Léa Seydoux

[AtCloseRange]

J'avais oublié de rapatrier ceci...

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Je crois que ce qui me gêne le plus c'est qu'elle a le nez de Jean Gabin

Hé mais c'est vrai je ne l'avais jamais remarqué avant.

#MéchancetéGratuiteBis

[tchi-tcha]

Je commence à soupçonner une légère mauvaise foi chez certains par ici...
Pour l'instant je n'ai pas de preuves, mais j'ai des soupçons...

[Duane Jones]

Je commence à soupçonner une légère mauvaise foi chez certains par ici...

Si peu...

Si ça ne vous convainc toujours pas, je ne sais pas ce qu'il vous faut !

Le meilleur argument depuis le début du topic. Toujours pas vu ce Tromperie.

[El Dadal]

Le meilleur argument depuis le début du topic. Toujours pas vu ce Tromperie.

Je remarque surtout que les étagères de cette bibliothèque sont bien vides... Mais qui sont ces gens ?

[Supfiction]

je ne trouve pas exagéré de penser qu'il s'agit d'une des meilleures actrices françaises de cette décennie, comme le fut Romy Schneider dans les 70's, Isabelle Huppert dans les 80's...

Adjani, tu voulais dire.

Bref, que ce soit dans la musique, le cinéma ou ailleurs, tout n'est qu'une histoire de réseau, de copinage et de pistonnage. Et Léa Seydoux en profite pleinement.

C'est bien le problème… Il y a une injustice à la base…

Spoiler (cliquez pour afficher)

Est-ce qu’on emmerde Claude Brasseur ?
Sinon, le travail a son importance peut-être aussi, non ?

[Duane Jones]

Je remarque surtout que les étagères de cette bibliothèque sont bien vides... Mais qui sont ces gens ?

Ils ont acheté les étagères avant leur future collection de la Pléiade, ça arrive à tout le monde voyons.

[shubby]

Si ça ne vous convainc toujours pas, je ne sais pas ce qu'il vous faut !

Le meilleur argument depuis le début du topic. Toujours pas vu ce Tromperie.

La seule photo au monde qui sent à ce point des pieds. J'espère que Podalydès a obtenu une rallonge pour s'infliger ça (mauvaise foi engaged).

n'est pas sans évoquer le moment où I Huppert démultipliait les rôles à l'orée des 80' passant de Violette Nozières à Heaven's gate puis Loulou sans la moindre difficulté.

Selon un vieux Première, c'était au moment où elle était en couple avec Daniel Toscan du Plantier, alors directeur de Gaumont... Son chéri aurait "appuyé" son prix d'interprétation féminine au festival de Cannes en 1978 (pour Violette Nozière), ce qui lui a rapidement permis d'être une actrice internationale très convoitée (Toscan du Plantier faisant parallèlement barrage à Isabelle Adjani pour pas mal de rôles dans des films intéressants vu que les deux actrices étaient apparemment en conflit).

Bref, que ce soit dans la musique, le cinéma ou ailleurs, tout n'est qu'une histoire de réseau, de copinage et de pistonnage. Et Léa Seydoux en profite pleinement.

Après, en ce qui concerne les histoires de bashing, c'est surtout une facilité virtuelle confondante à cracher son venin sur quelqu'un. C'est totalement inintéressant à mes yeux.

Pour le coup, cette période d'Huppert est en effet le (très) bon exemple à citer. Sauf que de mémoire, ça avait jasé, alors que là tout n'est que silence gênant ds les médias. Je crois me rappeler d'une fronde ou d'un début de fronde chez les actrices à l'époque, même d'articles, d'un sujet aux infos (à étayer toutefois, c'est diffus tout ça). On a eu tôt fait causer jalousie, dans les faits c'était aussi largement abusé, oui. Sauf que 2, le retour : question jeu et chapiteau, j'y trouvais mon compte avec Isabelle Huppert. Là, j'ai qd même l'impression qu'on nous rejoue le Marguerite avec Catherine Frot, ce film où elle incarne une chanteuse qui ne sait pas chanter avec personne autour pour oser le lui dire.

Ecoute je ne sais pas, mais quand je lis "cette incapacité viscérale qu'ont certains à lui reconnaître la moindre qualité d'actrice", j'en doute un peu.

Je crois que cette phrase était de moi...
En l'occurrence non, tu n'étais pas spécialement visé.

Je l'étais, de fait
(et je n'ai pas de compte Twitter)

Toujours est-il que je suis curieux de savoir ce que pensent globalement les Français de cette actrice. Fait-elle venir du monde en salle sur son seul nom ? J'en doute, voilà. Il ne s'agit pas ici de calomnier salement - même si ça défoule - mais de faire se corréler la question du "sauvetage du cinéma" avec ce type de cahier des charges là, en plus des nombreux autres du moment. L'époque n'est plus la même, les enjeux non plus. On voit la paille dans l'œil de son voisin qui zieute Netflix, pas la grosse poutre dans le sien imposant un ciné comme ça et pas autrement. Or, la chaussure de Cendrillon ne va qu'à Cendrillon.

[Alexandre Angel]

question jeu et chapiteau, j'y trouvais mon compte avec Isabelle Huppert. Là, j'ai qd même l'impression qu'on nous rejoue le Marguerite avec Catherine Frot, ce film où elle incarne une chanteuse qui ne sait pas chanter avec personne autour pour oser le lui dire.

Oui, mais sauf ton respect cher Shubby, c'est précisément là que tu déconnes : ce délire sans fondement.
Une actrice que plein de cinéastes importants et talentueux, de Kechiche à Desplechin, de Dumont à Cronenberg, de Enyedi à Wes Anderson en passant par Benoit Jacquot et Xavier Dolan, s'arrachent.

Enfin mince, ils se retrouvent tous en société secrète, avec des cagoules pour évoquer leur souffrance d'avoir du se coltiner la fille de ..? Il faut quand même rester rationnel dans la vie.
Et je suis loin d'être fan.

[shubby]

question jeu et chapiteau, j'y trouvais mon compte avec Isabelle Huppert. Là, j'ai qd même l'impression qu'on nous rejoue le Marguerite avec Catherine Frot, ce film où elle incarne une chanteuse qui ne sait pas chanter avec personne autour pour oser le lui dire.

Oui, mais sauf ton respect cher Shubby, c'est précisément là que tu déconnes : ce délire sans fondement.
Une actrice que plein de cinéastes importants et talentueux, de Kechiche à Desplechin, de Dumont à Cronenberg, de Enyedi à Wes Anderson en passant par Benoit Jacquot et Xavier Dolan, s'arrachent.

Enfin mince, ils se retrouvent tous en société secrète, avec des cagoules pour évoquer leur souffrance d'avoir du se coltiner la fille de ..? Il faut quand même rester rationnel dans la vie.
Et je suis loin d'être fan.

Possible. Possible aussi que ça leur serve juste à monter leur projet en amont. Que ce soit une forme de placement de produit, un compromis. Et j'en resterai là sur ce sujet, promis. Mieux vaut en effet s'épancher sur ce qu'on apprécie, dire du mal c'est délétère. Pour les autres, mais aussi pour soi.

[Alibabass]

Shubby il est tellement vénère de Léa "Bashing" Seydoux qu'un conseil s'avise : une cure de films avec point du vue d'un animal s'impose pour toi. Il y a Hi-Han
de Jerzy Skolimowski bientôt et Il Buco aussi bientôt en VOD. Après, je ne sais pas si il y a un animal en particulier qui revient souvent au cinéma avec un point du vue, parce-que, à ce jeu là, tu pourrais faire du Zoo Bashing.

[Flol]

Allez, soyons un peu constructifs :


(une image qui sent un peu moins des pieds)
Tromperie - Arnaud Desplechin

Commençons par les points négatifs. En fait, LE point négatif : je crois que dans le fond, les atermoiements, les petits tracas, les questionnements de ces gens, je n'en ai pas eu grand-chose à faire. Il n'y a guère que le personnage d'Emmanuelle Devos, directement confrontée à la mort, qui m'a réellement touché. Et la toute dernière scène avec Léa Seydoux, où elle a réussi à m'arracher un début de larmichette.
Parfaite transition pour se concentrer maintenant sur les points positifs. Tout d'abord, LE point positif principal : Léa Seydoux m'a bluffé. Je ne suis pas du tout fan d'habitude (ça vous étonne hein ?), mais là je suis obligé de reconnaître que ce qu'elle y fait est assez prodigieux. Cette palette de jeu, ce naturel, ce charme vénéneux qu'elle dégage...c'est bien la première fois qu'elle évoque chez moi de tels superlatifs.
Et c'est surtout la confirmation que Desplechin est bel et bien un immense directeur d'acteurs et d'actrices.

Autre confirmation : Desplechin reste toujours ce même esthète. Quel régal de mise en scène. Globalement, il ne s'agit que de personnes discutant dans des pièces fermées, mais son travail formel et ses multiples idées visuelles apportent un incroyable souffle romanesque à l'ensemble.
Le tout en respectant l'œuvre et surtout l'esprit de Philip Roth, qui semble exsuder de chaque plan, de chaque ligne de dialogue.

Mais bon, voilà : j'ai trouvé le temps un peu long, parfois. Mais beau film quand même.
Merci Nono et bravo Lélé.

[AtCloseRange]

[Supfiction]

Et c'est surtout la confirmation que Desplechin est bel et bien un immense directeur d'acteurs et d'actrices.

Begaudeau faisait à peu près le même compliment dans La gêne occasionnée (au titre approprié) au sujet de France.

La Léa Seydoux vénéneuse, tu la retrouves dans L’histoire de ma femme. Un mélo d’un autre temps à la stupéfiante beauté formelle.

[tchi-tcha]

Cette palette de jeu, ce naturel, ce charme vénéneux qu'elle dégage...

Ton corps change, ce n'est pas sale.

[Flol]

La Léa Seydoux vénéneuse, tu la retrouves dans L’histoire de ma femme. Un mélo d’un autre temps à la stupéfiante beauté formelle.

Pas vu, mais du coup ça m'intéresse (malgré sa durée fleuve).