Votre plus belle histoire d'amour au cinéma

[John Anderton]

Déjà cité, mais tant pis. Pour moi, c'est VERTIGO (le plus beau film du monde) !

[Tancrède]

Elle et lui évidemment

[angel with dirty face]

Elle et lui évidemment

Oui mais lequel? Celui de Leo McCarey ou celui de Leo McCarey?

[7swans]

[Le prisonnier]

Définitivement le duo MacGraw/McQueen dans The Getaway de Sam Peckinpah.

C'est pas seulement au cinéma d'ailleurs, il me semble !..

[Blue]

- Tout Antonioni
- Presque tout Wong Kar-Wai
- "Une journée particulière" d'Ettore Scola
- "Crash" de Crocro
- "La Pianiste" de Haneke
- "THE KILLER" de John Woo
Sans oublier l'excellent threesome avec Manuel Ferrara, Sasha Grey et Sandra Romain, dans "Fuck Slaves" de Jake Malone...

[Miss Nobody]

Définitivement le duo MacGraw/McQueen dans The Getaway de Sam Peckinpah.

C'est pas seulement au cinéma d'ailleurs, il me semble !..

Quelques années avant son mariage avec Ali Mac Graw, Steve Mac Queen avait aussi entretenu une liaison avec Natalie Wood (sa partenaire dans "Love With the proper Stranger")...

Ce qui est drôle, c'est qu'à bien regarder ses conquêtes, on dirait que Mac Queen n'aimait qu'un type de femme bien particulier...

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[Doc McCoy]

Définitivement le duo MacGraw/McQueen dans The Getaway de Sam Peckinpah.

C'est pas seulement au cinéma d'ailleurs, il me semble !..

Oui. Et c'est amusant parce qu'elle était mariée depuis 1969 avec Bob Evans, producteur de The Getaway, qui avait insisté pour qu'elle joue dedans! Inutile de préciser qu'après le tournage, il tirait la gueule. La relation McQueen/MacGraw a peut-être démarré peu avant le tournage en lui-même, puisque McQueen (qui sort apparemment officiellement ou non avec la plupart de ses partenaires à l'écran) avait donné des cours accélérés à l'actrice qui ne savait ni tirer au pistolet, ni conduire. Pour le rôle elle devait pourtant être au cœur de quelques gunfights et prendre la fuite en bagnole à grande vitesse! McQueen a un passé de délinquant, il a donc joué les professeurs pour ces choses-là qu'il savait faire à merveille...



Il y a une très bonne chronique au sujet du film sur le site de DVDClassik : http://www.dvdclassik.com/Critiques/guet-apens.htm

[hellrick]

Alors en vrac:
- Edward aux mains d'argent

puis
- When The Night is falling
- Fucking Amal
- Rocky
- Elle et lui (remake)
- Shop around the corner
- Forrest Gump
- Quelque part dans le temps
- Kuch Kuch Hota Hai
- Better than chocolate
- The Killer
- Story of Joanna
- Sur la route de Madison
- In the mood for love

et surement beaucoup d'autres

[Major Tom]

Au cinéma, je n'aime quasiment que les histoires d'amour tragiques. C'est presque un pléonasme tant ce sont toujours les plus intéressantes. Mais aussi dans un second temps, les histoires d'amour où il se révèle que la réalité est ce qu'elle est: deux êtres se connaissent, s'attirent, se désirent, font l'amour, mais est-ce qu'ils s'aiment vraiment pour autant?

***

Dans un premier temps donc...

Mad Max de George Miller
Dans un futur proche où les grandes nations sont entrées en guerre pour le pétrole, Max Rockatansky est un policier de la route. Son coéquipier, et ami, finit gravement brûlé à l'hôpital. Il prend peur et décide de partir avec sa femme et son bébé. Je crois que c'est une des hitoires d'amour les plus cruellement tragiques au cinéma, et la vengeance qui s'ensuit est des plus violentes... Max adore sa famille, bien sûr, mais tout bascoulera au cauchemar le plus atroce pour lui lorsque des motards tueront sa femme et son bébé.

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***

Et dans le second temps...

A History of Violence de David Cronenberg
L'histoire d'amour entre Mortensen et Maria Bello, à la fois romantique et passionnée, sera mise en péril quand des secrets réapparaîtront mais néanmoins, la scène finale fera renaître l'espoir. Avant ça, il y a une scène sado-masochiste très Cronenbergienne, où Maria Bello désire le viol dans l'escalier. Une vraie scène de baise sauvage, émoustillante peut-être, en tous cas un moment fort où, finalement on ne peut pas du tout parler d'amour.

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Les Prédateurs (The Hunger) de Tony Scott:
Dans une ambiance froide et sombre, un couple d'immortels romanesques écume à présent les night-clubs branchés de New-York, à la recherche de sang frais chez les couples échangistes. Le couple de vampires Bowie-Deneuve tente en vain de stopper sa fin aussi inéluctable qu'accélérée. Malsain mais fascinant.

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Les Prédateurs (The Hunger) toujours :
Exit Bowie, Deneuve retrouve une compagnie torride avec une Susan Sarandon, scientifique au mariage pourtant sans faille, soudain attirée par la froide étrangeté de Deneuve, et qui découvrira une nouvelle forme de fascination qui conduira tout le monde à sa perte...

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Lunes de Fiel de Roman Polanski
Avec sa vie tumultueuse, Polanski en sait plus que beaucoup sur les joies et les périls de la relation amoureuse. Son film est une étude réaliste sur un couple se livrant de façon insouciante et irresponsable à une quête du plaisir. D'emblée, Polanski utilisera le second degré un peu âcre pour la rencontre entre les deux protagonistes:

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Il part d'un romantisme volontairement mielleux pour donner le ton acerbe dans le dernier plan avec le "3615 ULLA".

Les séquences où Oscar (Peter Coyote) courtise Mimi (Emmanuelle Seignier), découvrant avec elle des jouissances insoupçonnées, sont les passages à la fois les plus érotiques et les plus romantiques que Polanski ait jamais filmé.

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Je crois que certains passages amusent beaucoup les spectateurs qui, comme moi, ont parfois une imagination érotique débordante mais rebutent aussi sûrement les personnes insensibles à la philosophie du film, et pour qui ce film ne vole pas plus haut qu'un téléfilm érotique de M6. Qu'elles inspirent plaisir, dérision ou dégoût, en tous cas ces scènes ne laissent pas indifférent. Le couple du film est dévoré de désir, et Polanski parvient à nous faire vivre leur excitation de l'intérieur. La relation fusionnelle et torride se poursuit, mais les premières failles (la jalousie bien sûr en premier lieu) apparaissent :

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Puis les première blessures. Le couple bat de l'aile avant de reprendre de plus belle, mais de façon de plus en plus malsaine :

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Si tous les personnages croient en l'amour, cela n'est pas le cas d'Oscar. Bien qu'il dise "je t'aime" au début du film, il est évident que cela n'a guère de sens à ses yeux. Il "idolâtre" (pour reprendre un de ses mots) l'amour, sans pouvoir l'éprouver. Finalement lassé de Mimi, il tente par tous les moyens de s'en débarrasser. Seulement elle l'aime, l'admire, tellement qu'elle est prête à tout pour lui, se jetant à ses pieds pour l'implorer de la garder. Elle reste chez lui, il lui fait l'amour sans amour, la trompe sans vergogne avec la plupart des femmes qu'il croise... En un sens, il devient un prince des ténèbres séduisant mais terrifiant, et bien dangereux, avant de finalement connaître sa damnation en devenant paralysé. Elle tiendra alors à son tour les rênes de son jeu dépravé et sadique...

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Y tu mamá también d'Alfonso Cuarón.
Deux jeunes amis intimes, Tenoch et Julio, pour qui seul le sexe agrémente leur vie désoeuvrée, font la connaissance de Louisa, l'épouse espagnole du cousin de Tenoch. Profitant de l'absence de leurs petites amies respectives (en voyage en France), ils essaient de séduire Louisa en l'invitant pour un séjour idyllique au bord de mer. Elle accepte leur invitation...

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[Frank Einstein]

Déjà cité, mais tant pis. Pour moi, c'est VERTIGO (le plus beau film du monde) !

Entièrement d'accord.

... et juste derrière "Sur la route de Madison" de et avec Clint Eastwood.

... et encore, juste après, "La peau douce" de François Truffaut

... pour finir par "In the mood for love" de Wong Kar-Wai

[Colqhoun]

The Passenger (antonioni) pour la magnifique relation Nicholson - Schneider.
Abyss (Cameron) et son couple de forts en gueule incarnés ici par la magnifique Mary Elizabeth Mastrantonio et le viril Ed Harris.
Open Range (Costner) pour la relation très touchante entre Costner et Annette Benning.

Mais bon là ce sont les 3 seuls qui me viennent en tête..

[Karras]

Loin devant, le diptyque de Richard Linklater : Before Sunrise - Before Sunset

[Ouf Je Respire]

Breaking the Waves, de LVT.
Tous les films de Cassavetes.

[Tite Bouh]

Après avoir revu quelques extraits de 2046 hier soir, j'ai envie de citer toutes les histoires d'amour présentes chez Wong Kar-Wai. Celle-ci peut-être plus particulièrement :