Pour ma part, j'avais plutôt été amusé par le pessimisme du film, par son coté jeu de massacre...
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Moderators: cinephage, Karras, Rockatansky
C'était ce qui m'avait plu la première fois que je l'avais vu il y a quelques années.cinephage wrote:Comme le dit hellrick, j'aime bien le numéro 3, l'effet papillon 2 étant vraiment sans intérêt (les mêmes défauts que le 1, l'efficacité en moins, et beaucoup plus caricatural encore).
Pour ma part, j'avais plutôt été amusé par le pessimisme du film, par son coté jeu de massacre...
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Ces films n'existent pas. Je les ai inventé.Ratatouille wrote:Mais où vas-tu dénicher tout ça ?
Tu es le Noel Godin françaisAtCloseRange wrote:Ces films n'existent pas. Je les ai inventé.Ratatouille wrote:Mais où vas-tu dénicher tout ça ?
Même sur les films que t'inventes, t'arrives à trouver des défauts. Chapeau l'artiste.AtCloseRange wrote:Ces films n'existent pas. Je les ai inventé.Ratatouille wrote:Mais où vas-tu dénicher tout ça ?
C'est la touche de réalisme.Ratatouille wrote:Même sur les films que t'inventes, t'arrives à trouver des défauts. Chapeau l'artiste.AtCloseRange wrote: Ces films n'existent pas. Je les ai inventé.
Ça sera la restauration antédiluvienne de 2017 sortie chez Olive et Koch, mais avec un bitrate à 26Hz et du DNR à 36Mb comme toujours chez l'éditeur. Autant dire que l'image sera merdique. Mais je vais l'acheter, même si ça fera doublon avec le Olive, le Koch et le Indicator parce qu'il y a des STF - je n'en ai pas besoin, mais c'est important si on veut partager - et surtout la VF d'origine avec Henri Chalant qui double Rex Edwards qui joue l'indien qui se fait tuer sur la gauche à 40:23.
Dommage! Je le sentais venir, tous les avis en provenance des USA sont en effet quasi unanimes. Après quant au fait que Greta n'aie point retrouvé de rôle conséquent de qualité, j'imagine que tu as alors "beaucoup" apprécié Damsels in Distress...AtCloseRange wrote:Lola Versus ( Daryl Wein - 2012)
C'est un vrai festival Greta Gerwig (elle est de tous les plans) et ce n'est malheureusement pas tellement plus. Pendant la moitié du film, ça n'est pas déplaisant (en mod rom com indé), on remarque la photo de Jakob Ihre (directeur photo de Oslo, 31 Août) et il y a quelques dialogues pas mal sentis mais au bout d'un moment, c'est vraiment trop léger pour qu'on puisse continuer à s'y intéresser et l'ensemble se délite tout doucement. ça ressemble (un peu) à un épisode moyen de Girls où il ne se passe pas grand chose qui serait étiré sur 1h30.
Dans le rôle des parents, Bill Pullman a pris un coup de vieux (encore qu'il ait déjà 60 ans) et surtout, je n'avais même pas reconnu Debra WingerJe me demande si ça valait vraiment le coup de sortir de sortir de sa retraite cinématographique pour ça.
Enfin bon, comme Greta Gerwig est absolument fascinante à regarder (il lui reste à trouver d'autres rôles comme celui de Greenberg), ce film reste indispensable pour tous ses fans.