Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
Le Woody Allen était un petit cru 2002 sympatoche. Par contre l'Attaque des Clones...les gens hurlaient dans la salle lors du générique et il régnait un silence de mort lors du clap de fin. Ce film est horrible, j'avais réussi à le trouver pire que la Menace Fantôme qui comportait un Jar Jar Binks insupportable. Pour moi c'est le pire de la seconde trilogie. Je me le suis retapé avec mes gamins il n'y a pas longtemps et le temps ne l'a pas réévalué à mes yeux. Les CGI étaient déjà moches à l'époque et ressemblent à des cinématiques du Méga-CD.
Est-ce que c'est toi John Wayne? Où est-ce que c'est moi?
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
Vu les trois premiers, presque aucun souvenir des séances pour les deux premiers (à part que je m'étais emmerdé devant L'attaque des clowns), mais moi aussi j'avais bien aimé le Woody.
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
J'annule et remplace le Méga-CD par le CDI Philips. Je suis sûr de froisser personne
Est-ce que c'est toi John Wayne? Où est-ce que c'est moi?
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
(c'est pas faux)
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
Vu l'Episode 2 évidemment, 3 ans après le 1 on se disait tous "Bon allez cette fois c'est bon, c'est la que ca commence vraiment!"
Le remède était pire que le mal? L'action faisait un peu illusion mais tout le reste ne tenait pas en tentant une redite maladroite de l'épisode 5 (même structure).
Au bout de 2 films la Prelo était plus que mal barrée.
Rétrospectivement la Prelo regagne un semblant d'aura positive aujourd'hui grâce aux cataclysmiques films de Mickey.
Je sais pas comment j'aurais réagi a l'époque si on m'avait dit "Dans 13 ans Disney va faire des SW encore pires que ceux la"
Vu Emprise aussi, pas revu depuis un bail.
Le remède était pire que le mal? L'action faisait un peu illusion mais tout le reste ne tenait pas en tentant une redite maladroite de l'épisode 5 (même structure).
Au bout de 2 films la Prelo était plus que mal barrée.
Rétrospectivement la Prelo regagne un semblant d'aura positive aujourd'hui grâce aux cataclysmiques films de Mickey.
Je sais pas comment j'aurais réagi a l'époque si on m'avait dit "Dans 13 ans Disney va faire des SW encore pires que ceux la"
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- Karras
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
Les sorties du 22 mai 2002
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
L'attaque des clones était l'un des 1ers films tournés en numérique,il faut être indulgent et 20 ans après ça reste largement plus regardable qu'Avatar!
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
Laisse tomber, tu te fais du mal.
De toutes façons, continuer à parler des films séparément et même des trilogies est risible car il s'agit d'une saga. Donc c'est tous les films.
Quant au rendu jeu vidéo (la bonne blague quand on sait que la course de podracers était un hommage à Ben-Hur), c'est plutôt du côté du premier Spiderman qu'il faut chercher.
L.R
De toutes façons, continuer à parler des films séparément et même des trilogies est risible car il s'agit d'une saga. Donc c'est tous les films.
Quant au rendu jeu vidéo (la bonne blague quand on sait que la course de podracers était un hommage à Ben-Hur), c'est plutôt du côté du premier Spiderman qu'il faut chercher.
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
Ah parce que ce serait risible de penser que certains films de la saga seraient moins satisfaisants que d'autres puisqu'ils font partie d'un tout s'étalant sur plus de 40 ans ?! On se demande où se situe le ridicule.LeRationaliste a écrit : ↑20 mai 22, 09:13
De toutes façons, continuer à parler des films séparément et même des trilogies est risible car il s'agit d'une saga. Donc c'est tous les films.
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
Il m'était, et m'est toujours, impossible d'avoir un avis sur Irréversible.
Tout ce que je pouvais en dire est qu'il dégageait les sinus. Mais son nihilisme rhétorique ("il n'y a pas de méfaits, rien que des faits" , proféré par un personnage) me laissait à l'écart du film.
Tout ce que je pouvais en dire est qu'il dégageait les sinus. Mais son nihilisme rhétorique ("il n'y a pas de méfaits, rien que des faits" , proféré par un personnage) me laissait à l'écart du film.
Comme "le Temps de l'innonce" et "A tombeau ouvert", "Killers of the Flower Moon" , très identifiable martinien, est un film divisiblement indélébile et insoluble, une roulade avant au niveau du sol, une romance dramatique éternuante et hilarante.
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
Un peu la même. Je ne suis pas sûr de pouvoir le revoir. Le texte de fin "Le temps détruit tout" m'avait semblé assez vain, à l'image du film.Alexandre Angel a écrit : ↑20 mai 22, 09:29 Il m'était, et m'est toujours, impossible d'avoir un avis sur Irréversible.
Tout ce que je pouvais en dire est qu'il dégageait les sinus. Mais son nihilisme rhétorique ("il n'y a pas de méfaits, rien que des faits" , proféré par un personnage) me laissait à l'écart du film.
Si la saga continue encore quelques décennies ça va devenir compliqué d'émettre le moindre avis.LeRationaliste a écrit : ↑20 mai 22, 09:13 De toutes façons, continuer à parler des films séparément et même des trilogies est risible car il s'agit d'une saga. Donc c'est tous les films.
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
C'est une erreur d'appréciation du concept élaboré par Lucasfilms. Avec ou sans George Lucas.Jeremy Fox a écrit : ↑20 mai 22, 09:17Ah parce que ce serait risible de penser que certains films de la saga seraient moins satisfaisants que d'autres puisqu'ils font partie d'un tout s'étalant sur plus de 40 ans ?! On se demande où se situe le ridicule.LeRationaliste a écrit : ↑20 mai 22, 09:13
De toutes façons, continuer à parler des films séparément et même des trilogies est risible car il s'agit d'une saga. Donc c'est tous les films.
Les neufs films présentent le même constat : ils ont des défauts, mais comparé au reste, ce ne sont que des anicroches qui interdisent de n'en dire que du mal.
C'est la même démarche que pour le Seigneur des Anneaux : il est cohérent et respectueux du concept que de considérer la trilogie comme un seul film de 13h. Ou les six films, un film de 20h. Surtout si l'on prend en considération que Tolkien avait réécrit le Hobbit pour qu'il colle mieux aux livres suivants.
Sachant que Lucas avait voulu quatre trilogies au tout départ, il reste cette dernière marge. Le reste, ce ne sera que spin off et bouche trou. Et puis de toutes façons, faire perdurer la saga comme James Bond était déjà envisagé à une époque. Et par Gary Kurtz.Si la saga continue encore quelques décennies ça va devenir compliqué d'émettre le moindre avis.
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
Amen. Le grand Manitou de Star Wars a parlé.LeRationaliste a écrit : ↑20 mai 22, 10:05
C'est une erreur d'appréciation du concept élaboré par Lucasfilms. Avec ou sans George Lucas.
Les neufs films présentent le même constat : ils ont des défauts, mais comparé au reste, ce ne sont que des anicroches qui interdisent de n'en dire que du mal.
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Re: Il y a 20 ans au cinéma ("P*****, 20 ans...")
Okiiiiiiiiey, donc c'était il y a 20 piges. Je me souvient plus pourquoi j'ai été trois fois au cinéma en trois jours cette semaine là, alors que j'avais le Bac à préparé ... mais bon :
Irréversible - expérience ambivalente durant un séance en fin d'après-midi, après les cours. Grande salle toute neuve de 200 places dans un magnifique cinéma A&E, retour "ohhhh ahhh hannnn mon dieu" des critiques à Cannes, et donc idéal pour faire une com' EZ. Arrivé 10 minutes avant, personne dans la salle ; 5 minutes avant, personne. La pub arrive : personne. Et là, gros flip. Parce-que on idéalise les retours, les peurs, le fait que c'est du Gaspard Noé.
Fascination et répulsion.
Donc salle vide à 99%, une personne pour la séance, moi. Et pas envie de revoir le film. Trauma.
Le Défi, unique film de Blanca Li, proposé par deux copines de classe. Séance dans un multiplexe, en fin d'après-midi. Trois personnes. Musique sublime de Matthew "Mr Bricolage Génie" Herbert, prise de risque d'être à la fois ambitieux et populaire. Histoire très bateau de rencontre amoureuse, mais le melting-pot des styles de danse, des années 30 à 2002 est jubilatoire. Reste que, produit par TF1, le film reste une anomalie et il est devenu un flop.
J'ai vu Kedma aussi, mais aucun souvenir. Reste que 2002 est le début d'une longue histoire d'amitié avec le festival de Cannes.
Irréversible - expérience ambivalente durant un séance en fin d'après-midi, après les cours. Grande salle toute neuve de 200 places dans un magnifique cinéma A&E, retour "ohhhh ahhh hannnn mon dieu" des critiques à Cannes, et donc idéal pour faire une com' EZ. Arrivé 10 minutes avant, personne dans la salle ; 5 minutes avant, personne. La pub arrive : personne. Et là, gros flip. Parce-que on idéalise les retours, les peurs, le fait que c'est du Gaspard Noé.
Fascination et répulsion.
Donc salle vide à 99%, une personne pour la séance, moi. Et pas envie de revoir le film. Trauma.
Le Défi, unique film de Blanca Li, proposé par deux copines de classe. Séance dans un multiplexe, en fin d'après-midi. Trois personnes. Musique sublime de Matthew "Mr Bricolage Génie" Herbert, prise de risque d'être à la fois ambitieux et populaire. Histoire très bateau de rencontre amoureuse, mais le melting-pot des styles de danse, des années 30 à 2002 est jubilatoire. Reste que, produit par TF1, le film reste une anomalie et il est devenu un flop.
J'ai vu Kedma aussi, mais aucun souvenir. Reste que 2002 est le début d'une longue histoire d'amitié avec le festival de Cannes.