Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
Ca m'a aussi frappé bien que cela ne gêne pas outre mesure car cela reste généralement assez discret. L'effet m'ayant le plus fait tiqué est celui des moineaux.nobody smith a écrit :...et un emploi du numérique que je ne comprends définitivement pas (certes rare mais ça fait tache quand même dans l’esprit rétro de la chose).
Exactement. Comme toute bonne suite qui se respecte, ce second opus est plus drôle, mieux rythmée, encore plus référentielle (j'ai même noté une citation de "Tarama et les Mines du Roi Saumon"), avec un humour encore plus borderline...bref tout ce que j'aime.johell a écrit :J'avais beaucoup aimé le 1er, j'ai carrément adoré le 2ème. C'était fabuleux! L'univers, les répliques et situations et puis c'est réalisé avec un tel soin du détail... Très plaisant à savourer. Et Dujardin est génial!
... et dernier selon le réalisateur.John Anderton a écrit :Il pourrait y avoir, déjà, un 3e opus d'envisagé...
AtCloseRange a écrit :J
La série Austin Powers , c'est quand même d'un autre niveau.
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). Si, si.odelay a écrit :AtCloseRange a écrit :J
La série Austin Powers , c'est quand même d'un autre niveau.
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Certainement pas au niveau de la réalisation (surtout Goldmember qui est limite lamentable).
Non, en anglais avec accent allemand car, comme l'expliquait le réalisateur sur TSF, les ayant-droit de cette chanson s'opposent à toute version en allemand (pas harmonieux selon eux) donc il a biaisé en utilisant l'anglais avec accent.johell a écrit :J'avais beaucoup aimé le 1er, j'ai carrément adoré le 2ème. C'était fabuleux! L'univers, les répliques et situations et puis c'est réalisé avec un tel soin du détail... Très plaisant à savourer. Et Dujardin est génial! J'ai aussi grandement apprécié d'entendre chanter "The Girl From Ipanema" en allemand par un nazi! J'en rigole encore!
Exactement, Jay Roach ne dépasse jamais l'image qu'on a de cette période à travers des clichés. On n'oublie jamais qu'on a affaire à un film des années 2000. Ici, c'est, je trouve, beaucoup plus subtil et surtout c'est fait par le biais d'une multitude de détails (en plus de ceux évidents comme le split) qui n'ont pas l'air de crier à tout bout de champs "regardez on fait comme dans les 60s, on est trop cool!".Pour répondre à AtCloseRange, tout l'art du réalisateur est dans la référence, y compris à la photo de l'époque, à la façon de filmer (des plans touristiques par ex.), d'utiliser les couleurs, certains objectifs, certaines musiques, etc.La série des Austin Power recrée l'univers des sixties, mais en le filmant comme aujourd'hui, pas comme dans les sixties. L'art de la référence ne va pas aussi loin.
C'est bizarre, c'est justement ce qui fait que l'un m'intéresse beaucoup plus que l'autre.odelay a écrit :Exactement, Jay Roach ne dépasse jamais l'image qu'on a de cette période à travers des clichés. On n'oublie jamais qu'on a affaire à un film des années 2000. Ici, c'est, je trouve, beaucoup plus subtil et surtout c'est fait par le biais d'une multitude de détails (en plus de ceux évidents comme le split) qui n'ont pas l'air de crier à tout bout de champs "regardez on fait comme dans les 60s, on est trop cool!".Pour répondre à AtCloseRange, tout l'art du réalisateur est dans la référence, y compris à la photo de l'époque, à la façon de filmer (des plans touristiques par ex.), d'utiliser les couleurs, certains objectifs, certaines musiques, etc.La série des Austin Power recrée l'univers des sixties, mais en le filmant comme aujourd'hui, pas comme dans les sixties. L'art de la référence ne va pas aussi loin.
Je rebondis sur ce que tu estimes être une absence de rythme et qui pour moi est un vrai parti-pris, carrément osé, de mettre le personnage face à la nullité ou au décalage de la phrase qu'il vient de commettre ; et qu'il ne s'en aperçoive pas ou n'en fasse pas grand cas est une seconde occasion de rire pour moi, en plus du simple effet comique de la réplique.lowtek a écrit :On a l'impression d'assister à une sitcom télé dont on aurait retiré les rires pré-enregistrés, ne restant que ces quelques secondes vides spécialement aménagées pour que le spectateur puisse rire (le problème était exactement le même dans le premier opus, sauf que celui-ci arrivait encore à être drôle à 2 ou 3 reprises). Du fait de ce parti-pris, on a l'impression d'être venu pour "remplir" des espaces de rires obligatoires, qui cassent en permanence le rythme du récit
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Cette absence de rythme et de génie comique ne serait pas si grave (...)