Watkinssien a écrit : ↑13 sept. 20, 22:53
Le film a beau être gentillet et mineur chez Coppola, il n'empêche que l'on suit jusqu'au bout cette fable douce sur le temps qui passe et sur la nostalgie d'une jeunesse pleine d'espérance et d'insouciance. Casting attachant pour des personnages parfois caricaturaux, parfois bien observés.
Watkinssien a écrit : ↑13 sept. 20, 22:53
Le film a beau être gentillet et mineur chez Coppola, il n'empêche que l'on suit jusqu'au bout cette fable douce sur le temps qui passe et sur la nostalgie d'une jeunesse pleine d'espérance et d'insouciance. Casting attachant pour des personnages parfois caricaturaux, parfois bien observés.
Tu devrais aimer "American Graffiti"
Ah mais j'aime American Graffiti, et je le préfère de loin à ce Coppola.
J’aime bien, tout comme son quasi plagiat de Noémie L. Je crois qu’il s’est fait allumé par les 2/3 de l’équipe du Masque et la plume du 21 février dernier (les vieux surtout qui le trouvent kitsch). Ce sont les plus jeunes de l’équipe qui le défendent, dont JM Lalanne ou Camille Nevers (Libération) qui qualifiait le film de Minellien.
Supfiction a écrit : ↑1 avr. 21, 08:52
(les vieux surtout qui le trouvent kitsch)
Dont évidemment Pierre Murat, que l'on peut officiellement qualifier de sénile tant ses interventions sont toutes, sans la moindre exception, à côté de la plaque.
"American Graffiti" est un très beau film, doux-amer, et maitrisé de bout en bout.
Tout pareil : ah cette scène où Richard Dreyfuss se balade dans les couloirs de son lycée avec en fond sonore les sons de la fête de fin d'année... Toute cette scène est emplie de nostalgie. Les scènes avec Richard Dreyfuss sont d'ailleurs parmi les plus belles du film je trouve (l'apparition de la blonde et sa quête d'une nuit pour la retrouver...).
Supfiction a écrit : ↑1 avr. 21, 08:52
(les vieux surtout qui le trouvent kitsch)
Dont évidemment Pierre Murat, que l'on peut officiellement qualifier de sénile tant ses interventions sont toutes, sans la moindre exception, à côté de la plaque.
La première fois que j'ai eu le gros guide Télérama entre les mains (il y a quinze ans, Anouar-el ça date), à le lire je m'étais écrié : Un Jean-Louis Bory au petit pied. Il lui est bien sûr arrivé quelques occasions pour se racheter, mais pas complètement.
LU SUR FORUM A MONTRES : "(...) maintenant c'est clair que Festina c'est plus ce que c'était(...)"
