C'est beau comme du G.T.OAlexandre Angel a écrit :la métamorphose déflationniste
"l'impact déflationniste de la violence"...
Modérateurs : cinephage, Karras, Rockatansky
C'est beau comme du G.T.OAlexandre Angel a écrit :la métamorphose déflationniste
..et c'est au début du siècle, sur Cdiscount, que je l'ai achetéhansolo a écrit :(jaquette hideuse digne des premiers Dvd bradés par Cdiscount au début du siècle ...)
Je m'en doutais, c'est dans le ton de 12 Monkeys et Pluie d'enferAlexandre Angel a écrit :..et c'est au début du siècle, sur Cdiscount, que je l'ai achetéhansolo a écrit :(jaquette hideuse digne des premiers Dvd bradés par Cdiscount au début du siècle ...)
IL est dispo en BR en import, chez des editeurs de seconde zone, probablement avec un master assez pourrihansolo a écrit : Le film est il dispo en Blu?
Car la qualité du Dvd est à la hauteur du packaging qui m'a longtemps empêché de sauter le pas de l'achat (image médiocre, bande son très très décevante)
Je préfère ne pas mentionner les "bonus"" ...
Aucun autre éditeur ne s'est emparé des droits du film depuis le temps !?
Merci de l'info ... franchement flippant quand on voit la "qualité" du master Opening ...la_vie_en_blueray a écrit :IL est dispo en BR en import, chez des editeurs de seconde zone, probablement avec un master assez pourri
Je n'ai jamais pu gober la scèneDunn a écrit :ce chef d'oeuvre !!
Seule scène que je trouve ratée de ce film par ailleurs totalement parfait (dans mon top 3 all-time).Alexandre Angel a écrit :(le surgissement de la bête à travers une verrière , à l'hôpital)
Ahlala la puissance évocatrice de cet opening title...hansolo a écrit :Michael Kamen nous offre un des bijoux dont il a le secret (je n'avais jamais entendu cette BO! )
C'est clair !!!Flol a écrit : Ahlala la puissance évocatrice de cet opening title...
Ben j'ai toujours eu l'impression que le film souffrait de l'étiquette "film de commande de David Cronenberg" : adaptation de S. King, gros casting, budget important...hansolo a écrit : À la découverte je m'interroge sur la relative faible notoriété de ce que je n'hésite pas à qualifier de chef d'oeuvre!
Au delà de l'argument cité, le problème est qu'à sa sortie, le film a repoussé les fans de Cronenberg à la vue courte qui n'aimait le canadien que ses aspects provoc gore. (Je pense que ce sont les meme qui ont crié à la trahison auteuriste 10 ans plus tard)cinéfile a écrit :Ben j'ai toujours eu l'impression que le film souffrait de l'étiquette "film de commande de David Cronenberg" : adaptation de S. King, gros casting, budget important...hansolo a écrit : À la découverte je m'interroge sur la relative faible notoriété de ce que je n'hésite pas à qualifier de chef d'oeuvre!
Alors qu'au final, le film n'a absolument pas à rougir face aux mastodontes de la filmographie du canadien (y compris ceux des 80's).
De toute manière, sa filmo de cette décennie est d'un niveau et d'une "constance" assez incroyable.
Oui, M. Butterfly semble être un des Cronenberg les moins "cités". Un peu mal-aimé aussi... Cela me fait penser que je ne l'ai encore jamais vu d'ailleursThe Eye Of Doom a écrit : Dans le même registre ou presque j'avais adoré M.Butterfly, cette histoire de deux hommes qui créent une femme: qui en parle aujourd'hui?
Je ne comprends pas non plus que ce film ne soit pas plus mis en lumière que ça dans l’œuvre de Cronenberg. Découvert tardivement et j'avais été pris de vertige face à la réussite exemplaire que le cinéaste a tirée de cette histoire complètement tordue et fascinante, dans la pure veine du Cronenberg de cette époque (tendance Faux-semblants/Le festin nu). C'est vraiment un de ses (nombreux) grands films pour moi, bien plus abouti et personnel que Dead Zone.The Eye Of Doom a écrit :Dans le même registre ou presque j'avais adoré M.Butterfly, cette histoire de deux hommes qui créent une femme: qui en parle aujourd'hui?
Je connais très mal la filmo de Cronenberg, mais je sens que je vite combler cette lacuneThe Eye Of Doom a écrit : Au delà de l'argument cité, le problème est qu'à sa sortie, le film a repoussé les fans de Cronenberg à la vue courte qui n'aimait le canadien que ses aspects provoc gore. (Je pense que ce sont les meme qui ont crié à la trahison auteuriste 10 ans plus tard)
Les vrais admirateurs, comme moi et mes connaissances de l'époque, ont bien vu de suite le film pour ce qu'il était : un des meilleurs de la filmo du cinéaste.
Dans le même registre ou presque j'avais adoré M.Butterfly, cette histoire de deux hommes qui créent une femme: qui en parle aujourd'hui?