Le ralenti extrême sur l'évident mannequin, le thème de Morricone à fond de balles, le parachutage de la scène suivi du générique de fin arrivant de façon tout aussi brutale...Demi-Lune a écrit :Rhoo... ce ralenti extrême captant d'ultimes instants de vie, avec le thème de Morricone à vous arracher le cœur... la manière dont ça intervient est effectivement parachutée (on est chez Argento, quoi), mais de là à ce que la scène provoque des éclats de rire, faut être revenu de tout quand même.tenia a écrit :l'improbable mort finale, involontairement hilarante
Ca ne vaut peut-être la chute interminable du mannequin à la fin de La longue nuit de l'exorcisme, mais je ne sais pas, ça vaut probablement l'apparition du méchant à la fin de Ténèbres, avec juste ses oreilles qui dépassent de derrière l'héroïne.