Jean-Paul Rappeneau
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Re: Jean-Paul Rappeneau
Émission de radio où Rappeneau est interviewé (projets futurs, Le Sauvage remasterisé,...):
http://www.franceinter.fr/emission-le-g ... -rappeneau
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Re: Jean-Paul Rappeneau
Y a-t-il une raison à la rareté sur les écrans des films de Rappeneau ? Sa filmo est finalement très espacée (aucun film de puis 8 ans, et en général 5 ans ou plus entre chaque), surtout pour un réalisateur qui oeuvre dans un genre grand public et pour lequel projets et financements devraient plutôt affluer ?
Rythme personnel à la Cabrel, ou bien diffucltés d'un autre ordre dans ses projets ?
PS : en lisant ce topic remonté, vous avez réussi à me donner envie de revoir le hussard sur le toit, ce qui n'était pas gagné tant j'avais été horrifié par Olivier Martinez en mode cabri stressé...
Rythme personnel à la Cabrel, ou bien diffucltés d'un autre ordre dans ses projets ?
PS : en lisant ce topic remonté, vous avez réussi à me donner envie de revoir le hussard sur le toit, ce qui n'était pas gagné tant j'avais été horrifié par Olivier Martinez en mode cabri stressé...
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Re: Jean-Paul Rappeneau
Plutôt des projets énormes et casse-gueules qu'il a du mal à monter, je pense, vu qu'il a choisi de rester en France, territoire restreint, au contraire d'un Jean-Jacques Annaud qui, lui, a moins de mal à boucler ses superproductions. Enfin, je me trompe peut-être en les comparant.Brody a écrit :Rythme personnel à la Cabrel, ou bien diffucltés d'un autre ordre dans ses projets ?
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Re: Jean-Paul Rappeneau
Il y a de ça (il l'explique d'ailleurs très bien par rapport à cette infructueuse période post-Bon Voyage), puis il a l'air de mettre beaucoup de temps à préparer un film, même quand celui ci se concrétise.Nestor Almendros a écrit :Plutôt des projets énormes et casse-gueules qu'il a du mal à monter, je pense, vu qu'il a choisi de rester en France, territoire restreint, au contraire d'un Jean-Jacques Annaud qui, lui, a moins de mal à boucler ses superproductions. Enfin, je me trompe peut-être en les comparant.Brody a écrit :Rythme personnel à la Cabrel, ou bien diffucltés d'un autre ordre dans ses projets ?
C'est dommage car c'est un cinéaste très intéressant, on aimerait en voir plus !
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Re: Jean-Paul Rappeneau
Le Sauvage arrive en blu ray à la fin du mois. Très bonne nouvelle car le film s'y prête bien et parce que la DVD Studio était moyen (sans être honteux non plus). En plus c'est l'un des meilleurs Rappeneau.
Par contre j'espère qu'ils vont garder l'excellente interview du réalisateur qui revenait sans langue de bois sur le film et notamment sur ses rapports difficiles avec Montand.
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Re: Jean-Paul Rappeneau
vu le blu-ray du SAUVAGE
Résultats bien mitigés.
Les scènes de jour sur l'île sont absolument superbes, notamment celle de la forêt. L'arbre, les feuilles, l'herbe sont les amis du Blu-ray et là ça se voit bien et c'est éclatant. Tout ce qui se passe sur le ponton et la plage risque d'en surprendre plus d'un car P. Lhomme, le DP qui a restauré le film avec Rappeneau, a vraiment adouci la colorimétrie. C'est surprenant mais c'est néanmoins très agréable. Tous les deux trouvaient que ça faisait trop pub et trop cliché (c'est vrai qu'on se souvient d'un certain nombre de pubs genre Pacific qui utilisait cette imagerie). On voit d'autant plus la différence quand on regarde l'entretien de Rappeneau seul qui date du DVD et qui utilise des extraits de l'ancien master. Donc sur ces points-là le BR a tout bon.
Par contre... il y a un gros problème. Ce sont toutes les scènes de nuit américaine. Là on a envie de crier "rendez moi mon DVD!". Je ne sais pas si ça vient du fait que j'ai un LCD (qui me donne entièrement satisfaction, du moins bien plus que mon ancien plasma), mais les noirs de ces séquences sont totalement brulés. On ne distingue plus rien et il y a ce côté brillant qui "éblouit" dans les sombres comme lorsqu'on regarde un ecran d'ordi de travers, sauf que là on est en face. Le plus surprenant, c'est que P. Lhomme parle de la restauration de ces scènes dans l'entretien et qu'il semble être très satisfait. Ben heu.... pas moi (à moins qu'il ait eu un pb lors du pressage des disques). Toute la scène de la fin où les hommes enlèvent Deneuve et où Montand essaye de la sauver est limite regardable. Il faudrait que qq'un qui a un plasma me dise ce qu'il en est, mais s'il y a une différence ce serait vraiment la première fois que mon écran n'arrive pas à retranscrire des scènes sombres quand d'autres y parviennent, même si on sait que le pb des LSD ce sont les scènes sombres (mais ils brulent bien moins les blancs que les plasma).
Sinon à noter que 400 images ont été rajoutées (ce qui fait a peu après 16 secondes en tout) car elles étaient tellement abimées qu'elles avaient été suprimées par des gens qui "arrangeaient" les copies à projeter. Par contre Rappeneau a un peu retouché au montage en supprimant qq plans lors de la poursuite de voiture au début du film à Caracas. Rien de grave car ce n'est pas la partie la plus réussie du film.
Donc un gros effort a été fait sur ce film, ça se voit et c'est vrai que durant une grande partie du film celui-ci n'a jamais été aussi beau, mais des énormes défauts qui sont difficilement acceptables sont trop visibles.
Résultats bien mitigés.
Les scènes de jour sur l'île sont absolument superbes, notamment celle de la forêt. L'arbre, les feuilles, l'herbe sont les amis du Blu-ray et là ça se voit bien et c'est éclatant. Tout ce qui se passe sur le ponton et la plage risque d'en surprendre plus d'un car P. Lhomme, le DP qui a restauré le film avec Rappeneau, a vraiment adouci la colorimétrie. C'est surprenant mais c'est néanmoins très agréable. Tous les deux trouvaient que ça faisait trop pub et trop cliché (c'est vrai qu'on se souvient d'un certain nombre de pubs genre Pacific qui utilisait cette imagerie). On voit d'autant plus la différence quand on regarde l'entretien de Rappeneau seul qui date du DVD et qui utilise des extraits de l'ancien master. Donc sur ces points-là le BR a tout bon.
Par contre... il y a un gros problème. Ce sont toutes les scènes de nuit américaine. Là on a envie de crier "rendez moi mon DVD!". Je ne sais pas si ça vient du fait que j'ai un LCD (qui me donne entièrement satisfaction, du moins bien plus que mon ancien plasma), mais les noirs de ces séquences sont totalement brulés. On ne distingue plus rien et il y a ce côté brillant qui "éblouit" dans les sombres comme lorsqu'on regarde un ecran d'ordi de travers, sauf que là on est en face. Le plus surprenant, c'est que P. Lhomme parle de la restauration de ces scènes dans l'entretien et qu'il semble être très satisfait. Ben heu.... pas moi (à moins qu'il ait eu un pb lors du pressage des disques). Toute la scène de la fin où les hommes enlèvent Deneuve et où Montand essaye de la sauver est limite regardable. Il faudrait que qq'un qui a un plasma me dise ce qu'il en est, mais s'il y a une différence ce serait vraiment la première fois que mon écran n'arrive pas à retranscrire des scènes sombres quand d'autres y parviennent, même si on sait que le pb des LSD ce sont les scènes sombres (mais ils brulent bien moins les blancs que les plasma).
Sinon à noter que 400 images ont été rajoutées (ce qui fait a peu après 16 secondes en tout) car elles étaient tellement abimées qu'elles avaient été suprimées par des gens qui "arrangeaient" les copies à projeter. Par contre Rappeneau a un peu retouché au montage en supprimant qq plans lors de la poursuite de voiture au début du film à Caracas. Rien de grave car ce n'est pas la partie la plus réussie du film.
Donc un gros effort a été fait sur ce film, ça se voit et c'est vrai que durant une grande partie du film celui-ci n'a jamais été aussi beau, mais des énormes défauts qui sont difficilement acceptables sont trop visibles.
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Re: Jean-Paul Rappeneau
Je zappe donc ce Brd, dommage.odelay a écrit :On voit d'autant plus la différence quand on regarde l'entretien de Rappeneau seul qui date du DVD.
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Re: Jean-Paul Rappeneau
Pour ce qui est des scènes sur le ponton, je préfère la nouvelle colorimétrie à l'ancienne qui fait moins artificielle.
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Re: Jean-Paul Rappeneau
YEAH, chez tous nos revendeurs habituels?odelay a écrit : même si on sait que le pb des LSD ce sont les scènes sombres (mais ils brulent bien moins les blancs que les plasma).
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Re: Jean-Paul Rappeneau
Aujourd'hui, DVDClassik propose aussi son test du Blu-ray du Sauvage.
Mais surtout l'analyse de cette formidable comédie de Jean-Paul Rappeneau, rédigée par l'un des plus fervents admirateurs du cinéaste parmi notre rédaction.
Le Sauvage
Mais surtout l'analyse de cette formidable comédie de Jean-Paul Rappeneau, rédigée par l'un des plus fervents admirateurs du cinéaste parmi notre rédaction.
Le Sauvage
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Re: Jean-Paul Rappeneau
Le sauvage (J.P.Rappeneau - 1975)
Las de la vanité parisienne, Martin (Yves Montand), s'est exilé dans une île près de l'Amérique du Sud. Un jour, de passage à Caracas, sa nuit est troublée par l'irruption de Nelly, jeune femme énergique fuyant son fiancé. Elle propose à Martin de lui vendre un Toulouse-Lautrec, emprunté à son patron en guise de salaire. Martin accepte de l'aider à rentrer en France. Soulagé, il regagne son île où il a la surprise de retrouver Nelly...
Je ne vais pas revenir sur l'analyse du film, celle de Classik est très bien comme ça et c'est d'ailleurs à elle que je dois d'avoir eu envie de voir ce film. Bref, voilà une comédie mâtinée d'aventure le tout d'une rare élégance. Comme cela a été dit, ce fut un succès à l'époque et il reste bien mérité tant le film ne semble aucunement avoir pris une ride. Car au delà du formidable travail de restauration qui a été fait d'un point de vue technique sur la pellicule alors complètement bousillée (et la chro Classik et les bonus sur dvd et blu' le rappellent bien), on peut aussi s'apercevoir qu'en ce qui concerne l'histoire, elle n'a jamais eu à subir de restauration : elle brillait déjà dès la sortie du film en 1975. Si on se penche sur le film, qu'avons nous ?
D'abord deux acteurs interprétant des personnages aux caractères diamétralement opposés qui vont finir par finalement se comprendre, s'entendre, pour arriver à vivre ensemble. Yves Montand, grandiose comme souvent, qui va jouer le rôle de ce "sauvage", homme bourru et sans gêne et pourtant sensible derrière les apparences (il créa de grands parfums dans le passé). En face de lui, Catherine Deneuve en chieuse adorable, pas toujours très mâture, un brin égoïste et avec qui on se prend d'emblée d'empathie dès le début. Il faut dire qu'elle est le personnage sur lequel on se concentre en premier lieu, l'ouverture du film au rythme très rapide (et coïncidant avec le débit-mitraillette de Nelly quand elle parle d'une certaine manière) la montre déjà dépassée par les évènements prise au piège de ce mariage arrangé très vite et dont elle réalise tardivement les conséquences. Nelly n'aime pas subir, il faut qu'elle prenne les rênes, hors de question dès lors qu'elle se laisse embrigader dans un mariage et une vie de famille rangée dont on comprend très vite que ça ne fait pas partie de ses aspirations. Il devient donc étonnant et jouissif qu'elle, l'insaisissable, se heurte au "mur" Montand qui va lui faire changer son point de vue en même temps qu'il va s'ouvrir lentement à son contact.
Si le rythme du film peut à priori surprendre (le début va très vite comme ça a été également maintes fois souligné), ça ralentit pas mal une fois qu'on est sur l'île et c'est en soi pas plus mal car le film déploie des trésors de mise en scène élégante (les plans de l'île qui furent tournés dans plusieurs endroits distincts et Pierre Lhomme à la photographie réussit le tour de force d'unifier tout ça par l'unité de lumière, par exemple. Bon, le montage est aussi très classe), de dialogues savoureux et révèle un duo et des seconds rôles bien foutus. En somme un cinéma vivant qui sait nous émouvoir à chaque fois, à tel point que je me mis à penser à moi-même pendant le film que "c'est pas mal du tout dis donc".
Au final, c'est même très bien.
5/6.
Las de la vanité parisienne, Martin (Yves Montand), s'est exilé dans une île près de l'Amérique du Sud. Un jour, de passage à Caracas, sa nuit est troublée par l'irruption de Nelly, jeune femme énergique fuyant son fiancé. Elle propose à Martin de lui vendre un Toulouse-Lautrec, emprunté à son patron en guise de salaire. Martin accepte de l'aider à rentrer en France. Soulagé, il regagne son île où il a la surprise de retrouver Nelly...
Je ne vais pas revenir sur l'analyse du film, celle de Classik est très bien comme ça et c'est d'ailleurs à elle que je dois d'avoir eu envie de voir ce film. Bref, voilà une comédie mâtinée d'aventure le tout d'une rare élégance. Comme cela a été dit, ce fut un succès à l'époque et il reste bien mérité tant le film ne semble aucunement avoir pris une ride. Car au delà du formidable travail de restauration qui a été fait d'un point de vue technique sur la pellicule alors complètement bousillée (et la chro Classik et les bonus sur dvd et blu' le rappellent bien), on peut aussi s'apercevoir qu'en ce qui concerne l'histoire, elle n'a jamais eu à subir de restauration : elle brillait déjà dès la sortie du film en 1975. Si on se penche sur le film, qu'avons nous ?
D'abord deux acteurs interprétant des personnages aux caractères diamétralement opposés qui vont finir par finalement se comprendre, s'entendre, pour arriver à vivre ensemble. Yves Montand, grandiose comme souvent, qui va jouer le rôle de ce "sauvage", homme bourru et sans gêne et pourtant sensible derrière les apparences (il créa de grands parfums dans le passé). En face de lui, Catherine Deneuve en chieuse adorable, pas toujours très mâture, un brin égoïste et avec qui on se prend d'emblée d'empathie dès le début. Il faut dire qu'elle est le personnage sur lequel on se concentre en premier lieu, l'ouverture du film au rythme très rapide (et coïncidant avec le débit-mitraillette de Nelly quand elle parle d'une certaine manière) la montre déjà dépassée par les évènements prise au piège de ce mariage arrangé très vite et dont elle réalise tardivement les conséquences. Nelly n'aime pas subir, il faut qu'elle prenne les rênes, hors de question dès lors qu'elle se laisse embrigader dans un mariage et une vie de famille rangée dont on comprend très vite que ça ne fait pas partie de ses aspirations. Il devient donc étonnant et jouissif qu'elle, l'insaisissable, se heurte au "mur" Montand qui va lui faire changer son point de vue en même temps qu'il va s'ouvrir lentement à son contact.
Si le rythme du film peut à priori surprendre (le début va très vite comme ça a été également maintes fois souligné), ça ralentit pas mal une fois qu'on est sur l'île et c'est en soi pas plus mal car le film déploie des trésors de mise en scène élégante (les plans de l'île qui furent tournés dans plusieurs endroits distincts et Pierre Lhomme à la photographie réussit le tour de force d'unifier tout ça par l'unité de lumière, par exemple. Bon, le montage est aussi très classe), de dialogues savoureux et révèle un duo et des seconds rôles bien foutus. En somme un cinéma vivant qui sait nous émouvoir à chaque fois, à tel point que je me mis à penser à moi-même pendant le film que "c'est pas mal du tout dis donc".
Au final, c'est même très bien.
5/6.
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Re: Jean-Paul Rappeneau
Il est peut-être en vacances qui sait? Mais j'aimerai bien voir un nouveau film dirigé par mr rappeneau.Brody a écrit :Y a-t-il une raison à la rareté sur les écrans des films de Rappeneau ? Sa filmo est finalement très espacée (aucun film de puis 8 ans, et en général 5 ans ou plus entre chaque), surtout pour un réalisateur qui oeuvre dans un genre grand public et pour lequel projets et financements devraient plutôt affluer ?
Rythme personnel à la Cabrel, ou bien diffucltés d'un autre ordre dans ses projets ?
PS : en lisant ce topic remonté, vous avez réussi à me donner envie de revoir le hussard sur le toit, ce qui n'était pas gagné tant j'avais été horrifié par Olivier Martinez en mode cabri stressé...
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- David O. Selznick
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Re: Jean-Paul Rappeneau
Certainement mon Rappeneau préféré, j'y trouve beaucoup de tendresse. Un "feel good movie" !Anorya a écrit :Le sauvage (J.P.Rappeneau - 1975)
Au final, c'est même très bien.
5/6.
Concernant l'inactivité de Jean-Paul Rappeneau, je dois avouer que j'ai bien du mal à la comprendre. Ceci dit, je crois savoir que JP Rappeneau est extrêmement méticuleux et assez lent dans sa préparation. M'enfin là, ça fait quand même longtemps depuis Bon Voyage.
Dernière nouvelle, son nouveau film serait en préparation : http://www.ouest-france.fr/actu/actuLoc ... Locale.Htm