Top films animation japonaise

[Shinji]

Là je découvre sur le tard les OAV de Read or Die : c'est très cool. Et de la pure animation, pour le coup. Ca bouge.

Très bien et original ; dommage que la série n'ait pas suivi dans le même style...

[Ikebukuro]

(Dezaki, where are you ??)

Si tu parles de Osamu DEZAKI, il est décédé en 2011...

[Jack Griffin]

Ghost in the shell 2 tu peux eviter vu ton acceuil du premier!

Il est assez éloigné du 1 et est presque dans la continuité d'Avalon. Je considère que c'est un des grands films des années 2000
Et j'aime aussi beaucoup The Sky Crawlers

[Ikebukuro]

As-tu vu Vexille? Très beau film de méchas.

[shubby]

(Dezaki, where are you ??)

Si tu parles de Osamu DEZAKI, il est décédé en 2011...

En l'écrivant, j'étais persuadé qu'il y en aurait bien un pour me la faire, celle-là.

As-tu vu Vexille? Très beau film de méchas.

Malgré les chara designs foireux en cellchiéding, je plussoie complètement. L'histoire se tient bien & la poursuite de 10mn à la fin est proprement dantesque.

[Ikebukuro]

Si tu parles de Osamu DEZAKI, il est décédé en 2011...

En l'écrivant, j'étais persuadé qu'il y en aurait bien un pour me la faire, celle-là.

Je pensais que tu ne le savais pas; j'ai appris sa mort il y a peu

[shubby]

Pas grave, on s'en fiche

Là je découvre sur le tard les OAV de Read or Die : c'est très cool. Et de la pure animation, pour le coup. Ca bouge.

Très bien et original ; dommage que la série n'est pas suivie dans le même style...

Pas mieux. C'est le genre de délire qui ouvre le champs des possibles, j'adore ça.

[Beule]

Maquia : When the promised flower blooms constitue pour moi une jolie surprise. Il pourra rebuter tous ceux qui développent une aversion naturelle pour les excès lacrymaux. C'est certainement son péché mignon. Pour autant, jamais je n'ai éprouvé ce sentiment désagréable d'être pris malgré moi dans la nasse des émotions à tous crins forcées par une dramaturgie trop maligne. Bien au contraire, la sincérité et la spontanéité du traitement confèrent à l'entreprise cette aura d'innocence qui constitue le meilleur garde-fou face à la menace d'un pareil diktat. Mais ce premier long-métrage impressionne surtout par sa direction artistique et plus encore par la manière dont ce superbe écrin plastique est transfiguré par un sens inné de la mise en scène technique. Ces vertus culminent dans le remarquable montage alterné des séquences de l'attaque de la cité et de l'accouchement. Conjuguant travellings effrénés, raccords dans le mouvement et raccords dans le chaos de la bande-son, il constitue une expérience de cinéma puissamment immersif, aussi éprouvante que visuellement inspirée et stimulante, où l'indéniable souffle lyrique qui balaie alors l'écran trouve indéniablement sa source. Nul doute pour moi qu'ainsi armée Mari Okada soit une réalisatrice à suivre, dans l'animation ou, le cas échéant, dans le cinéma live.

[Roilo Pintu]

Je place l'info ici, pour ceux qui veulent découvrir, ou rattraper certains titres.
Sur la plateforme France TV, jusqu'au 31 Août.
Au programme, on retrouve :

Paprika, de Satoshi Kon, sorti en 2006
Steamboy, de Katsuhiro Ôtomo, sorti en 2004
The Sky Crawlers, de Mamoru Oshii, sorti en 2008
The Night is short, walk on girl, de Masaaki Yuasa, sorti en 2017
Tokyo Godfather, de Satoshi Kon et Shôgo Furuya, sorti en 2004
Liz et l’oiseau bleu, de Naoko Yamada, sorti en 2019
Kié la petite peste, d’Isao Takahata, sorti en 2005
Les mondes parallèles, de Yuhei Sakuragi, sorti en 2020

[shubby]

Je place l'info ici, pour ceux qui veulent découvrir, ou rattraper certains titres.
Sur la plateforme France TV, jusqu'au 31 Août.
Au programme, on retrouve :

Paprika, de Satoshi Kon, sorti en 2006
Steamboy, de Katsuhiro Ôtomo, sorti en 2004
The Sky Crawlers, de Mamoru Oshii, sorti en 2008
The Night is short, walk on girl, de Masaaki Yuasa, sorti en 2017
Tokyo Godfather, de Satoshi Kon et Shôgo Furuya, sorti en 2004
Liz et l’oiseau bleu, de Naoko Yamada, sorti en 2019
Kié la petite peste, d’Isao Takahata, sorti en 2005
Les mondes parallèles, de Yuhei Sakuragi, sorti en 2020

Aussi génial que surprenant, ce programme. L'anime jap', toujours officiellement réservée à une élite avec ses supports qui coûtent une blinde, dispo gratos sur France TV, faut foncer.

Ai commencé le Yuasa, mais j'ai un peu de mal. Ca reste une variante de sa série Tatami Galaxy. Faut que je revois le Oshii et que, surtout, je découvre enfin le Takahata.

[Profondo Rosso]

Je place l'info ici, pour ceux qui veulent découvrir, ou rattraper certains titres.
Sur la plateforme France TV, jusqu'au 31 Août.
Au programme, on retrouve :

Paprika, de Satoshi Kon, sorti en 2006
Steamboy, de Katsuhiro Ôtomo, sorti en 2004
The Sky Crawlers, de Mamoru Oshii, sorti en 2008
The Night is short, walk on girl, de Masaaki Yuasa, sorti en 2017
Tokyo Godfather, de Satoshi Kon et Shôgo Furuya, sorti en 2004
Liz et l’oiseau bleu, de Naoko Yamada, sorti en 2019
Kié la petite peste, d’Isao Takahata, sorti en 2005
Les mondes parallèles, de Yuhei Sakuragi, sorti en 2020

Aussi génial que surprenant, ce programme. L'anime jap', toujours officiellement réservée à une élite avec ses supports qui coûtent une blinde, dispo gratos sur France TV, faut foncer.

Ai commencé le Yuasa, mais j'ai un peu de mal. Ca reste une variante de sa série Tatami Galaxy. Faut que je revois le Oshii et que, surtout, je découvre enfin le Takahata.

Le seul à fuir c'est Les mondes parallèles qui est très mauvais sinon que du bon et je recommande Liz et l'oiseau bleu très beau coming of age de l'encore trop méconnue Naoko Yamada !

[The Eye Of Doom]

Kié la petite peste est excellent !!!
Les Kon bien sur sont des chefs d’oeuvre.
Par contre Sky crawlers j’ai pas réussi a aller au bout. Une nouvelle tentative s’impose.

[halford66]

Chie/Kie 2005 c'est la sortie française mais le film date de 1981.Sky crawlers une déception par rapport à l'excellent Innocence,depuis Oshii n'a plus tourné de films d'animation,presque 15 ans déjà.

Pour Steamboy ,Otomo n'a pas eu les mains libres contrairement à Akira,une suite intitulée Steamgirl était prévue mais ne s'est pas fait suite au succès mitigé de Steamboy ;Otomo n'a fait que 2 longs-métrages c'est vraiment dommage je trouve.

[shubby]

Je place l'info ici, pour ceux qui veulent découvrir, ou rattraper certains titres.
Sur la plateforme France TV, jusqu'au 31 Août.
Au programme, on retrouve :

Paprika, de Satoshi Kon, sorti en 2006
Steamboy, de Katsuhiro Ôtomo, sorti en 2004
The Sky Crawlers, de Mamoru Oshii, sorti en 2008
The Night is short, walk on girl, de Masaaki Yuasa, sorti en 2017
Tokyo Godfather, de Satoshi Kon et Shôgo Furuya, sorti en 2004
Liz et l’oiseau bleu, de Naoko Yamada, sorti en 2019
Kié la petite peste, d’Isao Takahata, sorti en 2005
Les mondes parallèles, de Yuhei Sakuragi, sorti en 2020

Kié la petite peste, d’Isao Takahata, sorti en 2005

Le tour de force de ce film, c'est de voir le verre à moitié plein d'une famille en peine à Osaka. Pas de misérabilisme à la Dickens, on profite de la life avec les moyens du bord et vogue la galère. Les blagues autour d'une couille de chat permettent de ne pas se la péter ; on rejoint ainsi le Mifune grossier de Kurosawa et les sales types qui suintent chez Leone. Reste que l'anime, malgré son cachet, a vieilli et que l'absence de réelle trame centrale - autre que le retour de maman au bercail - empêche la pleine accroche. Tranches de vie humanistes à la Yamada, voilà. Dickens, pour Takahata, ce sera pour plus tard. 7/10

The Night is short, walk on girl, de Masaaki Yuasa, sorti en 2017

Une variante de Tatami Galaxy qui aurait pu être anecdotique, voire inutile, seulement voilà : Yuasa et sa team sont en forme. La courte nuit est en réalité très longue, la héroïne accomplit de belles choses, une morale positive, presque Myiazakienne cette fois, prend le dessus, jusqu'à un happy end forcément en deçà de celui de TG, mais très plaisant. Le tout avec de belles idées et une animation perpétuelle. Yuasa, c'est l'antithèse formelle d'un Oshii. Reste un vrai soucis de rythme, mais le film passe en force à chaque creux de vague avec les arguments précités. 7/10

Steamboy, de Katsuhiro Ôtomo, sorti en 2004

J'ai réessayé, mais la narration est par trop calamiteuse, la musique balourde omniprésente et l'histoire désincarnée. En son temps, au ciné je l'avais subi ce truc. C'est rageant, car l'animation et les décors sont splendides.

Liz et l’oiseau bleu, de Naoko Yamada, sorti en 2019

Vu au ciné, j'en avais pensé ça : "Frôlé ! La flèche a effleuré le cœur, elle n'est pas tombée loin. Funambule, la belle musicienne avance sur la corde raide en s'équilibrant avec son hautbois. Si elle penche souvent côté démonstration ou niaiserie Shinkaiesque - on ne dira jamais à quel point il a fait du mal aux animes jap' le Makoto - elle se rattrape toujours au bon moment, nous happe au long cours et finit par joliment émouvoir. Malgré un caracter design trop uniforme et quelques blabas en trop à la fin, ça marche. Voilà une sorte de Will Hunting au féminin en mode épuré sur la forme, mais beaucoup plus insidieux sur le fond : il ramène des souvenirs dont on n'est pas certains de vouloir se rappeler vraiment." 6/10

The Sky Crawlers, de Mamoru Oshii, sorti en 2008

J'en avais pensé ça en 2010 : (...) Mamoru Oshii fait également appel au virtuel lié au cinéma avec ses deux personnages principaux aux noms issus de deux de ses oeuvres majeures, Jin-Roh et… Kusanagi ! Il n’y a pas d’équivoque possible. L’adolescent a le même regard perdu que le Fuse de Jin-Roh, et la jeune Kusanagi semble être une énième version distante du Major, un cyborg qui a depuis longtemps fusionné avec le Projet 2501 découvert dans Ghost in The Shell, ce fameux pirate cybernétique issu lui-même du net, du virtuel. On pourrait même penser que le monde de ce film a été créé par ce projet 2501 pour entretenir la vie de Kusanagi, prolonger sa raison d’être, ses envies par delà cet intellect largement renfloué qui ne suffit désormais plus à la belle. En cela, The Sky Crawler est Ghost in The Shell 3, ni plus ni moins, à savoir une conclusion en forme de remise en question de celle du premier film (1995) avec un projet 2501 bien présent dans ce The Sky Crawlers, à travers ce mécanisme géant d’une boite à musique posée là dans une pièce et qui fait sacrément écho à celui de GITS Innocence.

Paprika, de Satoshi Kon, sorti en 2006

Mon billet de 2006, avant sa mort, en espérant des trucs postérieurs, quoi. Je ne me rendais pas compte. "En dépit de ses nombreuses qualités, évidentes, Paprika n’apporte pas grand chose de neuf à la filmographie de Satoshi Kon. Il avait déjà, en mieux, mélangé le rêve au réel et perdu le spectateur dans une narration magistrale, passant de l’un à l’autre avec une fluidité confondante de génie et de simplicité. Dans Paprika, les dessins des personnages sont parfois discutables – entendez par là : moches – et les enchaînements un peu trop foutraques, à peine sauvés par un scénario malin faisant se succéder à vitesse grand V éléments comiques, révélations et autres rêveries colorées. On s’amuse, on passe un bon moment dans ce grand huit hystérique, ludique, mais à l’émotion par trop absente. Les recyclages ternissent le tableau : Paprika sautille comme le clone de Mima dans Perfect Blue, une femme court comme la belle Chiyoko de Millenium Actress, trop brièvement d'ailleurs pour nous emporter avec elle ; quant aux tourments existentiels d’un inspecteur de police et à l’invasion d’une entité démoniaque dans la grande métropole, ils évoquent clairement la très riche série Paranoïa Agent. La dernière œuvre en date de Satoshi Kon n’est donc juste qu’un (très) bon divertissement, c’est déjà (très) bien, mais resterait presque de l’ordre de l’anecdotique au sein d’une telle filmographie."

Les mondes parallèles, de Yuhei Sakuragi, sorti en 2020 : pas vu pas pris.

[The Eye Of Doom]

Decouvert Belle de Mamoru Hosoda.
Clairement décevant vis a vis des œuvres précédentes.
On retrouve bon nombre de ses thèmes (la bete, le metaverse,…).
C’est visuellement souvent splendide et contrairement à l’esthétique vaine et frimeuse de Shinkai, l’émotion finit par passer au gré de cette magnificence.
Mais le film est trop long, raconte une histoire racontée 10 fois, avec des personnages archétypes (la lycéenne timide, le beau mec ténébreux, …), dans un cadre idyllique (les gars, si vous savez où c’est ce coin du japon, ca m’intéresse, j’y vais pour mon prochain sejour).
A la limite, le coté remake de la Belle et la bete de Walt Disney est tres sympa (j’ai pas vu l’original, juste des images)
Dommage.
Mais j’attends le prochain avec confiance.