J’attendais avec une certaine fébrilité le dernier film de Denis Villeneuve, cinéaste qui ne m’a certes pleinement convaincu qu’une seule fois (pour Incendies), mais qui semblait ici rassembler dans son escarcelle quelques atouts non négligeables. Une SF adulte et réfléchie en premier lieu, n’offrant pas si souvent l’occasion de déployer ses ailes à l’écran. Mon gros capital sympathie pour Amy Adams d'une part, les critiques globalement positives d'autre part, contribuaient à accentuer l’heureuse disposition qui était la mienne en allant découvrir la chose. Au final, le bilan n’est pas aussi enthousiasmant que j’aurais pu l’espérer mais tout à fait recommandable. Il permet en tout cas de mesurer un peu plus l’influence qu’exerce aujourd’hui un réalisateur comme Christopher Nolan, dont les structures narratives complexes et l’approche scientiste des sujets tentent d'assumer pleinement une dimension plus mélodramatique. Toujours cette idée, très belle sur le papier, que l'expérience la plus grandiose et la plus collective (une arrivée d'extraterrestres et ses conséquences diverses sur l'humanité) se résout dans le cœur et l'intimité d'un seul et unique personnage. Il est à peu près impossible d'éclairer ici plus explicitement la thématique développée sans dévoiler quelques aspects cruciaux de l'intrigue. Je me bornerai donc à signaler que ce qui apparaît dès le prologue comme une véritable enclume (le bon vieux trauma plombant la psyché de l’héroïne) et suscite d'emblée la suspicion est habilement retourné au fil d’un récit qui s’interroge sur la notion même de temps – questionnement qui dicte en partie l’agencement des images et leur réception à la fois par le spectateur et par la protagoniste. Premier Contact est une œuvre qui vise sans doute l’inquiétude plus que l’émerveillement, le doute plus que l’exaltation, ce que tend à signifier la prestation butée et concentrée, particulièrement convaincante, d’Amy Adams. La révélation qui s’éclaircit peu à peu tandis que l’aventure formule sur son propos sur les modalités, la nature et les fonctions du langage pourra sans doute faire tiquer, de même que l’on pouvait légitimement hausser les sourcils devant les résolutions d’équations universelles à base de messages en morse dans Interstellar. Ce virage "explicatif", qui semble être un impératif propre à bien des films de SF se voulant ambitieux, est toujours difficile à négocier, et Villeneuve n’est pas sans y laisser lui non plus quelques plumes. Dans ces moments où l’investissement intellectuel laisse un peu l’émotion sur le carreau, la belle contemplation de la première partie (approche angoissée, découvertes incrédules, premier contact : le meilleur morceau) recule devant quelque chose de plus narratif, de plus tordu, et même temps de plus attendu. Le film n’évite pas certains écueils, à commencer par la visualisation tout ce qu’il a de plus cliché des aliens (grosso modo : de gros mollusques à tentacules), et on ne peut que regretter les idées de Zemeckis dans Contact (un film que j’aime énormément et sans doute le meilleur du genre avec les classiques de Spielberg), qui avait su poétiser la rencontre et le caractère irreprésentable d’une intelligence supérieure en l’accordant à la mémoire et à l’imaginaire personnelles de son héroïne. Mais globalement, c’est une jolie réussite, humble, touchante et captivante, qui devrait pouvoir convaincre ceux qui, comme quoi, sont naturellement acquis à ce genre de films.
Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
- Thaddeus
- Ewok on the wild side
- Messages : 6180
- Inscription : 16 févr. 07, 22:49
- Localisation : 1612 Havenhurst
Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Lorsque de mystérieux vaisseaux venus du fond de l’espace surgissent un peu partout sur Terre, une équipe d’experts est rassemblée sous la direction de la linguiste Louise Banks afin de tenter de comprendre leurs intentions. Face à l’énigme que constituent leur présence et leurs messages mystérieux, les réactions dans le monde sont extrêmes et l’humanité se retrouve bientôt au bord d’une guerre absolue. Louise Banks et son équipe n’ont que très peu de temps pour trouver des réponses. Pour les obtenir, la jeune femme va prendre un risque qui pourrait non seulement lui coûter la vie, mais détruire le genre humain.
J’attendais avec une certaine fébrilité le dernier film de Denis Villeneuve, cinéaste qui ne m’a certes pleinement convaincu qu’une seule fois (pour Incendies), mais qui semblait ici rassembler dans son escarcelle quelques atouts non négligeables. Une SF adulte et réfléchie en premier lieu, n’offrant pas si souvent l’occasion de déployer ses ailes à l’écran. Mon gros capital sympathie pour Amy Adams d'une part, les critiques globalement positives d'autre part, contribuaient à accentuer l’heureuse disposition qui était la mienne en allant découvrir la chose. Au final, le bilan n’est pas aussi enthousiasmant que j’aurais pu l’espérer mais tout à fait recommandable. Il permet en tout cas de mesurer un peu plus l’influence qu’exerce aujourd’hui un réalisateur comme Christopher Nolan, dont les structures narratives complexes et l’approche scientiste des sujets tentent d'assumer pleinement une dimension plus mélodramatique. Toujours cette idée, très belle sur le papier, que l'expérience la plus grandiose et la plus collective (une arrivée d'extraterrestres et ses conséquences diverses sur l'humanité) se résout dans le cœur et l'intimité d'un seul et unique personnage. Il est à peu près impossible d'éclairer ici plus explicitement la thématique développée sans dévoiler quelques aspects cruciaux de l'intrigue. Je me bornerai donc à signaler que ce qui apparaît dès le prologue comme une véritable enclume (le bon vieux trauma plombant la psyché de l’héroïne) et suscite d'emblée la suspicion est habilement retourné au fil d’un récit qui s’interroge sur la notion même de temps – questionnement qui dicte en partie l’agencement des images et leur réception à la fois par le spectateur et par la protagoniste. Premier Contact est une œuvre qui vise sans doute l’inquiétude plus que l’émerveillement, le doute plus que l’exaltation, ce que tend à signifier la prestation butée et concentrée, particulièrement convaincante, d’Amy Adams. La révélation qui s’éclaircit peu à peu tandis que l’aventure formule sur son propos sur les modalités, la nature et les fonctions du langage pourra sans doute faire tiquer, de même que l’on pouvait légitimement hausser les sourcils devant les résolutions d’équations universelles à base de messages en morse dans Interstellar. Ce virage "explicatif", qui semble être un impératif propre à bien des films de SF se voulant ambitieux, est toujours difficile à négocier, et Villeneuve n’est pas sans y laisser lui non plus quelques plumes. Dans ces moments où l’investissement intellectuel laisse un peu l’émotion sur le carreau, la belle contemplation de la première partie (approche angoissée, découvertes incrédules, premier contact : le meilleur morceau) recule devant quelque chose de plus narratif, de plus tordu, et même temps de plus attendu. Le film n’évite pas certains écueils, à commencer par la visualisation tout ce qu’il a de plus cliché des aliens (grosso modo : de gros mollusques à tentacules), et on ne peut que regretter les idées de Zemeckis dans Contact (un film que j’aime énormément et sans doute le meilleur du genre avec les classiques de Spielberg), qui avait su poétiser la rencontre et le caractère irreprésentable d’une intelligence supérieure en l’accordant à la mémoire et à l’imaginaire personnelles de son héroïne. Mais globalement, c’est une jolie réussite, humble, touchante et captivante, qui devrait pouvoir convaincre ceux qui, comme quoi, sont naturellement acquis à ce genre de films.
J’attendais avec une certaine fébrilité le dernier film de Denis Villeneuve, cinéaste qui ne m’a certes pleinement convaincu qu’une seule fois (pour Incendies), mais qui semblait ici rassembler dans son escarcelle quelques atouts non négligeables. Une SF adulte et réfléchie en premier lieu, n’offrant pas si souvent l’occasion de déployer ses ailes à l’écran. Mon gros capital sympathie pour Amy Adams d'une part, les critiques globalement positives d'autre part, contribuaient à accentuer l’heureuse disposition qui était la mienne en allant découvrir la chose. Au final, le bilan n’est pas aussi enthousiasmant que j’aurais pu l’espérer mais tout à fait recommandable. Il permet en tout cas de mesurer un peu plus l’influence qu’exerce aujourd’hui un réalisateur comme Christopher Nolan, dont les structures narratives complexes et l’approche scientiste des sujets tentent d'assumer pleinement une dimension plus mélodramatique. Toujours cette idée, très belle sur le papier, que l'expérience la plus grandiose et la plus collective (une arrivée d'extraterrestres et ses conséquences diverses sur l'humanité) se résout dans le cœur et l'intimité d'un seul et unique personnage. Il est à peu près impossible d'éclairer ici plus explicitement la thématique développée sans dévoiler quelques aspects cruciaux de l'intrigue. Je me bornerai donc à signaler que ce qui apparaît dès le prologue comme une véritable enclume (le bon vieux trauma plombant la psyché de l’héroïne) et suscite d'emblée la suspicion est habilement retourné au fil d’un récit qui s’interroge sur la notion même de temps – questionnement qui dicte en partie l’agencement des images et leur réception à la fois par le spectateur et par la protagoniste. Premier Contact est une œuvre qui vise sans doute l’inquiétude plus que l’émerveillement, le doute plus que l’exaltation, ce que tend à signifier la prestation butée et concentrée, particulièrement convaincante, d’Amy Adams. La révélation qui s’éclaircit peu à peu tandis que l’aventure formule sur son propos sur les modalités, la nature et les fonctions du langage pourra sans doute faire tiquer, de même que l’on pouvait légitimement hausser les sourcils devant les résolutions d’équations universelles à base de messages en morse dans Interstellar. Ce virage "explicatif", qui semble être un impératif propre à bien des films de SF se voulant ambitieux, est toujours difficile à négocier, et Villeneuve n’est pas sans y laisser lui non plus quelques plumes. Dans ces moments où l’investissement intellectuel laisse un peu l’émotion sur le carreau, la belle contemplation de la première partie (approche angoissée, découvertes incrédules, premier contact : le meilleur morceau) recule devant quelque chose de plus narratif, de plus tordu, et même temps de plus attendu. Le film n’évite pas certains écueils, à commencer par la visualisation tout ce qu’il a de plus cliché des aliens (grosso modo : de gros mollusques à tentacules), et on ne peut que regretter les idées de Zemeckis dans Contact (un film que j’aime énormément et sans doute le meilleur du genre avec les classiques de Spielberg), qui avait su poétiser la rencontre et le caractère irreprésentable d’une intelligence supérieure en l’accordant à la mémoire et à l’imaginaire personnelles de son héroïne. Mais globalement, c’est une jolie réussite, humble, touchante et captivante, qui devrait pouvoir convaincre ceux qui, comme quoi, sont naturellement acquis à ce genre de films.
- Demi-Lune
- Bronco Boulet
- Messages : 14973
- Inscription : 20 août 09, 16:50
- Localisation : Retraité de DvdClassik.
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Merci pour ce commentaire, Thaddeus, et du soin que tu as pris à ne rien spoiler.
J'ai hâte de me faire mon idée, même si, dans cette époque de superlatifs et d'emballements internet pour pas grand-chose, j'ai du mal à être entièrement confiant à l'égard de la très grosse cote du film (limite si Villeneuve n'aurait pas fait plus fort que Rencontres du troisième type... faut garder son discernement, hein). J'ai l'impression que ça va être une déception à l'arrivée. Enfin, verdict bientôt.
J'ai hâte de me faire mon idée, même si, dans cette époque de superlatifs et d'emballements internet pour pas grand-chose, j'ai du mal à être entièrement confiant à l'égard de la très grosse cote du film (limite si Villeneuve n'aurait pas fait plus fort que Rencontres du troisième type... faut garder son discernement, hein). J'ai l'impression que ça va être une déception à l'arrivée. Enfin, verdict bientôt.
- Jeremy Fox
- Shérif adjoint
- Messages : 99635
- Inscription : 12 avr. 03, 22:22
- Localisation : Contrebandier à Moonfleet
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Moi j'y crois très fort, y compris qu'il me touche plus que le Spielberg, ce qui fut déjà le cas cette année du splendide Midnight Special.
- Thaddeus
- Ewok on the wild side
- Messages : 6180
- Inscription : 16 févr. 07, 22:49
- Localisation : 1612 Havenhurst
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Les réflexes pavloviens de la sphère culturelle (critiques, blogs, réseaux sociaux...) à tout dresser sur un piédestal, puis à remplacer la semaine suivante l'objet déifié par un autre, incite évidemment à conserver la tête froide et à ne pas attendre constamment monts et merveilles du moindre film. Je pense que cela fait un moment que nous l'avons tous compris. Je n'attendais pas de Premier Contact le nouveau chef-d'oeuvre du cinéma de SF, mais juste un bon film, suffisamment palpitant et intelligent pour se hisser au-dessus du tout-venant. C'est ce que j'ai eu (quand bien même on pourrait lui faire bien des reproches), et c'est déjà très bien. Rencontres du troisième type peut dormir sur ses deux oreilles : ce n'est pas aujourd'hui ni demain qu'il sera détrôné.
- Jeremy Fox
- Shérif adjoint
- Messages : 99635
- Inscription : 12 avr. 03, 22:22
- Localisation : Contrebandier à Moonfleet
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Mais si, mais si ; pour certains c'est déjà fait depuis longtemps.Thaddeus a écrit : Rencontres du troisième type peut dormir sur ses deux oreilles : ce n'est pas aujourd'hui ni demain qu'il sera détrôné.
- Watkinssien
- Etanche
- Messages : 17124
- Inscription : 6 mai 06, 12:53
- Localisation : Xanadu
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Jeremy Fox a écrit :Mais si, mais si ; pour certains c'est déjà fait depuis longtemps.Thaddeus a écrit : Rencontres du troisième type peut dormir sur ses deux oreilles : ce n'est pas aujourd'hui ni demain qu'il sera détrôné.
Mother, I miss you
- Jeremy Fox
- Shérif adjoint
- Messages : 99635
- Inscription : 12 avr. 03, 22:22
- Localisation : Contrebandier à Moonfleet
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
C'est exactement ce que vous faites pour le SpielbergThaddeus a écrit :Les réflexes pavloviens de la sphère culturelle (critiques, blogs, réseaux sociaux...) à tout dresser sur un piédestal...
Rencontres du troisième type peut dormir sur ses deux oreilles : ce n'est pas aujourd'hui ni demain qu'il sera détrôné.
Demi-Lune a écrit :limite si Villeneuve n'aurait pas fait plus fort que Rencontres du troisième type... faut garder son discernement, hein
Watkinssien a écrit :
- Watkinssien
- Etanche
- Messages : 17124
- Inscription : 6 mai 06, 12:53
- Localisation : Xanadu
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Disons que ça fait presque 40 ans que ça dure, hein...Jeremy Fox a écrit :C'est exactement ce que vous faites pour le SpielbergThaddeus a écrit :Les réflexes pavloviens de la sphère culturelle (critiques, blogs, réseaux sociaux...) à tout dresser sur un piédestal...
Ça compte un peu quand même!
Mother, I miss you
- ed
- Le Cary de l'hypoténuse
- Messages : 24428
- Inscription : 19 janv. 06, 15:33
- Localisation : Californie, années 50
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Je crois que Thaddeus parle aussi de recul.
Me, I don't talk much... I just cut the hair
- Thaddeus
- Ewok on the wild side
- Messages : 6180
- Inscription : 16 févr. 07, 22:49
- Localisation : 1612 Havenhurst
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Il attaque bille en tête, le Jeremy.
Je fais une légère (euphémisme) différence entre porter au pinacle un film à peine sorti (et refaire le même coup chaque semaine ou presque...) et porter un jugement sur une oeuvre de quarante ans que l'on a eu le temps d'intégrer dans son panthéon (niveau personnel) et qui a acquis une place bien haut dans l'histoire du cinéma (niveau collectif).
Après, libre à chacun de faire cette différence ou non.
EDIT : Ah ben voilà.
Je fais une légère (euphémisme) différence entre porter au pinacle un film à peine sorti (et refaire le même coup chaque semaine ou presque...) et porter un jugement sur une oeuvre de quarante ans que l'on a eu le temps d'intégrer dans son panthéon (niveau personnel) et qui a acquis une place bien haut dans l'histoire du cinéma (niveau collectif).
Après, libre à chacun de faire cette différence ou non.
EDIT : Ah ben voilà.
- Thaddeus
- Ewok on the wild side
- Messages : 6180
- Inscription : 16 févr. 07, 22:49
- Localisation : 1612 Havenhurst
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Je comprends tout à fait le reproche. C'est justement l'un des côtés Nolan du film : la propension à souligner les implications thématiques de l'affaire et à jongler avec ses circonvolutions diverses tout en tentant de contrebalancer cette rigidité par de jolis plans éthérés aux moments les plus chargés en émotion. La formulation est un peu cruelle mais il y a de cela.Spongebob a écrit :Premier contact : 6/10
De belles idées mais c'est d'une lourdeur.
Pas totalement fan non plus de la photographie assez terne du film (on a tout le temps l'impression d'être dans une pénombre bistre).
- Jeremy Fox
- Shérif adjoint
- Messages : 99635
- Inscription : 12 avr. 03, 22:22
- Localisation : Contrebandier à Moonfleet
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Je l'avais bien compris comme ça... mais cette façon d'asséner d'un autre côté que le Spielberg serait indéboulonnable n'est pas plus agréable à entendre pour certains que les innombrables enthousiasmes immédiats pour d'autres. Sans ces derniers -évidemment exagérés dans leur nombre- nous ne serions pas aussi souvent tentés de nous rendre en salles... à mon avis. Pour ne prendre que des exemples récents, Interstellar ou Midnight Special ont été des films de SF bien plus sidérants et émotionnellement puissants que le Spielberg -et j'espère ressentir la même chose pour le Villeneuve même si ça se trouve, ce sera un flop- ; je veux bien croire être minoritaire sur ces exemples mais c'est de ma part totalement sincère.ed a écrit :Je crois que Thaddeus parle aussi de recul.
- AtCloseRange
- Mémé Lenchon
- Messages : 25421
- Inscription : 21 nov. 05, 00:41
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
J'espère vraiment que ce sera aussi bien que Midnight Special...
Meilleur topic de l'univers
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
https://www.dvdclassik.com/forum/viewto ... 13&t=39694
- Jeremy Fox
- Shérif adjoint
- Messages : 99635
- Inscription : 12 avr. 03, 22:22
- Localisation : Contrebandier à Moonfleet
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Ca terminerait mon année 2016 en beauté.AtCloseRange a écrit :J'espère vraiment que ce sera aussi bien que Midnight Special...
Déjà que cette cuvée fut me concernant très satisfaisante.
- odelay
- David O. Selznick
- Messages : 13148
- Inscription : 19 avr. 03, 09:21
- Localisation : A Fraggle Rock
Re: Premier Contact (Denis Villeneuve - 2016)
Interstellar oui, Midnight Special ... heu... là tout suite j'ai beaucoup moins envie.
Allez j'y crois.
Allez j'y crois.