Classement des sorties VOD/DTV/Cinéma 2021 [clos]

[AtCloseRange]

Infinite (Amazon Prime) 3/10
Si vous voulez voir Antoine Fuqua faire du sous-Timur Bekmambetov

#TeamWanted <3

[Boubakar]

Mourir peut attendre : 7/10

[Outerlimits]

Malignant : 6,5/10

[Roilo Pintu]

Mourir peut attendre - Cary Joji Fukunaga : 4/10
Ultime coup de masse sur le mythe James Bond, Mourir peut attendre reste cohérent dans le cycle Craig, et maintient son travail de dévitalisation du mythe, du personnage jusque dans son improbable et inutile dénouement. Une histoire très mince, s’étalant pourtant sur la durée incompréhensible de 2h40, on nous raconte que James Bond n’est qu’un homme comme les autres.

[douane eddy]

La troisième guerre : 7/10

[santiago]

Julie (en 12 chapitres) : 6,5/10
Le traducteur : 6/10
Storia di vacanze : 5,5/10

[hellrick]

The Night House = 7/10

[Coxwell]

Dune - 3/10

[Rockatansky]

Kate - Cedric Nicolas-Troyan - 4,5/10

[TheGentlemanBat]

The Green Knight : 8/10

Même si à 1 ou 2 reprises j'ai quelque peu ressenti les 2H10 du long-métrage, j'avoue avoir été totalement subjugué par la quête initiatique de l'apprenti chevalier qu'incarne à la perfection Dev Patel. Le film obsède littéralement mes pensées depuis hier soir, au point où j'ai déjà envie de revoir cette pièce d'orfèvrerie (que ce soit les costumes, le design, la photographie - bon sang, ces jeux de lumière ! - ou la BO de Daniel Hart, tout confine au sublime) qui a de très fortes chances de finir dans mon Top 5 de l'année.

[Joe Gillis]

Mourir peut attendre: 5,5/10
Tralala: 8,5/10
Billie Holiday, une affaire d'état: 5/10
Bac nord: 6,5/10

[Rick Blaine]

Mourir peut attendre : 7/10

[shubby]

La proie d'une ombre : 7.5/10. Intro qui expose un sentiment juste en filmant deux femmes à travers une vitre, final qui balance le leitmotiv sans l'air d'y toucher, avec entre les deux une chouette histoire de maison hantée. Surréaliste, beau, avec une très belle idée architecturale pour montrer un fantôme. C'est très subtil - rare - et efficace, j'étais à fond dedans, bien aidé par le jeu naturel - ça se travaille - désarmant de la magnifique Rebecca Hall. Qui avait déjà porté une aussi recommandable Maison des ombres (The Awakening).

[Rockatansky]

Infinite - Antoine Fuqua - 5,5/10

[douane eddy]

Stillwater : 7/10