Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Ca fait des années qu'il n'a plus aucun rôle a la hauteur de son talent
Je pense que ces ennuis avec l'alcool en sont au moins autant responsable que ses démêlés judiciaires ...
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
On a des nouvelles de son film sur Tupac/Biggie ?
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Le procès qu'il a perdu contre le Sun n'a rien à voir avec le procès contre Amber Heard (qui doit se tenir bientôt ) et la cour de Virginie qui gère le procès a dit à Depp qu'il devait être présent en personne, donc il ne peut pas tourner (donc ça retarde FB 3), en plus il a un salaire à minimum 10 millions de dollars, rien ne dit qu'il gagnera son procès suivant et c'est donc une grosse épine dans le pied de la Warner. Ça parait logique de l'avoir écarté vu le pognon que représente le tournage du film, c'est pas de la philanthropie le cinéma.LeRationaliste a écrit : ↑7 nov. 20, 00:06 Il faut ajouter le bénéfice du doute.
En gros, Johnny Depp et Amber Heard se sont rencontrés et ont divorcé de leurs partenaires respectifs pour se marier dans le plus grand secret. Et au début, ils filent le parfait amour.
Ensuite, la dulcinée (deux fois moins âgée que lui) accuse de violences conjugales sous l'emprise d'alcool et de drogues (allant jusqu'à la trainer sur une table de ping-pong jonchée de morceaux de verre), ce que Depp, ses amis et son ex démentent formellement (Vanessa Paradis décrivant Heard comme une sociopathe arriviste). Pour l'instant, le seul procès qui a eu lieu est en diffamation.
Par la suite, des enregistrements ont révélé qu'au mieux, Heard rendait les coups en allant jusqu'à lui couper un doigt et déféquer dans son lit pour rigoler. Elle l'a menacé en disant que personne ne le croira parce que c'est un mec.
Au lieu d'attendre gentiment que les deux tourtereaux règlent leurs différents (le procès pour violences congugales n'a pas encore eu lieu) ou au pire d'écarter les deux, le studio écarte Johnny Depp et pas Amber Heard.
L.R
Et Amber Heard surtout elle représente zéro par rapport à ce qu'il reste de l'aura de Depp, c'est une actrice de troisième zone (ce qui explique la différence de traitement...pour le moment).
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
A part ténia qui est toujours mesuré, on peut les chercher ces personnes.kiemavel a écrit : ↑22 nov. 20, 13:32Alors Sean, il faut distinguer les conneries qui sont dites sur les rôles qu'il a pu tenir (encore qu'il faudrait là aussi nuancer mais sur ce point là je suis plus ou moins d'accord avec la meute, la tienne pour le coup, la majorité hulullante qui s'exprime et occupe le terrain ici) ... et celles qu' il a dite
Quant au reste, pour prendre l'exemple de Gone with the Wind, du délire, j'en ai vu des deux cotés, venant de ceux qui réclament l'interdiction du film, comme de ceux qui ont commenté la situation ici même qui sont montés sur leur poney et se sont emballés. Il reste quoi de tout ça ? Un avertissement liminaire. Et puis quoi ?
Pour aller au fond du problème, j'aimerais bien savoir comment réagiraient les petits blancs d'aujourd'hui si c'était leur aïeuls qui étaient représentés ainsi au cinéma. Pour présenter le problème de manière peut-être simplette ...
@supfiction. Je ne suis pas passé à coté ... et j'ai bien noté votre complaisance à relayer ici - à n'en plus finir - uniquement les délires des "revendicateurs" et la façon de rentrer consciencieusement dans la gueule de ceux qui tentaient d’aborder les problèmes de fond par la base.
De quel problème de fond s’agit-il comme dit Major Dundee ? Là encore on a jamais trouvé de désaccord de fond ici.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
De mieux en mieux, il n'y a pas eu d'opposants, de désaccords, pas d'échanges venimeux ... pas plus de problèmes de fond dans ce pays qui nage en pleine euphorie ... et t'as Jean l' humoriste qui botte en touche.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Ah ça des échanges venimeux, ça ne manque pas. Mais une vraie discussion sur un désaccord de fond, non je n’en ai pas vu sur ce topic.
Tout ce que j’ai vu c’est des gens qui râlent sur des gens qui râlent sur des gens qui jettent l’opprobre sur de vieux films ou des acteurs morts parce que selon eux, ils seraient la cause des violences et injustices faites aux femmes aujourd’hui. Violences et injustices que PERSONNE n’a remis en question ici.
Mais il est plus facile de tacler un acteur mort la veille sans droit de réponse que de mener le combat contre MCbatard et ses clips misogynes bien d’aujourd’hui eux.
Tout ce que j’ai vu c’est des gens qui râlent sur des gens qui râlent sur des gens qui jettent l’opprobre sur de vieux films ou des acteurs morts parce que selon eux, ils seraient la cause des violences et injustices faites aux femmes aujourd’hui. Violences et injustices que PERSONNE n’a remis en question ici.
Mais il est plus facile de tacler un acteur mort la veille sans droit de réponse que de mener le combat contre MCbatard et ses clips misogynes bien d’aujourd’hui eux.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
D'où tu tiens que je faisais de l'humour ?
Tes "petits blancs" et tes "fragiles" que tu aimes ressortir, c'était de l'humour ? Parce que pour ce genre de rhétorique, j'ai la chaîne AJ+, Aurélien Taché, plus le paquet des "Je suis Charlie mais", et crois moi ça aussi ça fait du monde, et pas toujours du joli si je puis me permettre. Donc on se calme.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Tu peux faire autant d'effets que tu veux, ce passage que tu as quoté " petits blancs " il provient de là :Jean-Pierre Festina a écrit : ↑22 nov. 20, 15:31 D'où tu tiens que je faisais de l'humour ?
Tes "petits blancs" et tes "fragiles" que tu aimes ressortir, c'était de l'humour ? Parce que pour ce genre de rhétorique, j'ai la chaîne AJ+, Aurélien Taché, plus le paquet des "Je suis Charlie mais", et crois moi ça aussi ça fait du monde, et pas toujours du joli si je puis me permettre. Donc on se calme.
Et ça, c'est vraiment énervant ?kiemavel a écrit : ↑22 nov. 20, 13:32
Quant au reste, pour prendre l'exemple de Gone with the Wind, du délire, j'en ai vu des deux cotés, venant de ceux qui réclament l'interdiction du film, comme de ceux qui ont commenté la situation ici même, qui sont montés sur leur poney et se sont emballés. Il reste quoi de tout ça ? Un avertissement liminaire. Et puis quoi ?
Pour aller au fond du problème, j'aimerais bien savoir comment réagiraient les petits blancs d'aujourd'hui si c'était leur aïeux qui étaient représentés ainsi au cinéma. Pour présenter le problème de manière peut-être simplette ...
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Je vois pas trop la différence...kiemavel a écrit : ↑22 nov. 20, 17:15Tu peux faire autant d'effets que tu veux, ce passage que tu as quoté " petits blancs " il provient de là :Jean-Pierre Festina a écrit : ↑22 nov. 20, 15:31 D'où tu tiens que je faisais de l'humour ?
Tes "petits blancs" et tes "fragiles" que tu aimes ressortir, c'était de l'humour ? Parce que pour ce genre de rhétorique, j'ai la chaîne AJ+, Aurélien Taché, plus le paquet des "Je suis Charlie mais", et crois moi ça aussi ça fait du monde, et pas toujours du joli si je puis me permettre. Donc on se calme.Et ça, c'est vraiment énervant ?kiemavel a écrit : ↑22 nov. 20, 13:32
Quant au reste, pour prendre l'exemple de Gone with the Wind, du délire, j'en ai vu des deux cotés, venant de ceux qui réclament l'interdiction du film, comme de ceux qui ont commenté la situation ici même, qui sont montés sur leur poney et se sont emballés. Il reste quoi de tout ça ? Un avertissement liminaire. Et puis quoi ?
Pour aller au fond du problème, j'aimerais bien savoir comment réagiraient les petits blancs d'aujourd'hui si c'était leur aïeux qui étaient représentés ainsi au cinéma. Pour présenter le problème de manière peut-être simplette ...
C'est ton droit d'accuser le cinéma de charrier une vision orientée des rapports entre les ethnies ou entre les sexes ; accepte en retour que ta rhétorique à base de "petits blancs" soit orientée elle aussi : c'est un langage précis, qui relève d'une idéologie identifiable. Mais je veux bien mettre ça sur le compte de l'étourderie, ou d'une de tes curieuses tentatives d'humour, si fin qu'on ne le voit même pas.
Essaye d'être un peu moins merdeux là-dessus : (dans le topic des bonnes affaires de chez Noz, p.49) :
Qui refuserait de se faire traiter de raciste avec autant d'élégance... ?kiamavel a écrit : à 1, 50 :
Devine qui vient diner ? Kramer
(attention, c'est pas pour les fragiles du genre yapudeloukoums ou le grand pote de " l' oustachi partout ")
Et je te fais cadeau de "mes effets" comme tu dis. J'y trouve aussi un petit goût de saloperie mais c'est dimanche et j'ai pas envie de me prendre la tête, un kiamavel averti en vaut deux.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Hé, moi aussi, je veux bien une de tes montres... C'est bientôt Noël, allez quoi!
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
L'expression " petits blancs " suffit ainsi à me mettre dans une case idéologique C'est vite dit quand même. Est ce que le propos général rend compte de mon appartenance à cet idéologie comme tu dis ? C'est absolument grotesque. " petits blancs " était évidement ironique.Jean-Pierre Festina a écrit : ↑22 nov. 20, 19:00 Je vois pas trop la différence...
C'est ton droit d'accuser le cinéma de charrier une vision orientée des rapports entre les ethnies ou entre les sexes ; accepte en retour que ta rhétorique à base de "petits blancs" soit orientée elle aussi : c'est un langage précis, qui relève d'une idéologie identifiable. Mais je veux bien mettre ça sur le compte de l'étourderie, ou d'une de tes curieuses tentatives d'humour, si fin qu'on ne le voit même pas.
averti de quoi ? Tu m'avertis 6 mois après, c'est ça C'est un message qui ne date que de juin. Avec un brin de provoc, je te dirais que c'est à se demander qui se sent merdeux. Mais depuis 6 mois, c'est vrai , des allusions connotés idéologiquement , il y en a moins. Et surtout, elles passent sans ambiguïté pour de l'humour. Si c'en était /est tout le temps, je fais mon mea culpa.Essaye d'être un peu moins merdeux là-dessus : (dans le topic des bonnes affaires de chez Noz, p.49) :
Qui refuserait de se faire traiter de raciste avec autant d'élégance... ?kiamavel a écrit : à 1, 50 :
Devine qui vient diner ? Kramer
(attention, c'est pas pour les fragiles du genre yapudeloukoums ou le grand pote de " l' oustachi partout ")
Et je te fais cadeau de "mes effets" comme tu dis. J'y trouve aussi un petit goût de saloperie mais c'est dimanche et j'ai pas envie de me prendre la tête, un kiamavel averti en vaut deux.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
OK tu peux circuler.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Sous le cadran visséMosin-Nagant a écrit : ↑22 nov. 20, 19:22Hé, moi aussi, je veux bien une de tes montres... C'est bientôt Noël, allez quoi!
De ma Fossil 20 bars,
J'ai déposé mes couilles en lieu sûr.
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Re: Déni du fantasme, moralisation douteuse et féminisme dévoyé
Jean Ferrat?Jean-Pierre Festina a écrit : ↑22 nov. 20, 22:20Sous le cadran vissé
De ma Fossil 20 bars,
J'ai déposé mes couilles en lieu sûr.
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