Piercelire a écrit :Fight club c'est bien à 14 ans
C'est naze et vide avec le recul, film de rebelle à la con.
Il faut avoir douze ans d’âge mental pour le voir comme un film rebelle.
Le film se la joue rebelle objectivement et tu le sais trés bien.
Film maniéré et qui veut se la jouer grande oeuvre comme beaucoup de Fincher d'ailleurs.
Piercelire a écrit :Fight club c'est bien à 14 ans
C'est naze et vide avec le recul, film de rebelle à la con.
J'aime cette assurance... Ces arguments, ces idées convaincantes qui peuvent faire changer les mœurs. J'aime cette pertinence, cette volonté de discuter par l'enchevêtrement de paragraphes un tantinet élaborés.
Tu crois que je vais faire un roman sur cette purge adulé par les gilets jaunes.
Watkinssien a écrit :
J'aime cette assurance... Ces arguments, ces idées convaincantes qui peuvent faire changer les mœurs. J'aime cette pertinence, cette volonté de discuter par l'enchevêtrement de paragraphes un tantinet élaborés.
Tu crois que je vais faire un roman sur cette purge adulé par les gilets jaunes.
J'ai vu un gros paquet de tous les films cités au cinéma et je réalise vraiment qu'on vivait un petit âge d'or où les grands films voire les chefs d'œuvre s'enchaînaient.
D'ailleurs, rétrospectivement de nombreux critiquent s'accordent à dire que 1999 fut une année particulièrement exceptionnelle pour le cinéma occidental.
Et puis comme beaucoup d'entre vous c'est le souvenir des premières séances au ciné Cité des halles, de Bercy, de feu la plupart des salles des champs Elysées ou du cinéma Casino d'Antibes. J'associe tout ça à la decouverte de la liberté, à la fac, à une espèce de douce insouciance et peut être une forme de naïveté. De belles années.
Dernière modification par Joshua Baskin le 11 avr. 19, 11:11, modifié 1 fois.
Max Schreck a écrit :Le Medem est une merveille inoubliable.
Découvert hier et beaucoup aimé. C'est poétique et très bien filmé.
Du même réal, tu peux tenter ensuite L'Ecureuil rouge et Lucia y el sexo.
Joshua Baskin a écrit :
Et puis comme beaucoup d'entre vous c'est le souvenir des premières séances au ciné Cité des halles, de Bercy, de feu la plupart des salles des champs Elysées ou du cinéma Casino d'Antibes. J'associe tout ça à la decouverte de la liberté, à la fac, à une espèce de douce insouciance et peut être une forme de naïveté. De belles années.
Oui, et les cinéphiles parisiens pouvaient encore fréquenter le Kinopanorama et le Grand écran italie.
Je suis allé une fois au Gaumont Italie dans une toute petite salle pour voir Max sur Hitler peintre, donc jamais profité du grand écran.
J'avais en revanche adoré le kinopanorama mais j'avais quasi détesté le seul film vu là-bas (M.I 2).
Joshua Baskin a écrit :Je suis allé une fois au Gaumont Italie dans une toute petite salle pour voir Max sur Hitler peintre, donc jamais profité du grand écran.
J'avais en revanche adoré le kinopanorama mais j'avais quasi détesté le seul film vu là-bas (M.I 2).
Un peu comme le Max Linder par la suite, c'est le genre de salle que j'aimais privilégier pour des sorties événements. J'ai notamment revu Rencontres du 3e type au Kino, et au Grand écran j'ai notamment le souvenir d'avoir revu 2001, mais aussi découvert La Communauté de l'anneau (qui m'avait pas plu) ou le King Kong de Jackson (que j'avais vraiment vécu comme une expérience).
Watkinssien a écrit :
J'aime cette assurance... Ces arguments, ces idées convaincantes qui peuvent faire changer les mœurs. J'aime cette pertinence, cette volonté de discuter par l'enchevêtrement de paragraphes un tantinet élaborés.
Tu crois que je vais faire un roman sur cette purge adulé par les gilets jaunes.
Ben, pour l'instant, je ne te crois pas capable de faire un paragraphe de 10 lignes, alors un roman.
Joshua Baskin a écrit :
Et puis comme beaucoup d'entre vous c'est le souvenir des premières séances au ciné Cité des halles, de Bercy, de feu la plupart des salles des champs Elysées ou du cinéma Casino d'Antibes. J'associe tout ça à la decouverte de la liberté, à la fac, à une espèce de douce insouciance et peut être une forme de naïveté. De belles années.
Oui, et les cinéphiles parisiens pouvaient encore fréquenter le Kinopanorama et le Grand écran italie.
Les gars, vous oubliez un peu vite l'Orient Express. Le nombre de petits films de genre un peu obscurs que j'ai pu découvrir là-bas (dans des conditions souvent ubuesques, mais bon quand même...).
Max Schreck a écrit :
Oui, et les cinéphiles parisiens pouvaient encore fréquenter le Kinopanorama et le Grand écran italie.
Les gars, vous oubliez un peu vite l'Orient Express. Le nombre de petits films de genre un peu obscurs que j'ai pu découvrir là-bas (dans des conditions souvent ubuesques, mais bon quand même...).
Aaaah découvrir Le Métier des armes d'Ermano Olmi avec les bruits de pas au-dessus de la tête et le bruit et les vibrations des RER en-dessous de la salle... Ça restera à jamais un grand souvenir !