Supfiction a écrit :J'ai enfin vu il y a quelques jours le N°1 du Classement 2017. Le film ne m'a pas fait plus d'effet qu'un bon reportage télé sur les coulisses de l'Opéra de Paris. Je continue donc de trouver qu'il n'avait pas sa place dans ce classement.
No 1 du classement, c'est une bizarrerie qui vient du peu de personnes l'ayant noté et très bien noté, un peu comme Mes provinciales dans les 5 premiers en 2018. Après, c'est un très bon documentaire, c'est quand même très nettement au-dessus d'un reportage télé
"pour cet enfant devenu grand, le cinéma et la femme sont restés deux notions absolument inséparables", Chris Marker
C'est ultra décevant, plus comique qu'horrifique, mais l'humour est navrant, donc il ne reste pas grand chose.
Le dosage était pourtant parfait dans Tucker et Dale fightent le mal, mais sept ans plus tard Evil Craig s'est perdu...
Cult-O-Ciné, c'est notre web-émission dans laquelle les intervenants revivent leur expériences salles les plus intenses.
Aujourd'hui, on se souvient du jour où un cinéaste belge a emmené une salle complète de l'autre côté du grand-écran pour suspendre l'assistance aux moindres battements de coeur de son héroïne.
Noces, de Stephen Streker, notre coup de coeur de 2017.
Pour la bande-son, souvent excellente, et quelques cascades de bagnoles spectaculaires.
Pour le reste, Edgar Wright s'essaye à la coolitude en mixant une dose de Drive et un soupçon de comédie de gangsters façon Guy Ritchie, sauf que la sauce ne prend pas, qu'il n'a strictement rien à dire, que son scénario frise souvent le ridicule et que ses acteurs tantôt cabotinent (Kevin Spacey et Jamie Foxx en tête), tantôt font dans le minimaliste insipide (Ansel Elgort dans le rôle titre).
Zelda Zonk a écrit : ↑11 mai 21, 11:31
le minimaliste insipide (Ansel Elgort dans le rôle titre).
Je l'aime bien moi. Il aurait été parfait en jeune Solo dans le film qui porte le même nom.
Et je sens qu'il va mettre tout le monde d'accord chez Spielberg (malgré les "affaires" qui tournent autour de lui).
Même si l'histoire pâtit parfois d'ellipses gênantes, j'aime beaucoup ce genre de "petit" polar, au casting parfait et à la violence frontale souvent surprenante.
