toro personnellement, sa vie privée et son histoire familiale, pour comprendre les clés de son cinéma et l'apprécier comme il se doit.
Une nouvelle fois, c'est une splendeur de tous les instants d'un point de vue formel. Mais j'ai un peu le sentiment que, s'agissant de del Toro, ça ne devrait même plus être mentionné ni pris en compte dès qu'on parle d'un de ses films, c'en est même devenu une lapalissade, comme de dire qu'un Pixar est techniquement bien fait.
Mais une nouvelle fois, j'ai eu toutes les peines du monde à me passionner pour ce qu'il raconte.
Il y avait pourtant de quoi faire en tant que cinéaste, à s'intéresser au monde des forains et des bonimenteurs où la manipulation est reine.
Mais non, del Toro se contente de faire dans l'illustratif et peine à donner corps à son récit. Et ce malgré son casting 4 étoiles, dont un Bradley Cooper qui se donne beaucoup de mal pour paraître torturé et une Cate Blanchett qui en fait un peu trop avec sa voix grave pour se donner un air vénéneux et mystérieux.
Heureusement que sur les 2h30 (clairement trop), la dernière demi-heure s'excite un peu et nous plonge pleinement dans l'aspect tragique de cette histoire, jusqu'à une conclusion joliment ironique - même si on la sentait déjà venir lors d'une longue scène explicative en milieu de film avec le perso de Willem Dafoe.
Alors je me répète, mais j'adorerais aimer ses films, y voir (comme certains) du beau cinéma total qui emporte tout sur son passage. Sauf qu'il y manque à chaque fois quelque chose pour que je me sente véritablement impliqué.
En gros del Toro, j'aime ses intentions, j'aime le bonhomme, j'aime son univers (on a les mêmes références), mais je préférerais boire des pintes avec lui plutôt que de me refaire sa filmo en intégralité.
Et pendant ce temps-là, quelle surprise (non) : Capture Mag a adoré.
Je n'ai vraiment pas vu le même film qu'eux. À les écouter, j'ai l'impression qu'il faut connaître del Toro personnellement, sa vie privée et son histoire familiale, pour comprendre les clés de son cinéma et l'apprécier comme il se doit.
Dernière modification par Flol le 26 janv. 22, 19:21, modifié 3 fois.
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- Howard Hughes
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
Tu ne me rassures pas.
J'ai moi aussi énormément de mal avec Del Toro (mis à part Cronos, Mimic, Pacific rim et quelques séquences du premier Hellboy).
Malgré tout, je crois que je vais opter pour ce film pour ma séance de ciné "spéciale anniversaire". Une certaine idée du masochisme
Par contre, je suis content de retrouver Dahan en solo dans des vignettes "structurées" et préparées. Même si je ne suis pas toujours d'accord avec lui, ça m'évite les "en fait", "quoi", "heu", "pour le coup" des autres intervenants.
J'ai moi aussi énormément de mal avec Del Toro (mis à part Cronos, Mimic, Pacific rim et quelques séquences du premier Hellboy).
Malgré tout, je crois que je vais opter pour ce film pour ma séance de ciné "spéciale anniversaire". Une certaine idée du masochisme
Ils m'épuisent de plus en plus.
Par contre, je suis content de retrouver Dahan en solo dans des vignettes "structurées" et préparées. Même si je ne suis pas toujours d'accord avec lui, ça m'évite les "en fait", "quoi", "heu", "pour le coup" des autres intervenants.
- Flol
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
Ah je suis bien d'accord, je me faisais justement cette réflexion hier en écoutant son émission à propos du Macbeth de Joël Coen : je ne partage absolument pas son enthousiasme sur le film en question, mais je le préfère largement en solo, avec du texte écrit, plutôt que quand il part en vrille total et qu'il parasite les émissions dans lesquelles il intervient.
Ça rappelle la belle époque de "Opération Frisson", en somme.
Ça rappelle la belle époque de "Opération Frisson", en somme.
- MJ
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Re: Nightmare Alley (Guillermo del Toro - 2022)
Tu devrais être encore moins pressé après la découverte (tant c'est impossible à égaler).
"Personne ici ne prend MJ ou GTO par exemple pour des spectateurs de blockbusters moyennement cultivés." Strum