Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Je pense qu’Intouchables ne passerait plus déjà aujourd’hui avec les e-woke. C’était déjà le cas chez les américains lors de sa sortie, et comme ils ont de moins en moins d’avance sur nous..
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Supfiction a écrit : ↑24 nov. 20, 20:43 Je pense qu’Intouchables ne passerait plus déjà aujourd’hui avec les e-woke.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
C'était en partie déjà un peu le cas à la sortie du film en France, non ?Supfiction a écrit : ↑24 nov. 20, 20:43 Je pense qu’Intouchables ne passerait plus déjà aujourd’hui avec les e-woke. C’était déjà le cas chez les américains lors de sa sortie, et comme ils ont de moins en moins d’avance sur nous..
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Omar Sy serait désormais une sorte d'Oncle Tom de l'humour, à en juger par les réactions de certains. Ce personnage n'est pas nouveau et bon enfant. Ils se "woke" un peu tard, ces outrés d'Internet!
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
« N*gre de service ».
Le « * » qui est révélateur des incuries de la pensée millennial / woke aux légumes de l’époque. On emploie le mot nègre mais on ne veut pas employer le mot nègre. Tout un symbole : on veut interdire un mot tout en se rendant compte que sans ce mot on ne peut plus penser ce qu'on voulait dire.
C’est une époque formidable. Les historiens vont se régaler dans quelques années quand il s’agira de l’étudier.
Le « * » qui est révélateur des incuries de la pensée millennial / woke aux légumes de l’époque. On emploie le mot nègre mais on ne veut pas employer le mot nègre. Tout un symbole : on veut interdire un mot tout en se rendant compte que sans ce mot on ne peut plus penser ce qu'on voulait dire.
C’est une époque formidable. Les historiens vont se régaler dans quelques années quand il s’agira de l’étudier.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Comme d'habitude, c'est intéressant d'aller voir par soi même sur quoi se base l'article. 3 tweets dont 2 ont moins de 5 réactions. Le troisième, effectivement plus partagé et retweeté, a surtout provoqué des réponses et retweets qui le critiquent négativement.
Que ces trois pauvres tweets d'inconnus soient ridicules, nous sommes évidemment d'accord. Mais qu'un média réputé comme Marianne écrive tout un article sur si peu, ça c'est désolant. Surtout quand, ici ou ailleurs, on reprend les mêmes éléments de langage sans le moindre esprit critique.
Sérieusement, il doit y avoir plus de caractères dans l'article de Marianne que dans l'ensemble des tweets "woke" dont il parle... L'intention derrière cet article est tellement évident, comment on peut tomber dans le panneau ?
Que ces trois pauvres tweets d'inconnus soient ridicules, nous sommes évidemment d'accord. Mais qu'un média réputé comme Marianne écrive tout un article sur si peu, ça c'est désolant. Surtout quand, ici ou ailleurs, on reprend les mêmes éléments de langage sans le moindre esprit critique.
Sérieusement, il doit y avoir plus de caractères dans l'article de Marianne que dans l'ensemble des tweets "woke" dont il parle... L'intention derrière cet article est tellement évident, comment on peut tomber dans le panneau ?
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Jamais compris l'engouement autour de ce film, mais ca m'etonnerait qu' Intouchables ne puisse pas sortir aujourd'hui ...tenia a écrit : ↑25 nov. 20, 11:48C'était en partie déjà un peu le cas à la sortie du film en France, non ?Supfiction a écrit : ↑24 nov. 20, 20:43 Je pense qu’Intouchables ne passerait plus déjà aujourd’hui avec les e-woke. C’était déjà le cas chez les américains lors de sa sortie, et comme ils ont de moins en moins d’avance sur nous..
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Déjà qu'avec les statues, ils préfèrent, comme tout bon extrémiste, jeter le bébé avec l'eau du bain plutôt que faire le droit d'inventaire, là, ils pensent qu'effacer les mots va régler le problème du racisme. S'attaquer aux symboles, c'est capituler devant la réalité, car déboulonner une statue n'empêche pas des noirs de se faire tuer en toute impunité dans certains États. Pas plus que de ne plus lire des livres écrits par des hommes empêche des femmes de se faire violer, mal payer, etc.Coxwell a écrit : ↑26 nov. 20, 08:18 « N*gre de service ».
Le « * » qui est révélateur des incuries de la pensée millennial / woke aux légumes de l’époque. On emploie le mot nègre mais on ne veut pas employer le mot nègre. Tout un symbole : on veut interdire un mot tout en se rendant compte que sans ce mot on ne peut plus penser ce qu'on voulait dire.
C’est une époque formidable. Les historiens vont se régaler dans quelques années quand il s’agira de l’étudier.
C'est la même histoire : on s'imagine que l'intention précède la réalité.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Il pourrait tout à fait sortir, mais il faudrait un vrai paraplégique dans le rôle de Cluzet.
Et un vrai noir dans celui d'Omar Sy.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
T'es en forme doudou dis-donc
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Fais péter l'intention ! J'attends un bon petit "Heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire" de derrière les fagots.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Enfin, Jean-Pierre, consacrer un article à l'opinion de 3 clampins lambda, quand cette opinion est propre à faire réagir, c'est une simple envie de faire de la mousse avec rien pour vendre du papier, je crois que c'est clair. C'est la dame du RER, cette histoire...Jean-Pierre Festina a écrit : ↑26 nov. 20, 17:29Fais péter l'intention ! J'attends un bon petit "Heures-les-plus-sombres-de-notre-histoire" de derrière les fagots.
Après, ça a sans doute comme effet secondaire d'agiter un peu les raleurs que le sujet titille déja bien un peu, avec un peu de chance il y en a un qui va twitter une connerie, sur laquelle on pourra publier un nouvelle article... Le journalisme 2.0 en somme.
I love movies from the creation of cinema—from single-shot silent films, to serialized films in the teens, Fritz Lang, and a million others through the twenties—basically, I have a love for cinema through all the decades, from all over the world, from the highbrow to the lowbrow. - David Robert Mitchell