New York 1997 (John Carpenter, 1981)
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New York 1997 : 7/10
je ne vais pas me faire des amis mais j'ai été décu par ce film. On peut accorder beaucoup de qualités à Carpenter mais pas celle d'être un visionnaire. Le film est très daté et je n'ai pas tellement accroché.
Bref, une grosse déception pour un film que j'attendais de voir depuis longtemps.
je ne vais pas me faire des amis mais j'ai été décu par ce film. On peut accorder beaucoup de qualités à Carpenter mais pas celle d'être un visionnaire. Le film est très daté et je n'ai pas tellement accroché.
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+ 1George Bailey a écrit :New York 1997 : 7/10
je ne vais pas me faire des amis mais j'ai été décu par ce film. On peut accorder beaucoup de qualités à Carpenter mais pas celle d'être un visionnaire. Le film est très daté et je n'ai pas tellement accroché.
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et tu es alors gentil delui mettre 7/10 je trouve...
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Non car le film dans l'ensemble ne m'a pas ennuyé et quelques scènes m'ont même emballé. mais je suis resté sur ma faim.Kurtz a écrit :+ 1George Bailey a écrit :New York 1997 : 7/10
je ne vais pas me faire des amis mais j'ai été décu par ce film. On peut accorder beaucoup de qualités à Carpenter mais pas celle d'être un visionnaire. Le film est très daté et je n'ai pas tellement accroché.
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Ce point là peut se discuter : vois Les aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin, et tu pourras constater qu'il a 15 d'avance sur toute la mode des films à la Matrix, Kill Bill ou autres. Mythologie chinoise, combats d'arts martiaux dans un contexte occidental, plus évidemment plein d'autres choses typiquement Carpenter.George Bailey a écrit :New York 1997 : 7/10
je ne vais pas me faire des amis mais j'ai été décu par ce film. On peut accorder beaucoup de qualités à Carpenter mais pas celle d'être un visionnaire. Le film est très daté et je n'ai pas tellement accroché.
Bref, une grosse déception pour un film que j'attendais de voir depuis longtemps.
Sans ça, il faut au moins mettre à son crédit la création d'un héros, d'un vrai personnage énigmatique et très fort, incarné à merveille par Kurt Russell : Snake Plissken. C'est pas rien. Lee Van Cleef et Ernest Borgnine complètent aussi très bien la galerie de personnages et de gueules.
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New york dévasté c quand meme un peu visionnaireharry callahan a écrit :Ce point là peut se discuter : vois Les aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin, et tu pourras constater qu'il a 15 d'avance sur toute la mode des films à la Matrix, Kill Bill ou autres. Mythologie chinoise, combats d'arts martiaux dans un contexte occidental, plus évidemment plein d'autres choses typiquement Carpenter.George Bailey a écrit :New York 1997 : 7/10
je ne vais pas me faire des amis mais j'ai été décu par ce film. On peut accorder beaucoup de qualités à Carpenter mais pas celle d'être un visionnaire. Le film est très daté et je n'ai pas tellement accroché.
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« S’il est vrai que l’art commercial risque toujours de finir prostituée, il n’est pas moins vrai que l’art non commercial risque toujours de finir vieille fille ».
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Oui. D'ailleurs, d'après mes souvenirs, il me semble que l'hélico dépose Snake sur une des Twin Towers.Rockatansky a écrit :New york dévasté c quand meme un peu visionnaireharry callahan a écrit :
Ce point là peut se discuter : vois Les aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin, et tu pourras constater qu'il a 15 d'avance sur toute la mode des films à la Matrix, Kill Bill ou autres. Mythologie chinoise, combats d'arts martiaux dans un contexte occidental, plus évidemment plein d'autres choses typiquement Carpenter.
Sans ça, il faut au moins mettre à son crédit la création d'un héros, d'un vrai personnage énigmatique et très fort, incarné à merveille par Kurt Russell : Snake Plissken. C'est pas rien. Lee Van Cleef et Ernest Borgnine complètent aussi très bien la galerie de personnages et de gueules.
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C'est le premier pas, j'aurais quasi comme toi tapé ça à ma première vision, puis, de le revoir.... et de le voir encore...George Bailey a écrit :Non car le film dans l'ensemble ne m'a pas ennuyé et quelques scènes m'ont même emballé. mais je suis resté sur ma faim.Kurtz a écrit :
+ 1
et tu es alors gentil delui mettre 7/10 je trouve...
Je ne saurais trop te conseiller de le retenter dans quelques temps, il devrait plus te taper dans l'oeuil....pour moi, tous les Carpenter marchent comme ça, comme de bons westerns, on ne sait pas bien pourquoi, mais ça fonctionne à chaque fois mieux. (C'est pour moi une définition possible du western (la mienne en tout cas) : du cinéma simple qui se revoie bien, et par là Carpenter est bien un auteur de western...)
j'en avais dejà parlé,je suis plus que d'accord avec toiharry callahan a écrit :Ce point là peut se discuter : vois Les aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin, et tu pourras constater qu'il a 15 d'avance sur toute la mode des films à la Matrix, Kill Bill ou autres. Mythologie chinoise, combats d'arts martiaux dans un contexte occidental, plus évidemment plein d'autres choses typiquement Carpenter.George Bailey a écrit :New York 1997 : 7/10
je ne vais pas me faire des amis mais j'ai été décu par ce film. On peut accorder beaucoup de qualités à Carpenter mais pas celle d'être un visionnaire. Le film est très daté et je n'ai pas tellement accroché.
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Quand je parlais de visionnaire, je pensais plutôt à la représentation d'une vue future. je trouve que de ce point de vue , un brazil , un blade runner et d'autres sont beaucoup mieux réussis.harry callahan a écrit :Ce point là peut se discuter : vois Les aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin, et tu pourras constater qu'il a 15 d'avance sur toute la mode des films à la Matrix, Kill Bill ou autres. Mythologie chinoise, combats d'arts martiaux dans un contexte occidental, plus évidemment plein d'autres choses typiquement Carpenter.George Bailey a écrit :New York 1997 : 7/10
je ne vais pas me faire des amis mais j'ai été décu par ce film. On peut accorder beaucoup de qualités à Carpenter mais pas celle d'être un visionnaire. Le film est très daté et je n'ai pas tellement accroché.
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Ca c clair, sauf que le film n'a pas la meme ambition non plus, ce n'est qu'un série B magnifiée par le talent de Maitre JohnGeorge Bailey a écrit :Quand je parlais de visionnaire, je pensais plutôt à la représentation d'une vue future. je trouve que de ce point de vue , un brazil , un blade runner et d'autres sont beaucoup mieux réussis.harry callahan a écrit :
Ce point là peut se discuter : vois Les aventures de Jack Burton dans les griffes du mandarin, et tu pourras constater qu'il a 15 d'avance sur toute la mode des films à la Matrix, Kill Bill ou autres. Mythologie chinoise, combats d'arts martiaux dans un contexte occidental, plus évidemment plein d'autres choses typiquement Carpenter.
Sans ça, il faut au moins mettre à son crédit la création d'un héros, d'un vrai personnage énigmatique et très fort, incarné à merveille par Kurt Russell : Snake Plissken. C'est pas rien. Lee Van Cleef et Ernest Borgnine complètent aussi très bien la galerie de personnages et de gueules.
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Je vais m'aventurer sur un terrain que je n'aime pas trop, celui des intentions du réalisateur. A mon humble avis, New York 1997 n'a pas du tout l'intention de jouer sur le côté anticipation comme un Blade runner ou un Bienvenue à Gattaca. L'histoire se déroule dans un certain futur, mais je crois que l'aspect futur de l'intrigue est ultra secondaire.George Bailey a écrit :Quand je parlais de visionnaire, je pensais plutôt à la représentation d'une vue future. je trouve que de ce point de vue , un brazil , un blade runner et d'autres sont beaucoup mieux réussis.
On sent le film daté années 80.
Ce qui à mon avis importait à Carpenter, c'était de trouver un cadre pour son histoire. Pour les deux autres films cités, l'époque imaginée déterminait en bonne partie l'intrigue : ici, elle fait plus partie du décor, je pense. Ce n'était pas le propos de Carpenter de faire un film traitant du futur, mais plutôt de faire un film d'action qui se déroulait accessoirement dans le futur. C'est ainsi que je vois les choses.
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Ce point de vue se défend.harry callahan a écrit :Je vais m'aventurer sur un terrain que je n'aime pas trop, celui des intentions du réalisateur. A mon humble avis, New York 1997 n'a pas du tout l'intention de jouer sur le côté anticipation comme un Blade runner ou un Bienvenue à Gattaca. L'histoire se déroule dans un certain futur, mais je crois que l'aspect futur de l'intrigue est ultra secondaire.George Bailey a écrit :Quand je parlais de visionnaire, je pensais plutôt à la représentation d'une vue future. je trouve que de ce point de vue , un brazil , un blade runner et d'autres sont beaucoup mieux réussis.
On sent le film daté années 80.
Ce qui à mon avis importait à Carpenter, c'était de trouver un cadre pour son histoire. Pour les deux autres films cités, l'époque imaginée déterminait en bonne partie l'intrigue : ici, elle fait plus partie du décor, je pense. Ce n'était pas le propos de Carpenter de faire un film traitant du futur, mais plutôt de faire un film d'action qui se déroulait accessoirement dans le futur. C'est ainsi que je vois les choses.
Un peu comme dans Battle royale où l'important n'est pas le temps dans lequel l'action prend place mais sert de point de départ à une intrigue.
Et si j'ai bien compris, le principe est le même dans certains films où ce dernier se déroule dans des pays imaginaires.
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New York 1997 de John Carpenter
Toujours aussi prenant même à la énième vision. Un scope de toute beauté, une belle ambiance crépusculaire une direction artistique tellement parfaite que l'illusion reste intacte aujourd'hui encore (ces maquettes ! ces mattes painting parfait !). Un Kurt Russel fabuleux dans le rôle de sa vie, une score hypnotique de Carpenter, c'est ce qu'on appelle un classique. 6/6
Toujours aussi prenant même à la énième vision. Un scope de toute beauté, une belle ambiance crépusculaire une direction artistique tellement parfaite que l'illusion reste intacte aujourd'hui encore (ces maquettes ! ces mattes painting parfait !). Un Kurt Russel fabuleux dans le rôle de sa vie, une score hypnotique de Carpenter, c'est ce qu'on appelle un classique. 6/6
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Un film globalement décevant malgré un très bon début.Profondo Rosso a écrit :New York 1997 de John Carpenter
Toujours aussi prenant même à la énième vision. Un scope de toute beauté, une belle ambiance crépusculaire une direction artistique tellement parfaite que l'illusion reste intacte aujourd'hui encore (ces maquettes ! ces mattes painting parfait !). Un Kurt Russel fabuleux dans le rôle de sa vie, une score hypnotique de Carpenter, c'est ce qu'on appelle un classique. 6/6