Supfiction a écrit : ↑20 sept. 21, 13:15
Il y a un classikien un peu timide qui voulait créer le topic Vicky Krieps mais qui n’a pas osé, c’est dommage.
Sinon, c’est le film de l’année pour Xavier Leherpeur qui en a pleuré en direct à l’antenne de France Inter.
Mais au diable les timides, le topic est créé, et vu le talent de l'actrice, il sera vite rempli de posts.
Je remet vite fait la photo de Serre moi fort:
J'ai des courses à faire rapidement vu l'heure, donc je n'irai pas plus loin pour le moment. Mais quand je disais que c'était la Meryl Streep de demain, j'y crois vraiment, par son talent. Après, vu son caractère, si elle préfère retourner au Botswana faire de l'humanitaire, non seulement je n'y serai pour rien, mais je respecterai totalement
Dernière modification par Phnom&Penh le 21 sept. 21, 06:05, modifié 1 fois.
"pour cet enfant devenu grand, le cinéma et la femme sont restés deux notions absolument inséparables", Chris Marker
Major Tom a écrit : ↑31 août 21, 21:02
Elle aura bientôt son topic créé par Supfiction
Perdu.
Major Tom a écrit : ↑31 août 21, 21:02en attendant je poste ça ici, j'aime beaucoup la germano-luxembourgeoise Vicky Krieps. Même si ce n'est pas une actrice française, elle parle presque aussi bien le Français que Jodie Foster et on l'a aussi bien vu chez Shyamalan, PTA, Corbijn, Mia Hansen-Løve ou Roland Emmerich, que chez Eric Rochant, Hélène Fillières ou Amalric. Elle fait plus jeune que son âge (38).
D'ailleurs, je vais faire la pub du film à la Major Tom. Dans Serre moi fort, on découvre ses seins et ses fesses - fort jolies.
Je ne sais pourquoi, mais dans la première moitié du film, j'avais une forte envie de la voir se déshabiller. Sans doute parce qu'on voit une très jolie femme mal fagotée, ce qui n'est évidemment pas le cas dans Phantom Thread.
Je crois que la bonne gestion des fantasmes est un des points très forts du cinéma - et du jeu d'acteur de Mathieu Amalric
"pour cet enfant devenu grand, le cinéma et la femme sont restés deux notions absolument inséparables", Chris Marker
Major Tom a écrit : ↑20 sept. 21, 18:10
Ah bah je le remets du coup...
Major Tom a écrit : ↑31 août 21, 21:02
Elle aura bientôt son topic créé par Supfiction
Perdu.
Major Tom a écrit : ↑31 août 21, 21:02en attendant je poste ça ici, j'aime beaucoup la germano-luxembourgeoise Vicky Krieps. Même si ce n'est pas une actrice française, elle parle presque aussi bien le Français que Jodie Foster et on l'a aussi bien vu chez Shyamalan, PTA, Corbijn, Mia Hansen-Løve ou Roland Emmerich, que chez Eric Rochant, Hélène Fillières ou Amalric. Elle fait plus jeune que son âge (38).
Tu vois, on se retrouve, je te rends hommage dans mon dernier post, écrit pendant que tu publiais le tien
"pour cet enfant devenu grand, le cinéma et la femme sont restés deux notions absolument inséparables", Chris Marker
Phnom&Penh a écrit : ↑20 sept. 21, 18:12
D'ailleurs, je vais faire la pub du film à la Major Tom. Dans Serre moi fort, on découvre ses seins et ses fesses - fort jolies.
Ah non, tu me confonds avec Demi-Lune !
Demi-Lune a écrit : ↑2 avr. 14, 19:14La belle captive (1983)
Phnom&Penh a écrit : ↑20 sept. 21, 18:12
D'ailleurs, je vais faire la pub du film à la Major Tom. Dans Serre moi fort, on découvre ses seins et ses fesses - fort jolies.
Ah non, tu me confonds avec Demi-Lune !
Demi-Lune a écrit : ↑2 avr. 14, 19:14La belle captive (1983)
Phnom&Penh a écrit : ↑20 sept. 21, 17:49 quand je disais que c'était la Meryl Streep de demain, j'y crois vraiment, par son talent.
Est-ce que tu penses à Meryl Streep en rapport à son physique (quelque-chose dans le visage et la blancheur de la peau) ? Il y a, je trouve, dans Serre moi fort quelque-chose de Kramer contre Kramer, un peu ce que l’on aurait pu voir si la caméra avait suivi Joanna Kramer lors de sa fuite du domicile conjugal et qu’on l’observait s’imaginant la vie à la maison sans elle.
Finalement, le film s’avère totalement autre chose lorsque l’on a enfin compris (ou pas ).
En revanche, je ne la perçois pas aussi réservée et fragile que Meryl Streep à ses débuts. On a vu dès Phantom thread que c’était une erreur de se fier aux apparences.
Phnom&Penh a écrit : ↑20 sept. 21, 17:49 quand je disais que c'était la Meryl Streep de demain, j'y crois vraiment, par son talent.
Est-ce que tu penses à Meryl Streep en rapport à son physique (quelque-chose dans le visage et la blancheur de la peau) ? Il y a, je trouve, dans Serre moi fort quelque-chose de Kramer contre Kramer, un peu ce que l’on aurait pu voir si la caméra avait suivi Joanna Kramer lors de sa fuite du domicile conjugal et qu’on l’observait s’imaginant la vie à la maison sans elle.
Finalement, le film s’avère totalement autre chose lorsque l’on a enfin compris (ou pas ).
En revanche, je ne la perçois pas aussi réservée et fragile que Meryl Streep à ses débuts. On a vu dès Phantom thread que c’était une erreur de se fier aux apparences.
D'abord, Kramer contre Kramer n'est pas du tout une référence pour moi. J'ai du le voir, n'en ai aucun souvenir. Pour moi, malgré ses récompenses, c'est juste un film sociétal, sorti au bon moment, et pas très bien réalisé, mais avec d'excellents acteurs.
J'ai en revanche beaucoup de respect pour Meryl Streep, mais je pense plus à Voyage au bout de l'enfer, par dessus tout Le choix de Sophie, Out of Africa, Sur la route de Madison, The Devil Wears Prada, Mamma Mia! (j'assume totalement mon côté Jordan White ).
Il y a un rapprochement physique assez évident, mais je vois surtout intuitivement, un même jeu d'actrice.
"pour cet enfant devenu grand, le cinéma et la femme sont restés deux notions absolument inséparables", Chris Marker
Phnom&Penh a écrit : ↑20 sept. 21, 18:12
D'ailleurs, je vais faire la pub du film à la Major Tom. Dans Serre moi fort, on découvre ses seins et ses fesses - fort jolies.
Ah non, tu me confonds avec Demi-Lune !
Demi-lune se contente, comme moi, de poster, toi tu réalises, ne me prends pas pour plus con que je ne suis
"pour cet enfant devenu grand, le cinéma et la femme sont restés deux notions absolument inséparables", Chris Marker
« Le film a toute sa place à Cannes parce qu’il est un cri d’amour au cinéma, confie Tim Roth à 20 Minutes. Les héros espèrent que le génie de Bergman déteindra sur eux s’ils s’imprègnent de l’atmosphère de les lieux. » Mia Hansen-Love a effectué plusieurs voyages sur place ce qui lui permet de faire visiter au spectateur les plus beaux endroits de l’île. Ses héros sont ballottés entre introspection créative et plongée en pleine fiction veillés par l’ombre du maître suédois. « C’est un endroit qui donne envie de croire aux fantômes, confie Mia Hansen-Love et un lieu de pèlerinage pour les cinéphiles du monde entier. »
Vu sur Mycanal. Ennui poli devant ce safari Bergman presque ridicule et cette absence d’enjeux dramatiques. C’est surement méta.
Pour ma part, non pas ennui poli, mais j'étais assez énervé par le moment d'écriture qui amène à un souvenir au milieu du film, qui ressemble à une pale copie de son ancien film Un Amour De Jeunesse ... donc là, oui, peux-être Meta, mais peux-être moment de trop pour un film qui démarre quand même bien, jouant le décalage entre cinéphilie et économie touristique.
Supfiction a écrit : ↑17 mars 22, 14:06
Vu sur Mycanal. Ennui poli devant ce safari Bergman presque ridicule et cette absence d’enjeux dramatiques. C’est surement méta.
higa a écrit : ↑21 avr. 22, 00:20 De nos Frères Blessés:
Dur de regarder ce film sans laisser la comparaison avec Costa-Gavras jouer en sa défaveur, j'ai eu du mal à dépasser ce premier jugement et lui donner sa chance.
Ceci étant dit, même si j'ai trouvé qu'il aurait bénéficié d'un scénario plus énervé sur le plan politique, j'ai accepté sans difficulté le mélodrame qui se jouait avec.